Il fallait s'y attendre, l'État se prépare à obliger les citoyens à partager leur maison et à déloger les personnes âgées en finançant des études participant à cette réflexion.
Un chercheur, financé généreusement par des organisations affiliées au nouveau régime en place, Pierre-Olivier Pineau, professeur à HEC, lance l’idée d’économiser de l’énergie en récupérant les espaces inoccupés des maisons et des logements des citoyens.
Pendant que ce professeur subventionné propose un article pour critiquer les propriétaires, il ne mentionne pas dans sa publication les nouveaux besoins énergétiques d’Hydro-Québec.
En bon bureaucrate obéissant, il offre par ses affirmations tendancieuses les outils nécessaires à Hydro-Québec et aux autorités du Québec pour confisquer les propriétés, manipulant ainsi l'opinion à la manière de la Chine.
Il ne fait pas référence au fait que les autorités ont intentionnellement créé la crise du logement en accueillant un excès de travailleurs immigrants.
Cet excès visait à éroder la culture, détruire la démocratie, réduire les salaires et créer une rareté de ressources, notamment des logements.
Il ne mentionne pas non plus que les autorités, agissant comme des pyromanes pompiers, manipulent les citoyens en les mettant en conflit de loyauté avec l'obligation de partager.
Or, il s'agit là d'un autre plan d'acquisition forcée des propriétés au Québec.
Puisque l'article se termine en fournissant des statistiques sur les personnes âgées vivant seules, on comprend que ce vol sera d'abord dirigé contre elles. C'est une manière habile de diviser les jeunes et les vieux sous couvert de justice sociale.
Ce que ce chercheur oublie également d'expliquer, c'est que s'il y a lieu de réaliser des économies énergétiques, c'est pour que Hydro-Québec puisse détourner cette énergie afin d'alimenter des data centers des grands industriels de la donnée numérique, en vue de gérer l'identité numérique et de miner le nouveau système international des CBDC (Central Bank Digital Currency), une monnaie numérique et un crédit social qui sera bientôt imposé à tous.
Ainsi, on prive les Québécois d'énergie propre, de logements, de propriété, de nourriture, pour nourrir un projet visant à les asservir à un esclavagisme numérique.
Non seulement cela est immoral, mais en s'en prenant physiquement à des personnes vulnérables (personnes agées) pour économiser à leur dépend, c'est criminel!
Il existe des solutions simples à la crise du logement:
- Autoriser les sans-abris et les familles à occuper les bureaux et les entrepôts désertés par les travailleurs à domicile.
- Loger temporairement les nouveaux arrivants dans les camps d'isolement prévus pour la pandémie de COVID, qui sont pour ainsi dire terminés et vides. Cela offre de nombreux espaces permettant à des familles de vivre dans des conditions meilleures que celles qu'elles ont quittées avant leur arrivée au Canada, en organisant le transport vers les villes avoisinantes pour leur permettre de travailler.
- Émettre un moratoire sur l'accueil de nouveaux immigrants.
- Permettre et déréglementer l'usage des caravanes, des tentes-roulottes, des campeurs, des mini-maisons écologiques et des camps sur tout le territoire afin d'offrir des alternatives en saison douce à tous, en permettant à ces personnes de s'auto-construire ou de s'installer sur les stationnements commerciaux des supermarchés ou les terrains vacants, en forêt, et sur les terres non cultivées, tout en encadrant la gestion des déchets et la cohabitation pacifique, en interdisant la consommation de drogues (puisqu'au Québec on ne veut pas euthanasier hypocritement les sans-abris avec des drogues mortelles).
Source: Québec Intégrité
En référence à l'article de propagande gouvernementale mondialiste intitulé: "Logement, énergie : « la crise des pièces vides » pèse sur le Québec".
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