Montréal peut maintenant faire face à la violence armée, estime le ministre Bonnardel

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cgelinas
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31 mars 2023


Dans une entrevue accordée à Radio-Canada, le ministre québécois de la Sécurité publique, François Bonnardel, estime que son gouvernement a fourni dans les derniers mois tous les outils nécessaires à la Ville de Montréal pour qu'elle puisse lutter efficacement contre la violence armée.

[Éditeur: dans tout ce cirque, personne ne se demande d'où vient toute cette violence armée, à Montréal. Pourtant, il y a des armes partout au Québec mais c'est à Montréal que les problématiques semblent hors-de-contrôle. Pourquoi? #Diversité?]

Il n'y a aucun gouvernement qui en a fait autant pour soutenir le [Service de police de la Ville de Montréal] (SPVM). C'est le corps de police le plus important avec la Sûreté du Québec (SQ). Ce qu'on a donné, ce sont des moyens qui permettent au directeur Fady Dagher d'avoir les policiers additionnels pour contrer la violence armée, a déclaré François Bonnardel.

Au cours des 14 derniers jours dans le Grand Montréal, deux jeunes de 18 et 21 ans ont été tués par balles, puis deux adolescents de 16 ans et un jeune homme ont été poignardés. C'est sans compter les tentatives de meurtre par balles ou les coups de feu visant des résidences privées qui ont occupé les policiers du SPVM.

[Éditeur: est-ce que plus de policiers qui arrivent après le fait vont vraiment changer quoique ce soit?]

Je comprends comme vous que depuis les derniers jours, il y a une recrudescence [de la violence armée]. Maintenant, tous les outils sont là pour avoir les policiers afin de rassurer la population et d'épauler ceux qui sont déjà sur le terrain, a-t-il ajouté.

[Éditeur: avec au moins 50,000 illégaux dans la métropole et de nombreux gangs de rue, aucun Montréalais n'est rassuré. Ils sont juste désabusés de voir ce cirque ministériel qui dépense sans fin pour les mêmes cercles de racailles que la police a peur d'affronter, laissant les gens à eux-mêmes et en se pointant après que des crimes odieux eurent été commis, souvent impunément.]

Le ministre ne cache pas qu'il s'attend à voir des résultats sur le terrain alors que, selon nos sources policières, le renseignement criminel au SPVM indique que la saison estivale pourrait donner le ton à de nouvelles flambées de violence armée.

Regarnir rapidement les rangs du SPVM

Durant les sept derniers mois, les millions de dollars et les changements législatifs à la Loi sur la police se sont succédé en faveur du recrutement de policiers pour la métropole.

Le projet de loi 14 récemment déposé par François Bonnardel permettra au SPVM d'embaucher des civils ayant une expertise pertinente pour le milieu policier.

[Éditeur: j'ai bien lu, "des civils"? Un modèle semblable à celui du FBI? Ça ressemble à une sorte de service de répression pouvant être activé à tout moment. D'ailleurs, ces civils seront-ils connus du public? Seront-ils redevables?]


Le modèle ressemble à celui adopté par le FBI aux États-Unis, où des professionnels sans expérience policière deviennent agents dans des champs d'expertise spécifiques.

[Éditeur: c'est inquiétant parce que ce n'est absolument pas le modèle québécois.]

Au Québec, ce sera une première pour un corps policier.

[Éditeur: justement, c'est un problème.]

Il s'agit d'une première au Québec afin d'offrir la flexibilité nécessaire à la police de Montréal pour recruter des civils en tant que policiers afin de soutenir les enquêtes criminelles spécialisées, comme la cybercriminalité, explique M. Bonnardel.

[Éditeur: de quels milieux proviendront ces "civils"? Quelle sera leur chaine de commandement? Le public pourra-t-il faire appel à eux? S'appelleront-ils des "agents", des constables... ou autre chose?]

Mais la retombée la plus concrète à court terme pour augmenter la présence policière dans les rues de Montréal est sans doute la diplomation des 72 premiers aspirants policiers qui ont formé la première cohorte de recrues exclusive au SPVM.

Ces futurs policiers seront en devoir dès la semaine prochaine dans les rues de Montréal.

[Éditeur: les criminels prennent bonne note que des "nouveaux" agents seront lancés dans la jungle urbain de la métropole. Ça ouvre de nouvelles possibilités d'intimidation ou de corruption.]

Ça représente un investissement annuel de trois millions de dollars afin de mettre en place cette nouvelle cohorte, mentionne M. Bonnardel, qui assistait à la cérémonie de remise des diplômes.

[Éditeur: "mettre en place" mais après ça, les coûts sont exorbitants alors le compte de taxe des Montréalais va encore augmenter... pour tenter un contrôle de la racaille qui est manifestement hors de contrôle.]

Plus tôt cette semaine, le ministère de la Sécurité publique annonçait que le programme d'attestation d'études collégiale (AEC) pour recruter des candidats issus des minorités avait été élargi afin de permettre l'embauche de 140 policiers supplémentaires au statut conventionnel dans tout le Québec, portant le total à 230.

De ce nombre, 105 sont destinés au SPVM.

[Éditeur: juste avec les chiffres, on voit qu'il y a de réels problèmes à Montréal et personne ne semble pressé de parler sérieusement de ceux-ci.]

Toujours à l'échelle provinciale, la capacité de former annuellement des policiers passera de 650 à 1000 recrues dès 2024, à l'École nationale de police du Québec (ENPQ).

Le SPVM profitera aussi de l'augmentation de ce bassin de recrues.

C'est donc 350 policiers de plus qui seront formés annuellement. Habituellement, le SPVM vient embaucher 30 % de l'ensemble des diplômés de l'ENPQ, estime le ministre de la Sécurité publique.

[Éditeur: on lit donc entre les lignes que la racaille montréalaise va se provincialiser et que les comptes de taxes vont monter à peu près partout pour entretenir les "traitements" de ces policiers... et civils, dans le cas de Montréal.]

Avant le déclenchement de la dernière campagne électorale provinciale, en août 2022, la Ville de Montréal s'était fait octroyer une enveloppe de 225 millions de dollars sur cinq ans.

[Éditeur: donc, le Québec au complet paie pour la racaille de Montréal qui a envahi les rues sous les encouragements de la mairesse woke et pro-BLM Valérie Plante qui vante sa "ville refuge", en ligne directe avec l'adoption de cette nomenclature par l'ex-maire woko-BLMiste Denis Coderre, en 2017.]

Cet argent va permettre d'ajouter 225 policiers [au net] dans les rangs du SPVM, explique François Bonnardel.

Une enveloppe supplémentaire de 25 millions, également sur cinq ans, avait été annoncée pour la prévention et le communautaire.

[Éditeur: rien de trop beau. Parce qu'on est pas assez endettés de même...]

Des projets comme l'Équipe mobile de médiation et d'intervention sociale (EMMIS) vont pouvoir profiter de l'ajout de travailleurs sociaux bien au-delà de l'arrondissement Ville-Marie.

[Éditeur: il y a des besoins mais c'est surtout la pauvreté rampante qui engendre les drames et le crime qui accompagne toujours la pauvreté.]



Source: MSN / Radio-Canada


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Le ministre François Bonnardel qui annonce que des civils vont être ajoutés au SPVM. C'est un modèle semblable à celui du FBI.

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En effet, le projet de loi 14 récemment déposé par François Bonnardel permettra au SPVM d'embaucher des civils ayant une expertise pertinente pour le milieu policier.

Ça va bien aller ; )


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Le ministre François Bonnardel estime que le gouvernement du Québec a donné tous les outils à Montréal pour s'engager dans la lutte contre la violence armée. -- © Yoann Dénécé, caméraman/Radio-Canada
Le ministre François Bonnardel estime que le gouvernement du Québec a donné tous les outils à Montréal pour s'engager dans la lutte contre la violence armée. -- © Yoann Dénécé, caméraman/Radio-Canada
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La première cohorte réservée au SPVM a officiellement reçu son diplôme à l'École nationale de police du Québec, à Nicolet. -- © Yoann Dénécé, caméraman/Radio-Canada
La première cohorte réservée au SPVM a officiellement reçu son diplôme à l'École nationale de police du Québec, à Nicolet. -- © Yoann Dénécé, caméraman/Radio-Canada
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Claude Gélinas, Éditeur
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