27 août 2023
Les services communautaires dans plusieurs villes canadiennes sont débordés par l'afflux de demandeurs du statut de réfugié.
En 2022, près de 92 000 demandeurs se sont installés au Canada. Quelque 70 000 autres se sont ajoutés depuis le début de l'année [2023].
Allan Reesor-McDowell, le directeur général de Matthew House, une organisation qui vient en aide aux réfugiés, raconte que les conflits, la répression et la pauvreté ont provoqué une arrivée massive de migrants qui ne sont pas parrainés. Ceux-ci nécessitent une grande attention des services communautaires dans plusieurs grandes villes au pays, comme Toronto ou Ottawa.
Ils occupent notamment une grande place dans les refuges pour les sans-abris.
Par exemple, il dit que ses 13 centres de transitions d'une capacité totale de plus de 90 lits affichent complet. Avant la pandémie, les réfugiés pouvaient y demeurer pendant une période de trois à quatre mois avant de s'installer dans une résidence permanente. Aujourd'hui, le séjour peut s'étendre jusqu'à six mois.
«Il est maintenant plus difficile de se trouver un logement», constate-t-il.
M. Reesor-McDowell déplore que le gouvernement ait longtemps négligé cette crise. Il réclame un meilleur financement pour les organisations qui se spécialisent dans les services aux nouveaux arrivants non parrainés. Il reproche au gouvernement d'avoir investi dans des solutions à court terme comme les chambres d'hôtel.
[Éditeur: le gouvernement fédéral pourrait simplement abaisser les seuils d'immigration mais le but de plus en plus clair est de remplacer la population canadienne alors cette pression sur nos ressources domestiques fait le jeu (pervers) des Libéraux de Justin Trudeau, ainsi que leurs alliés presqu'indéfectibles du NPD et du Bloc.]
«Il n'y a rien de nouveau là-dedans, soutient-il. Si on ne s'occupe pas d'un problème qui vous guette depuis des années, il risque de vous sauter à la figure.»
Selon lui, les organisations comme la sienne sont la meilleure solution pour aider les réfugiés non parrainés quand ils arrivent au pays.
[Éditeur: naturellement, il vend sa solution. En paraîssant magnanime, il est en fait d'un égoïsme épique. Il veut du gros cash et c'est sous ce narratif qu'il en demande.]
Elles aident ces nouveaux arrivants à obtenir de l'aide juridique, à obtenir un permis de travailleur et un emploi, à transiter vers un logement permanent et l'autonomie.
[Éditeur: une chaine de fournisseurs qui s'engraissent à coups de fonds publics.]
Le nombre de demandeurs arrivant au Canada n'est pas écrasant. On pourrait facilement s'en occuper si on donnait aux services communautaires les ressources nécessaires, affirme M. Reesor-McDowell.
[Éditeur: quel commentaire soporifique! Évidemment qu'il y en a trop car nos ressources actuelles sont complètement débordées.]
«Ce n'est pas si compliqué. On sait déjà quoi faire. Nos programmes sont très efficaces et peu coûteux. Il faut accroître les capacités dans l'ensemble du pays. Et ça, ce n'est pas un problème.»
[Éditeur: non parce que ça ne va qu'amplifier le problème, partout.]
Selon Stéphanie Plante, une conseillère municipale d'Ottawa, une solution à court terme pourrait passer par les hôtels ou les appartements d'Airbnb. Elle croit qu'ils pourraient remplacer les centres communautaires qui servent actuellement de refuges temporaires en attendant de trouver des solutions à plus long terme.
[Éditeur: donc, les réfugiés pourraient rester dans des AirBnB... que les Canadiens eux-même, pour la plupart, n'arrivent même pas à se payer.]
Elle soutient que l'utilisation de tels centres dans les quartiers à faible revenu revient à retirer une ressource aux enfants.
«Nous sommes dans une position où nous devons favoriser des gens vulnérables au détriment de gens vulnérables. On assiste à une sorte de concurrence pour des ressources limitées dans ces secteurs.»
[Éditeur: il ne faut pas les laisser entrer, point. Les nôtres sont les nôtres et ceux des autres pays peuvent se tourner vers leur propre pays. Là, nous importons des problèmes de l'étranger pour ensuite pénaliser les nôtres. C'est perdant sur tous les fronts, pour nous.]
Mais à long terme, Mme Plante croit qu'une solution à long terme consiste à ne plus laisser la bureaucratie s'interférer dans le processus. Elle propose que les bureaux gouvernementaux vacants soient transformés en logements et que des incitatifs soient offerts aux promoteurs pour construire des immeubles dans d’anciens secteurs industriels, dans d’anciennes usines ou sur des terrains autrefois contaminés.
[Éditeur: non, vraiment pas, ces bureaux doivent servir au Canadiens, pas à des étrangers qui n'affrontent pas les problèmes de leur propre coin du monde, aussi gentils soient-ils. Le Canada n'a pas les moyens de cette ambition immigrationo-mondialio-libéraleuse.]
«Je veux voir des grues dans le ciel, je veux voir des gens travailler. Je veux les voir frapper du marteau. Je veux voir des constructions.»
[Éditeur: non, ça prend une frontière moins perméable, point.]
Source: MSN / La Presse canadienne
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Les services communautaires sont débordés par l'afflux de réfugiés
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Les services communautaires sont débordés par l'afflux de réfugiés dans les grandes villes canadiennes.
viewtopic.php?t=5312
Mais...
Selon Stéphanie Plante, une conseillère municipale d'Ottawa, une solution à court terme pourrait passer par les hôtels ou les appartements d'Airbnb.
Oui, des hôtels et des Airbnb.
Comprenez-vous pourquoi le patronat veut sans cesse plus de réfugiés?
C'est ultra-payant, pour EUX.
Avez-vous les moyens, vous, de rester jusqu'à 6 mois dans Airbnb?
Et bien, grâce à la magie des fonds publics et des frontières ultra-poreuses du Canada, ce sont d'autres personnes qui n'ont précédemment jamais mis les pieds au Canada qui vont profiter de ce luxe, à votre place.
Mais...
Stéphanie Plante ne s'arrête pas en si bon chemin puisqu'elle propose que les bureaux gouvernementaux vacants soient transformés en logements.
Elle voit ça comme une solution "à long terme" pour "les pauvres" au niveau desquels une féroce concurrence a lieu pour des ressources aussi fondamentales qu'un toit au-dessus de leur tête.
Elle ne mentionne pas l'idée toute-simple de FERMER les frontières aux réfugiés pour lesquels nous n'avons pas de ressources à allouer mais elle regorge d'idées pour eux alors que pour les pauvres d'ici, elle manque cruellement... d'imagination.
Et que ce soit clair, 100% des problèmes de logement se règlent si l'immigration, qui est rendue à plus de 1,5 millions depuis cette date (environ) l'an dernier est suspendue, indéfiniment, le temps de rétablir notre capacité d'accueil à des seuils raisonnables. Avec des exceptions pour des réunions familiales exceptionnelles.
Mais non, ce n'est absolument pas en ce sens que les dirigeants voient les choses.
Et c'est pourquoi le remplacement populationnel du Canada va aussi vite.
Source: Ma publication, dans VK
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Mais...
Selon Stéphanie Plante, une conseillère municipale d'Ottawa, une solution à court terme pourrait passer par les hôtels ou les appartements d'Airbnb.
Oui, des hôtels et des Airbnb.
Comprenez-vous pourquoi le patronat veut sans cesse plus de réfugiés?
C'est ultra-payant, pour EUX.
Avez-vous les moyens, vous, de rester jusqu'à 6 mois dans Airbnb?
Et bien, grâce à la magie des fonds publics et des frontières ultra-poreuses du Canada, ce sont d'autres personnes qui n'ont précédemment jamais mis les pieds au Canada qui vont profiter de ce luxe, à votre place.
Mais...
Stéphanie Plante ne s'arrête pas en si bon chemin puisqu'elle propose que les bureaux gouvernementaux vacants soient transformés en logements.
Elle voit ça comme une solution "à long terme" pour "les pauvres" au niveau desquels une féroce concurrence a lieu pour des ressources aussi fondamentales qu'un toit au-dessus de leur tête.
Elle ne mentionne pas l'idée toute-simple de FERMER les frontières aux réfugiés pour lesquels nous n'avons pas de ressources à allouer mais elle regorge d'idées pour eux alors que pour les pauvres d'ici, elle manque cruellement... d'imagination.
Et que ce soit clair, 100% des problèmes de logement se règlent si l'immigration, qui est rendue à plus de 1,5 millions depuis cette date (environ) l'an dernier est suspendue, indéfiniment, le temps de rétablir notre capacité d'accueil à des seuils raisonnables. Avec des exceptions pour des réunions familiales exceptionnelles.
Mais non, ce n'est absolument pas en ce sens que les dirigeants voient les choses.
Et c'est pourquoi le remplacement populationnel du Canada va aussi vite.
Source: Ma publication, dans VK
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