Les "élus" dociles font office de paravents politiques pour le sombre système de contrôle (Radhanites [City de Londres], Rothschilds, Rockefeller, Soros, Gates, Clinton, CFR, ONU, OMS et leurs complices) qui les admet à ces postes, suite à leur initiation. Qu'ils le sachent ou non, au départ.
Ils sont sélectionnés.
Des mécaniques préférentielles ont alors cours pour les installer, au "pouvoir".
Une fois dans l'appareil d'État, ils comprennent qu'ils échangent avec le peuple une fois aux 4 ans mais avec les lobbyistes, c'est à chaque jour, ou presque.
Le système est intentionnellement dysfonctionnel.
Pour nous.
Mais...
Pas pour eux.
Des "élus" dociles qui obsèdent sur des "projets de loi" (des "projets de contrôle", tout simplement) qui limitent le peuple, c'est VOULU par leur hiérarchie de l'ombre qui diffuse une version publique de ses plans.
Oui, des plans.
Comme l'Agenda 2030, la 4e révolution industrielle, la "Grande réinitialisation" ou les Objectifs de développement durable (ODD) de l'ONU.
Ce sont des plans de contrôle, d'appauvrissement et d'affaiblissement, voire de division et de démobilisation, contre nous... et pour eux.
Pour leurs bénéfices, dans ce jeu social conçu pour nous faire essentiellement tourner à vide.
Il y a des exceptions qui font pleuvoir des avantages divers sur ceux qui partagent les idéologies des contrôleurs de l'ombre mais c'est limité afin d'éviter toute concurrence à leur hégémonie.
Que vous y croyez ou non ne m'appartient pas.
Il vous appartient de faire votre propre idée basée sur vos propres observations, expériences et recherches, indépendantes.
Ceux qui se fient aux mercenaires informationnels de l'ombre pour savoir si l'ombre existe se bercent d'illusions. Ceux-ci se feront conforter que "tout va bien aller".
Comme dans 1984.
Mais via une matrice de contrôle infiniment plus sophistiquée et adaptogène, selon les préférences populaires du moment, toujours dans le sens du plan d'esclavage du cheptel humain.
Partout où vous voyez les victimaires qui se complaisent dans leur servitude (d'abord idéologique), vous constatez que ces victimes le demeurent trop souvent par choix.
Des choix qui les éloignent de leur pouvoir de création.
Qui les éloignent de leur soi-créateur.
Parce que des créateurs qui s'ignorent, sciemment ou non, se positionnent pour devenir des victimes d'une panoplie de plans plus machiavéliques et interloqués les uns dans les autres.
Une fois en "mode victimaire", la victime fait son nid, en quelque sorte, dans ce terreau toxique de "métro, boulot, dodo".
L'esclave qui se plaint d'être esclave tout en agissant en esclave, volontairement. Matin après matin. Jour après jour. Pour payer les comptes, essentiellement. Dans le système qui le vole sans fin et qui entretient sa misère. Parce que c'est à ça que sert le système.
C'est un système d'esclavage.
Par exemple...
"Je suis allé au parc ce soir, pendant 1 heure". Oui. Certes. Mais tu as travaillé 7 heures juste avant, dans la journée, pour enrichir un patron.
Ce sont ses projets qui ont avancé. Pas les tiens. Ou alors, bien moins que les siens.
Et ce patron, à moins de faire partie des initiés qui sont entourés de juristes, de fiscalistes et de comptables dits "créatifs" enrichira les coffres des États où il opère.
Ces fonds, une fois entre les mains des États seront invariablement canalisés vers les "projets" alignés sur les idéologies des contrôleurs de l'ombre qui, incidemment, via des fonds comme BlackRock, Vanguard, StateStreet et d'autres contrôlent les FOURNISSEURS pour ces projets. Et ceux-ci sont "sélectionnés" via des "appels d'offre" qui sont soigneusement conçus pour avantager le fournisseur sélectionné.
Le système fonctionne.
Mais...
Pas pour nous.
Alors, il faut s'extraire de ce contrôle spirituel, philosophique, idéologique, politique, juridique, administratif, financier, social, professionnel et même personnel.
Tout un agenda, pas vrai?
Et pourtant, vous y parvenez en connectant sur votre pouvoir-créateur-infini, à chaque instant.
De ce fait, chacune de vos décisions engendrent des choix qui vous guident habilement à l'intérieur de ce système afin d'abord d'y survivre (parce que cet aspect est essentiel) et de le transformer de l'intérieur. Et rares sont ceux qui se trouvent à l'extérieur de ce système mondialisto-contrôliste et même là, qu'ils l'avouent ou non, ils dépendent quand même du système dont ils prétendent s'être extraits.
Alors voilà où nous en sommes.
Au dévoilement des évidences qui ne peuvent plus être cachées, à moins d'un retour à un proverbial âge (encore plus) sombre mais grâce à l'expression de votre pouvoir-créateur-infini, les parasites n'ont plus de contrôle sur vous.
Aussi simple et puissant que ça.
Quand les petites mains du système cessent d'être dociles, le système se dissout, graduellement, d'où l'importance de tenir bon et d'être persistants dans notre choix de vérité et de connexion à l'expression pleine et entière de notre potentiel divin, partout, incluant dans cette manifestation.
Si vous avez lu jusqu'ici, vous savez probablement déjà tout ce que j'expose, une fois de plus.
Mais...
Il reste l'espoir que vous inviterez quelqu'un d'autre à sortir du moule pour mieux reconnaître et éventuellement dissoudre ce qui l'opprime et le limite, jusqu'à sa mort... sauf s'il ouvre les yeux sur ce qui a cours, via des machinations systémiques présentées comme la normalité et plus récemment, comme une "nouvelle normale". Ce terme étant une bonne blague des contrôleurs pour se moquer de ceux qu'ils arrivent facilement à réduire à l'esclavage.
Et n'oubliez jamais que les meilleurs esclaves sont ceux qui ne savent pas qu'ils le sont.
Eux, ils "y croient" vraiment!
Dans leurs idée, ils ne sont pas des esclaves et ça fait partie de leur chemin de réalisations mais collectivement, ça demande une prise de conscience permanente de l'état des lieux. En évitant de tomber dans les pièges des contrôlistes et leurs jeux sans fin sur les mots qui servent à nous diviser et nous éloigner de notre potentiel divin.
À vous d'évoluer votre vie, en tous points, de la servitude à votre expression de liberté divine manifestée.
Source: Ma publication, dans Substack
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