Les énergies s’activent au pays pour le nucléaire

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cgelinas
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28 février 2024


Alors que l’énergie nucléaire renaît de ses cendres et que les mises en chantier de nouvelles centrales se multiplient à l’étranger, le ministre québécois de l’Énergie affirmait mardi, devant des gens d’affaires, que le débat au sujet du nucléaire n’était pas clos.

C’est dans ce contexte favorable à l’industrie qu’AtkinsRéalis — anciennement SNC-Lavalin — lancera mercredi une campagne pour faire la promotion de l’atome. Entrevue avec son p.-d.g., Ian Edwards.


« Il n’y a pas de carboneutralité sans nucléaire, déclare sans détour Ian Edwards, tête dirigeante de l’entreprise montréalaise. Non seulement nous devons remplacer les combustibles fossiles, mais on doit aussi doubler, voire tripler, la production d’électricité pour répondre à la demande qui vient des voitures électriques, du chauffage électrique et des centres de données. »

[Éditeur: "here we go again"... encore le niaisage climatique GIEC-o-mondialiste pour nous re-plonger dans le nucléaire. C'est une grosse passe de cash pour nous garder dans l'ancien paradigme de contrôle de l'énergie des mondialistes crapuleux, comm Al Gore qui a multiplié sa fortune en poussant l'agenda du nucléaire. C'est une arnaque, une fois de plus.]

La firme d’ingénierie a d’ailleurs multiplié les contrats et les partenariats dans le secteur au cours des dernières années, aussi bien dans les secteurs de la fission et des petits réacteurs modulaires que dans celui de la fusion. La valeur des services liés à l’atome représentait 12 % de la valeur de son carnet de commandes en 2022. Et ça ne pourrait être que le début. « Nous pensons que cela va croître plus vite que le reste de l’entreprise. »

[Éditeur: ça ressemble à une grosse infopub, hahaha! Ian Edwards est un LOBBYISTE... il cherche à nous prendre nos fonds publics en échange de ses proverbiaux moulins à vents... mais avec des "technologies basées sur le nucléaire".]

C’est que sur la scène mondiale, le nucléaire a la cote. Dans sa déclaration finale, la 28e Conférence des parties sur le climat (COP28) a appelé à un développement « accéléré » du nucléaire. En marge de la réunion, une vingtaine de pays, dont le Canada, ont d’ailleurs demandé à ce que la capacité de production d’énergie nucléaire triple dans le monde d’ici 2050.

[Éditeur: ah! La COP28, la "Conference of Parties" onusienne qui ramène annuellement les tromperies GIECistes pour nous imposer leur idéologie prétendument verte, à nos frais, comme toujours.]

Même au Québec, où règne en maître l’hydroélectricité, le nucléaire trouve écho auprès des décideurs. Car si le gouvernement caquiste n’a pas rouvert la porte à l’atome, il ne l’a pas pour autant verrouillée. Mardi, alors qu’il s’adressait à des gens d’affaires de Québec, le ministre de l’Économie et de l’Énergie, Pierre Fitzgibbon, a affirmé que le débat sur la place du nucléaire dans la province n’était pas clos.

[Éditeur: le nucléaire n'a pas d'affaire au Québec. Notre modèle de production d'énergie est unique et ça doit demeurer ainsi. Idéalement, on aurait le courage, collectivement, d'exiger l'énergie libre et en finir avec le racket mafieux de vente d'électricité qui est intentionnellement limitée, contre notre meilleur intérêt.]

« Quand on regarde ce qu’on doit faire pour décarboner, le débat va revenir. Je pense que comme gouvernement, au ministère, chez nous, il faut rester à l’affût de ce qui se passe dans le nucléaire », a déclaré le ministre, ajoutant qu’il « faut avoir un bon narratif ».

[Éditeur: hey, ça va faire la tromperie mondialiste basée sur leur scandaleuse "guerre au carbone" et Ian Edwards va exactement dans le même sens que l'ONU, ce qui trahit dans quel camp idéologique il se trouve.]

Est-ce que le Québec est un marché potentiel pour AtkinsRéalis ? « De mon point de vue, je pense que le nucléaire pourrait compléter la production qui vient de l’hydroélectricité et des énergies renouvelables. Si nous devons produire deux fois plus d’électricité, est-ce que c’est possible de le faire qu’en augmentant l’hydroélectricité et les autres formes d’énergie renouvelable ? Ce n’est peut-être pas impossible, mais ce sera difficile », répond Ian Edwards.

[Éditeur: euh, non, pas du tout... les Québécois ne veulent RIEN SAVOIR du nucléaire, surtout pas avec AtkinsRéalis.]

C’est justement pour mieux faire connaître la technologie CANDU qu’AtkinsRéalis lance mercredi une campagne de communication baptisée Les Canadiens pour CANDU. Les anciens premiers ministres Jean Chrétien et Mike Harris participeront à l’initiative. Le but: demander aux gouvernements fédéral et provinciaux d’appuyer la seule technologie nucléaire canadienne sur le marché.

[Éditeur: Jean Chrétien et Mike Harris, hahaha! Le gros marais gluant pour faire bêler les moutons!]

« Lorsqu’il est question de nucléaire de grande envergure, il n’y a que sept pays qui ont des technologies autorisées : la Russie, la Chine, la Corée du Sud, le Japon, la France, les États-Unis et le Canada. Donc, on est du nombre », dit-il, en rappelant que les réacteurs CANDU sont l’aboutissement de « sept décennies de développement ».

Cette campagne d’AtkinsRéalis n’est certainement pas étrangère à la joute géopolitique qui s’intensifie à l’échelle mondiale pour l’obtention de parts de marché. Une soixantaine de réacteurs nucléaires sont actuellement en construction dans le monde. Or, près de 70 % des chantiers sont chapeautés par des sociétés russes ou chinoises, selon les plus récentes données de l’Agence internationale de l’énergie.

[Éditeur: l'énergie libre est la seule réponse à nos besoins énergétiques mais les mondialistes vont continuer à supprimer activement tout développement en ce sens. C'est un racket de plus parmi tous les rackets qu'ils entretiennent.]

De plus, la vaste majorité des quelque 500 réacteurs commerciaux en service ou en construction dépendent de l’enrichissement de l’uranium, ce procédé qui consiste à augmenter la proportion d’isotopes fissiles dans l’uranium et, du coup, à stabiliser le combustible. À elle seule, la Russie a la mainmise sur près de la moitié (46 %) des capacités d’enrichissement de la planète.

Cette volonté de réduire la dépendance à l’égard de la Russie est un avantage pour la technologie canadienne, indique M. Edwards. Les réacteurs CANDU ne carburent pas à l’uranium enrichi, mais plutôt à l’uranium naturel. « Oui, nous pensons que c’est un argument de vente important à l’échelle mondiale », indique le patron d’AtkinsRéalis.

[Éditeur: ah! On y arrive... la dépendance à la Russie. Ça rejoint parfaitement l'agenda de l'OTAN qui cherche à engendrer des guerres, sans fin, pour justifier son existence et ses budgets multi-milliardaires, à nos frais. Des vampires qui s'organisent pour avoir du sang frais, pour toujours. Version centrales nucléaires... "pour réduire la dépendance à la Russie". Sérieusement, c'est pathétique.]

M. Edwards concède que la question de la gestion des déchets radioactifs suscite des inquiétudes chez une partie de la population canadienne. Les technologies de stockage des déchets se sont développées dans les dernières années, ajoute-t-il. Il cite en exemple un procédé de vitrification — qui permet de convertir les déchets liquides radioactifs en un verre solide — que possède AtkinsRéalis.

[Éditeur: c'est tellement insultant de minimiser cet important problème qui n'est absolument pas réglé par la fameuse "vitrification". J'espère que les gens vont demeurer vigilants. Les loups tournent autour de nos coffres publics et c'est le CAQ-o-mondialiste Pierre Fitzgibbon qui reçoit les prétentions de ce genre de lobbyiste. Êtes-vous rassurés?]



Source: MSN / Le Devoir



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Claude Gélinas, Éditeur
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