Après l'attaque de BLM contre les blancs, le wokisme contre l'hétérosexualité et l'hétéronormativité qui mène à la formation de familles, on se retrouve à devoir dénoncer une nouvelle attaque insidieuse... contre les bébés.
https://www.stophavingkids.org/
Le site web américain "Stop Having Kids" qui se traduit par "arrêtez d'avoir des enfants" se présente comme un mouvement visant à favoriser le choix des vivants plutôt que la venue au monde de ceux à naître, à savoir, les bébés.
Alors oui, avant-même leur venue au monde, les bébés sont présentés comme un fardeau pour leurs géniteurs et une plaie pour le monde... leur monde à eux, naturellement parce que dans notre monde, les bébés sont une manifestation de notre pouvoir créateur bienveillant et infini.
Un bébé, c'est l'accueil, la connexion, la découverte et la bénédiction de la vie, au sens spécifique du bébé, de la famille et du passage de l'adulte au parent mais aussi, au plan sociétal où le bébé ouvre des portes précédemment inaccessibles, pour une nébuleuse de raisons.
Un bébé multiplie le bonheur.
Il y a des défis, certes. Inutile de les nier car il y en a. Mais ce serait tordu de baser un narratif sur ce biais plutôt que l'ensemble de l'expérience du cycle de la vie.
Chaque humain est à la fois, unique, précieux, créateur, responsable et infini, en ce qui a trait à ses potentiels.
Cette volonté de "Stop Having Kids" de convaincre que la vie est bien plus facile sans enfants est basée sur une lecture partielle de la réalité.
Parce que oui, l'argent mis sur des vacances plutôt que sur des enfants achète un parcours hédonistique qui peut faire rêver. Et je dis ça authentiquement parce que c'est un parcours enviable. Mais ce serait se bercer d'illusions que de demeurer centré sur cette seule avenue de développement personnel.
Il y a de nombreuses possibilités et les choix de chacun sont parfaits.
Incluant pour ceux qui n'ont pas d'enfant(s) et qui demeurent les personnes merveilleuses qu'elles sont et qu'elles continuent d'être.
D'ailleurs, je remarque dans mon entourage que ceux qui n'ont pas d'enfants aiment (presque tous... il y a quelques exceptions) les bébés, les enfants et l'humain, au sens large.
Donc, l'expression de l'accueil en ce monde demeure tout aussi divin, ce qui ajoute aux choix de procréation des parents. C'est en quelque sorte le village dont on parle qui permet de cultiver le bonheur chez les enfants qui grandissent.
Il y a donc des sociétalités qui s'agencent naturellement.
Sans forcer.
En douceur, en bienveillance et dans le respect.
Les adultes n'ont pas besoin d'avoir d'enfant pour ressentir leur aspect divin mais s'ils en ont, ça ajoute une couleur à leur spectre de perceptions, pour ainsi dire.
Et c'est justement cette couleur supplémentaire qui rayonne jusqu'aux adultes qui n'ont pas d'enfants mais qui aiment contribuer à ce qu'il y a de beau, de noble et d'inspirant, en lien avec l'enfance.
Les protecteurs de la vie, de la dignité et de l'amour sont partout autour de nous.
Alors de voir un mouvement comme "Stop Having Kids" subvertir des narratifs socialement neutres pour les subvertir me semble aussi malhonnête que malveillant, aussi bien contre les enfants à naître que ceux qui les aiment et aussi, contre l'intérêt fondamental de "remplacement générationnel" de la société, dans son ensemble, voir, l'humanité et in fine, le vivant.
C'est donc un pan fondamental de notre existence contre lequel "Stop Having Kids" tente d'induire des perceptions contre les bébés et surtout, le fait d'en avoir ou "de choisir d'en avoir".
J'ajouterais que de nombreux éléments sensibles sont mis à contribution par et pour "Stop Having Kids" comme l'avortement, l'égalité des opportunités, entre les hommes et les femmes, la sécurité financière accrue en n'ayant pas d'enfants et de nombreux thèmes polarisants qui servent de boucliers idéologiques pour ce qu'ils appellent "la cause" de ne plus avoir d'enfants et de dire non aux bébés.
Ce sujet touche tout le monde.
Tout le monde, sans exception, a été un bébé et d'imaginer qu'un mouvement milite contre ce passage obligé que nous avons tous traversé pour devenir qui l'on est me semble être animé par des arguments discutables, même si en partie vrais... et objectivement défendables, dans les confins qu'ils pressentent pour leurs constats.
Ainsi, on peut retenir, au passage, qu'il y aurait moyen de faire bien mieux pour nos bébés et nos enfants mais d'aller jusqu'à "Stop Having Kids", c'est le pas de trop qui ne passe pas, pour moi, pour toutes les raisons que j'explique, ci-haut ainsi que d'autres sur lesquelles je pourrais élaborer, plus tard, au besoin.
Il y a un assaut contre le vivant, avec (par exemple) la guerre au carbone et sa supposément nécessaire taxation mondialiste, il y a un assaut, de nature (encore) expérimentale, contre notre ADN via des usages présentés comme innovants de l'ARN messager ainsi que des assauts technocrato-transhumanistes sur presque tous les autres fronts de notre vie.
Autrement dit, ça nous force à voir plus large que leurs prisons de croyances et de manipulations.
Et la bonne nouvelle, c'est que voir plus large nous permet de comprendre pourquoi c'est un piège que de se limiter dans les narratifs manufacturés pour limiter notre potentiel infini.
Parce que oui, la limitation, la misère, la maladie, la pauvreté c'est payant... pour EUX.
Mais nous ne sommes pas eux ; )
Alors nous avons notre monde à créer et en ce qui me concerne, ce monde ouvre grand les bras aux bébés.
Et il y a tout ce qu'il faut pour eux et leur plein épanouissement, en autant qu'on ne laisse pas les parasites nous créer artificiellement des peurs ou des programmes de peurs qui sont autant de pièges pour vampiriser nos forces vives, à leur avantage.
Merci de rayonner en conscience, chers Amis.
Source: Ma publication, dans Substack
Extrait facile à partager, comme ici, dans VK, Twitter et Facebook...
On pensait avoir tout vu de la subversion idéologique perverse de la cabale d'initiés mais non, ils s'en prennent maintenant... aux bébés, avec des campagnes publicitaires.
https://claudegelinas.substack.com/p/di ... aving-kids
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