L'Université Brock lance une «salle d'étude BIPOC» séparée

[cgelinas]

Black, Indigenous or persons of colour (BIPOC)

La nouvelle tendance, en matière de ségrégation scolaire, au Canada


16 novembre 2022


L'Université Brock de la région sud-ontarienne du Niagara (St. Catharines et Hamilton) a lancé une nouvelle salle d'étude à ségrégation raciale pour les étudiants qui s'identifient comme noirs, autochtones ou personnes de couleur (NAPdC) ou en anglais, "BIPOC".

[Éditeur: remarquez bien le mot "s'identifient"... vous ne rêvez pas!]


La « salle d'études BIPOC » gérée par les Services d'apprentissage de l'université a lieu les mardis et mercredis de 18 h à 20 h. Elle offre aux étudiants racisés des services de tutorat à partir des étudiants de quatrième année.

Dans un communiqué de presse, l'université affirme que le nouveau service, qui a été créé en partenariat avec le Brock's Hadiyaˀdagénhahs First Nations, Métis and Inuit Student Centre, et le BIPOC Caucus, vise à « améliorer les ressources académiques pour les étudiants ».

Ashley Grover, spécialiste du développement du programme d'études de Brock, a déclaré dans le communiqué que "nous savons que les étudiants du BIPOC sont historiquement sous-représentés dans les espaces universitaires en général et ont moins d'opportunités en termes d'accès à l'université".

Elle a ajouté que "se sentir accueilli et soutenu sur le plan académique dans la salle d'étude et dans toute l'université n'est qu'un des moyens par lesquels nous essayons de résoudre ce problème".

Brock et sa nouvelle "salle d'étude BIPOC" ont été critiquées sur les réseaux sociaux, certains affirmant que le service est une forme de ségrégation raciale et de racisme.

[Éditeur: et ça l'est. Le progressisme a tellement progressé qu'il a fait le tour du cercle est revenu à la ségrégation. Incroyable, non?]

Le journaliste Jonathan Kay, qui dénonce souvent le réveil qui a lieu dans les universités canadiennes, s'est enquis de la possibilité pour les Juifs de venir.

Pendant ce temps, Chanel Pfahl, ancienne candidate anti-réveil au conseil scolaire d'Ottawa, a qualifié l'université de "racistes dégoûtants".

[Éditeur: le fait d'être né caucasien ne devrait pas être une justification pour subir ce type de racisme... contre les blancs. La ségrégation est évidente mais le racisme aussi.]

Au moment de la publication, les commentaires de Kay et Phafl avaient beaucoup plus de likes que le tweet original de la Faculté des sciences sociales de Brock faisant la promotion du service séparé.

Il convient de noter que le «BIPOC Study Hall» de Brock n'est que le dernier cas de ségrégation raciale en cours dans les universités ontariennes.

[Éditeur: il y a d'ailleurs là un problème de société qui alimente ce genre de dérives, en milieu universitaire.]

Comme indiqué précédemment par True North, l'Université de Guelph a récemment défendu une séance de yoga "exclusive aux étudiants, au personnel et aux professeurs qui s'identifient comme Noirs" après que l'événement ait reçu des réactions négatives en ligne.

L'Université Brock n'a pas répondu à la demande de commentaires de True North à temps pour la publication.



Source: TrueNorth



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[cgelinas]

Brock a lancé une nouvelle offre de salle d'étude, à des moments prédéfinis, où pourrait se formaliser une forme de ségrégation raciale puisque celle-ci invite des étudiants qui s'identifient comme noirs, autochtones ou personnes de couleur à s'y rendre.

viewtopic.php?t=4618

Vous ne rêvez pas et cette mouvance porte le nom de BIPOC pour "Black, Indigenous or persons of colour".

Le problème, c'est que le blanc n'est pas une couleur, selon la logique de cette mouvance.

Et pourtant, les besoins en aide scolaire sont universels et pas seulement le lot des BIPOC. Le but d'une aide scolaire, en soi, demeure noble et même, à maints égards, essentielle mais de là à "inviter" les BIPOC, c'est un précédent qui nous rappelle de très mauvais souvenirs, en lien avec de précédentes ségrégations.

Si une université ontarienne d'importance comme Brock signale publiquement sa vertu wokisante, c'est qu'ils y croient. On peut donc imaginer qu'il y a une idéologie dans ce lieu de savoir qui supporte l'établissement d'une telle salle d'étude, à des moments prédéfinis.

Difficile de ne pas y voir la ségrégation, basée sur la racisme ce qui pourrait paver la voie au racisme, contre les blancs. Même si ça a lieu de manière subtile.

Il s'agit d'une pente glissante qui pourrait avoir des conséquences sur la cohésion à l'université elle-même mais ça envoie un "signal d'alarme social" au pays, au complet car si la ségrégation se cristallise ouvertement, sous nos yeux, dans une université d'importance, ça pourrait être-là notre canari dans la mine que quelque chose d'inconfortable et d'inadmissible s'installe, dans notre société.

Nous n'accepterions pas qu'une salle d'études soit destinée pour les caucasiens alors la mouvance BIPOC ne peut pas faire exception au fait fondamental que nous refusons les ségrégations.



Source: Ma publication, dans BuymeaCoffee


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La ségrégation pro-BIPOC, à l'université Brock, en Ontario, envoie un signal inquiétant que les Canadiens ne peuvent pas ignorer.

https://www.buymeacoffee.com/logixca/la ... site-brock

BIPOC = noirs, autochtones ou personnes de couleur

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