Debra Tavares nous informe à propos des eaux primaires

30 mars 2024, 19:13

Debra Tavares.

Son nom-seul fait trembler les colonnes des temples-de-mensonges mondialistes où les demi-vérités, les arnaques et les secrets sont essentiels pour déposséder les peuples de leurs ressources.

Cette informatrice-vérité au statut quasi-légendaire nous rappelle, entre autres choses que nous ne manquons absolument pas d'eau potable, ni aux États-Unis, ni ailleurs (sauf quelques endroits désertiques) grâce à ce qu'elle appelle les eaux primaires ainsi que les cycles "secondaires" de l'eau.

Le 7 janvier 2024, elle a d'ailleurs accordé une entrevue à Dave Scorpio sur ce sujet qui demeure l'objet de censures pour éviter que les gens réalisent comment les mondialistes s'y prennent pour limiter intentionnellement leur accès aux ressources dont ils ont besoin pour vivre sainement et prospérer.

Nous devons regarder vers le bas pour l'eau et non vers le haut.

Debra Tavares explique que l'eau de pluie n'est pas celle que nous devrions boire car elle contient une collection de contaminants dont certains pourraient être les résultats de différents géoingénieries.

Pourquoi parler de l'eau primaire? Au Québec, qui plus est?

Tout simplement parce que les objectifs de développement durable de l'ONU qui sont repris, à 100%, par les gouvernements (du Canada, du Québec et de Montréal... et bien d'autres) pour nous limiter en toutes choses.

Les ONUso-schwabbistes entendent nous limiter en argent, en transports, en espace de vie, en énergie et inévitablement, en eau, aussi.

Debra Tavares parle de très nombreux sujet mais celui de l'eau, essentiel à la vie (et à notre vie) doit faire l'objet d'échanges sociaux afin d'assurer que notre accès à une eau de première qualité demeure une priorité indiscutable.

Et les eaux primaires dont parle Debra Tavares peuvent être accédées au Québec, aussi.

D'où l'importance de prendre le temps de comprendre ce qu'explique l'américaine Debra Tavares, notamment via cet excellent site web (facile à traduire, via votre fureteur):

https://primarywater.org/

Debra Tavares nous invite aussi à lire le livre (de 242 pages) intitulé "New Water for a Thirsty World" de Michael H. Salzman, écrit en 1960 et dont le contributeur spécial était nul autre qu'Aldous Huxley (qui est décédé en 1963).

https://babel.hathitrust.org/cgi/pt?id= ... 5248&seq=9

Ce livre (évidemment controversé et vous comprenez pourquoi) parle d'un sujet aussi fondamental que polarisant parce que votre connaissance des eaux primaires mettrait en danger le contrôle actuel sur l'eau.

Et d'ailleurs, vous voyez combien le contrôle de l'eau prend de l'ampleur avec, entre autre, la taxation liée à l'eau de pluie comme dans la Ville-reine où nous avons appris, le 27 mars 2024 que les Torontois pourraient finir par payer pour la pluie qui tombe sur leur propriété!

Gracieuseté de la mairesse mondialio-durabiliste Olivia Chow, née en Chine.

Combien de temps avant que Valérie Plante fasse de même, à Montréal, selon vous?

Donc, plus que jamais, le travail d'information de Debra Tavares doit être partagé pour éviter que nous soyons des cibles d'un plan tordu de contrôle intentionnel et malveillant de l'eau, contre nous... et contre les générations montantes.

Source: Ma publication, dans BuymeaCoffee et Facebook

Extrait facile à partager, comme ici, dans VK et Twitter...

Les eaux primaires, telles qu'expliquées par Debra Tavares... à l'heure où Olivia Chow voudrait faire payer les Torontois pour la pluie qui tombe sur leur propriété!

https://www.buymeacoffee.com/logixca/de ... -primaires

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30 mars 2024, 19:35

Les eaux primaires

Voici un résumé par Gordon McCallum du livre intitulé "New Water For A Thirsty World" de Michael H. Salzman, publié en 1960.

À noter que vous pouvez lire ce livre, immédiatement et gratuitement, ici:

C'est le livre dont parle Debra Tavares, dans sa vidéo du 7 janvier 2024.

Ce livre avance une théorie selon laquelle: (1) il existe des réserves éternelles de nouvelles eaux dans des fissures de roche solide peu explorées à l'intérieur de la terre ; et (2) elles proviennent de processus chimiques se produisant là-bas et sont sans rapport avec les eaux souterraines familières, dépendantes de l'infiltration, que l'homme exploite conventionnellement pour compléter les réserves en surface.

L'auteur affirme que ces nouvelles eaux peuvent être localisées scientifiquement et extraites économiquement, même dans les déserts. Des exemples sont cités.

Cela serait une aubaine pour notre dilemme actuel - un écart qui se referme rapidement entre les demandes en eau et l'approvisionnement fixe du cycle hydrologique.

La pollution de l'eau et ses implications pour la santé sont brièvement discutées. Il est mentionné "la pollution constante de notre eau potable par des centaines de nouveaux produits chimiques dont les effets sur la santé humaine sont totalement inconnus".

L'auteur évoque un lien possible entre l'augmentation actuelle des maladies chroniques (cancer et cardiovasculaires-rénales) et les réserves d'eau potable.

Apparemment, des recherches minutieuses ont été menées pour la préparation de ce traité stimulant et quelque peu convaincant. L'effort a été encouragé par le travail de Stephan Riess, un Californien.

Riess a formulé la théorie de la "nouvelle eau" et a attiré l'attention de la presse en forant des puits produisant de bonnes eaux là où d'autres avaient échoué.

Bien que Riess ait été qualifié par certains de "charlatan, sorcier et imposteur", l'auteur est convaincu que la théorie de Riess est authentique et qu'elle peut remettre en question certains principes scientifiques et hydrologiques établis si elle est étudiée avec "un esprit ouvert".

À l'exception de brèves récitations en termes et formules hautement académiques et scientifiques, ce livre est facilement accessible pour le profane.

Salzman démontre une connaissance croisée remarquable des sciences de la terre et croit qu'une spécialisation moins étroite pourrait améliorer les réalisations scientifiques des chimistes, physiciens, métallurgistes, minéralogistes et cristallographes.

Certainement, pour chacune de ces professions, ce livre contient quelque chose d'intéressant.

De même, tant les professionnels que les étudiants en foresterie, en sols, en agronomie et dans le domaine des ressources en eau trouveront ce livre lisible et une excellente référence.

Le livre documente en détail 198 références.

Pour mieux comprendre les eaux primaires, vous aimerez lire...

Primary Water Theory par le Primary Water Institute qui parle de l'eau, au-delà des politiques

Tout le monde doit s'intéresser à ce qu'explique Debra Tavares et qu'expliquait, en 1960 Michael H. Salzman.

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