Ottawa appelé à ne pas contester une poursuite intentée par des fonctionnaires noirs

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cgelinas
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27 mars 2023


Des syndicats représentant plus de trois millions de travailleurs ont exhorté lundi le gouvernement fédéral à ne pas contester une demande de recours collectif déposée par des fonctionnaires noirs qui dénoncent un climat de discrimination raciale à Ottawa.


Le Congrès du travail du Canada, l'Alliance de la fonction publique du Canada (AFPC) et l'Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC) ont déclaré lors d'une conférence de presse conjointe lundi que le gouvernement fédéral ne devrait pas poursuivre sa contestation judiciaire.


Le moment est venu pour le gouvernement fédéral de se montrer à la hauteur et de prendre la bonne décision , a déclaré Larry Rousseau, vice-président exécutif du Congrès du travail du Canada, la plus grande organisation syndicale du pays.

[Éditeur: encore une attaque contre nos fonds publics par un lobby d'intérêt privé. Des noirs, cette fois-ci. Et toute cette supercherie est basée sur la préséance de la couleur de la peau d'un candidat pour un emploi plutôt que sur l'excellence de sa feuille de route.]

Dans leur requête en action collective, lancée en 2020, un groupe de fonctionnaires fédéraux noirs font état d’une discrimination systémique dans la façon dont le gouvernement embauche de nouveaux fonctionnaires et accorde des promotions.

[Éditeur: le Canada ne discrimine pas, en général et certainement pas de manière systémique. Ce sont des concepts inventés par les abuseurs qui tentent de se dépeindre en victimes. De fausses victimes parce que leur narratif évacue complètement la notion de talent pour concentrer 100% de l'argumentaire autour du seul critère de la race. De la fameuse "diversité" dont on comprend que tout le monde en fait partie, sauf les blancs. Ce recours collectif est une imposture bien qu'il y ait bel et bien pu y avoir des choix mal avisés, ces choix ont pu aussi affecter les autres races, à commencer par des caucasiens.]

Ils allèguent que quelque 30 000 fonctionnaires noirs ont perdu depuis les années 1970 des occasions et des avantages accordés à d'autres en fonction de leur identité de groupe.

[Éditeur: ouf! Quelle allégation... comment vont-ils faire pour prouver une telle allégation? Toute cette supercherie sous couvert de recours collectif est cousue de fil blanc.]

Les plaignants réclament 2,5 milliards de dollars en dommages-intérêts afin d'indemniser les fonctionnaires noirs pour les difficultés mentales et économiques auxquelles ils ont fait face. Ils demandent également un plan pour enfin diversifier la main-d'œuvre fédérale.

[Éditeur: 2,5MM$ pour... quoi? Pour blâmer le gouvernement du Canada d'avoir embauché les candidatures les plus talentueuses? Pour avoir muni la fonction publique des meilleurs employés qui présentaient leur candidature? S'il y a eu de mauvais choix, il y a des mécanismes en place pour les adresser, de manière officielle. Ces voies de solutions ont-elles été explorées? Ou même considérées?]

En octobre 2022, Ottawa a demandé à un juge de retirer le recours collectif arguant qu'il serait plus approprié de traiter ce dossier comme un grief en relations de travail.

[Éditeur: oui, totalement d'accord. Ce sont des allégations, dans le recours collectif alors qu'il faudrait traiter chaque cas, individuellement.]

Mais pour les syndicats, le gouvernement fédéral est tenu de retirer sa contestation après que le Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada a récemment reconnu que la Commission canadienne des droits de la personne (CCDP) a fait preuve de discrimination envers ses propres employés noirs et racisés.

[Éditeur: c'est quoi cette logique-là? Une erreur et il faudrait que le gouvernement du Canada au complet paie pour une situation de prétendue "discrimination"? Et les horribles règles de prétendue équité en emploi, au gouvernement et presque partout pour les bons emplois, au pays... c'est quoi? Ce sont des règles de sélection d'emploi qui placent invariablement les hommes blancs au bas de TOUTES les listes de sélection. Ça c'est systémique. Et raciste, anti-blanc. Ça, ça mériterait un recours collectif.]

« Préjudice »

L’organisme fédéral a fait ce constat en mars 2023, plus de deux ans après avoir reçu un grief de principe de la part de neuf employés de la CCDP, déposé en octobre 2020, par l’intermédiaire de leur syndicat. Le grief fait état de racisme systémique anti-Noir, de sexisme et de discrimination systémique visant les employés noirs et racisés.

[Éditeur: ça donne l'impression que des noirs qui n'arrivent pas à obtenir un emploi en raison de leur talent veulent faire payer les Canadiens d'avoir choisi une autre candidature dont les critères d'excellence n'étaient pas limités à la couleur de sa peau. Les noirs qui tentent de se dépeindre comme des victimes donnent l'impression d'être les agresseurs. Et ne soyons pas dupes, les ennemis désignés à mots couverts par ces noirs sont les blancs. C'est une inversion du racisme mais du racisme pareil... contre les blancs.]

Cela confirme le fait que les fonctionnaires ne peuvent pas s’adresser à la Commission pour obtenir des réparations, ce qui leur porte préjudice, a déclaré Nicholas Marcus Thompson, directeur de l'organisme Recours collectif noir.

[Éditeur: non, ça ne confirme RIEN parce que cette réflexion se limite à la logique nécessaire pour tenter de justifier un recours collectif. On assiste à une technique de guerre économique, contre les Canadiens.]

Interrogés par CBC, des employés et d'anciens employés de la CCDP dénoncent notamment le fait que la Commission rejette un grand nombre de plaintes provenant de minorités religieuses ou ethniques, alors que celles qui sont retenues sont confiées à des enquêteurs qui ne maîtrisent pas nécessairement les questions liées au racisme.

[Éditeur: le racisme n'explique pas tout. Il y a tellement de bons travailleurs noirs mais là, on voit que ceux qui n'auraient pas été choisis deviennent toxiques car leur ambition est de faire passer leur couleur de peau avant le talent, ou un autre critère nécessaire au succès dans un poste à combler. Le nivèlement vers le bas, en emploi ou autrement, ne se termine jamais bien.]

Lundi, les syndicats ont affirmé que le processus de règlement des plaintes et griefs n’est pas l’avenue idéale pour les fonctionnaires fédéraux noirs étant donné qu’il ne peut prendre en charge les plaintes d’employés qui ont quitté la fonction publique.

[Éditeur: euh... c'est exactement les mêmes règles pour tous les fonctionnaires, qu'ils soient noirs ou de n'importe quelle autre couleur de peau.]

Une cheffe syndicale a, par ailleurs, indiqué que l'organisme qui statue sur les griefs, la Commission des relations de travail et de l'emploi dans le secteur public fédéral, pourrait prendre cinq à six ans pour arriver à une conclusion.

[Éditeur: ce serait le même délais pour des décisions impliquant des employés avec d'autres couleurs de peau.]

Cet organisme prend en charge les plaintes provenant d’individus et n’a pas le mandat d’examiner des allégations de discrimination systémique visant toute la fonction publique, a dit Jennifer Carr, présidente de l'Institut professionnel de la fonction publique du Canada.

[Éditeur: le Canada n'a pas à devenir le souffre-douleur de toutes les doléances basées sur la race, surtout quand on assiste à des schèmes de ponction de plusieurs milliards de dollars de la fonction publique fédérale et naturellement, des Canadiens qui paient 100% de la coûteuse facture. Tous les noirs ont déjà l'avantage systémique pour obtenir les emplois fédéraux, en raison des règles d'équité en emploi alors s'il y a des torts, qu'ils soient adressés individuellement et via les voies officielles mais pas au travers d'un recours collectif basé sur des allégations.]

C’est pour cette raison que le recours collectif est important, parce qu’il va forcer le gouvernement à mettre en oeuvre les changements systémiques que nous ne pouvons pas obtenir par d’autres moyens, a ajouté Mme Carr.

[Éditeur: c'est horrible comme ambition. C'est comme officialiser le nivèlement vers le bas, pour toujours. Dehors la compétence. La couleur de la peau suffit, en autant qu'elle soit noire. Mais ce n'est pas raciste! Come on... ou voit clair au travers de ce jeu de lobbying pour aller chercher des milliards dans nos poches.]



Source: MSN / Radio-Canada


Extrait facile à partager, comme ici, dans VK et Twitter...

Un recours collectif noir de 2,5MM$.

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Les "règles d'équité en emploi" ne sont pas suffisantes pour la diversité? Il faut aller encore plus loin et faire payer les Canadiens d'avoir eu l'audace de choisir l'excellence, qu'importe la couleur de peau?

Les noirs savent très bien que leur compétence doit être le facteur pour lequel ils sont choisis pour des emplois.

C'est le facteur de sélection universel, dans le monde entier.

Ce genre de charade sous couvert d'un recours collectif les fait mal paraître et c'est tellement regrettable qu'il en soit ainsi parce qu'on connaît tous des noirs exceptionnels qui brillent par leurs compétences et talents.

Là, avec ce recours collectif, on s'enligne pour des sélections de candidatures artificiellement favorables à des candidats de moindres capacités simplement parce qu'ils ont la "bonne couleur de peau", soit la peau noire, dans ce cas-ci. C'est la définition-même du racisme. Que ce racisme soit inversé, ou non.

Tous les noirs doivent exiger que justice soit rendue pour les cas de sélection professionnelle vraiment mal faite et qui aurait défavorisé un noir mais ce même travail doit être fait, qu'importe la couleur de peau.

Sinon, le combat contre le racisme devient l'implantation, pure et simple, du racisme via des règles coercitives qui pourraient nous empêcher de tendre vers l'excellente tant on coule avec la sélection en raison de la couleur de la peau.

Tout le monde doit combattre la machiavélicité de ce recours collectif.



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Un journaliste noir pour la couverture journalistique d'un immense recours collectif noir... alors que les noirs sont prétendument discriminés.<br /><br />Tout est faux dans ce narratif manifestement surfait et basé sur le biais pour la race plutôt que pour l'excellence.
Un journaliste noir pour la couverture journalistique d'un immense recours collectif noir... alors que les noirs sont prétendument discriminés.

Tout est faux dans ce narratif manifestement surfait et basé sur le biais pour la race plutôt que pour l'excellence.
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De gauche à droite, Larry Rousseau du Congrès du travail du Canada, Jennifer Carr de l’Institut professionnel de la fonction publique du Canada et Nicholas Marcus Thompson du Black Class Action Secretariat assistent à une conférence de presse à Ottawa le 27 mars 2023. (David Thurton/CBC)
De gauche à droite, Larry Rousseau du Congrès du travail du Canada, Jennifer Carr de l’Institut professionnel de la fonction publique du Canada et Nicholas Marcus Thompson du Black Class Action Secretariat assistent à une conférence de presse à Ottawa le 27 mars 2023. (David Thurton/CBC)
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Nicholas Marcus Thompson, directeur général, secrétariat du Recours collectif noir. -- © /Radio-Canada
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