Les 518 millions de dollars d'argent public canadien et ontarien, à parts égales, aident à focaliser sur l'ambition de carboneutralité d’ici 2050, au Canada, selon Lana Payne d'Unifor.
Cette fois, le B.S. corporatif va à la transnationale multimilliardaire étrangère GM pour son camion-concept électrique pour des livraisons de colis appelé BrightDrop.
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Justin Trudeau et Doug Ford viennent d'en faire l'annonce, conjointement. Avec de larges sourires.
Comme quoi enrichir des étrangers demeure au sommet de leurs priorités, entre une courbette à Klaus Schwab, une à Bill Gates et une autre à George Soros. Avec un clin d'oeil au Clan Biden et à sa rapace rockefellero-onusienne, signalage de vertu-oblige.
Une bien belle gang de chums de haut-rang qui se font des faveurs, à nos frais.
Pourquoi brûler l'argent public des Canadiens pour obséder sur des véhicules électriques au lieu de s'occuper des autres problèmes que vivent les Canadiens?
Tout simplement parce que Justin est... pressé.
Problème — Réaction — Solution
Vous voyez, son régime libéraleux (dont on pourrait même dire qu'il s'agit d'un régime de type "bébé communiste") a l'intention d'interdire la vente de nouveaux moteurs à combustion interne dans les véhicules de tourisme d'ici 2035, au Canada.
Rien que ça.
Ça va être "smart", mur-à-mur!
Vous l'avez deviné, c'est le même agenda de panique climatique perpétuelle qui vient, une fois de plus, justifier cet usage purement et simplement scandaleux de nos fonds publics.
Évidemment que GM se réjouit.
Imaginez si vous étiez en train de rénover votre maison et que le duo mondialo-collaboriste Trudeau-Ford venait payer le quart de votre facture. Et bien, c'est un peu ça qui a cours avec GM mais dans ce cas précis, c'est avec votre argent et la réalisation que personne ne paiera le quart de vos rénos, à vous.
Ce genre de B.S. corporatif, c'est pour les amis du grand patronat davos-o-phile.
Vous savez? Cette classe auto-congratulante qui fonctionne à coup de lobbyistes, de contrats confidentiels et de menaces.
Oui, eux.
Dire qu'il y a des Canadiens qui célèbrent cet enrichissement étranger, avec l'argent et le labeur des Canadiens.
Imaginez tous les projets locaux qu'un demi-milliard aurait pu engendrer. Nous aurions pu valoriser de nombreuses filières industrielles à 100% canadiennes et surtout, aider les Canadiens qui en ont besoin au lieu de canaliser cette somme colossale dans les poches des actionnaires de GM.
Mais bon, on ne peut qu'imaginer parce que le gros cash a pris le chemin des gestionnaires de GM au service du géant de l'automobile, à Détroit.
Plus d'un demi-milliard... en pleine période d'inflation où des millions de Canadiens n'arrivent plus à boucler leur budget.
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Réponse: Claude
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Source:
Ma publication, dans Substack
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Au même moment où les Québécois se font ... r, solide.
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