Choisir le bien plutôt que le mal

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cgelinas
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Trop souvent, on ne découvre le mal que lorsqu'il frappe.

Que ce qu'on aime, comme les sourires des enfants soient cachés sous des masques, nous soit présenté comme une nouvelle normale, approuvée par l'État mais manifestement pas par le peuple. Ou alors, pas par "tout le monde" malgré des apparences de docilité policée à coup d'amendes.

C'est un exemple parmi des milliers et pourtant, le peuple fait appel à son courage, sa créativité, son intellect, sa débrouillardise et sa fibre moral sans cesse plus affinée pour comprendre les propagandes et vivre, malgré leur présence graduellement plus toxiques et vampirisante.

Les Québécois comme les autres peuples du monde n'ont pas choisi le complexe corporatocentriste suisse principalement mené par le duo constitué des Nations unies (ONU) et du Forum économique mondial (FEM).

Personne n'a voté pour Antonio Guterres ou Klaus Schwab alors pourquoi autant de leurs "agendas" se retrouvent-ils à grever nos fonds publics afin d'être imposés, ici?

La question se pose, non?

Ne sommes-nous pas censés être en... démocratie?

Alors si le mal devait nous frapper, après les années-COVID que l'on vient de subir, saurait-on le reconnaître?

Saurait-on s'en défendre en ayant le réflexe de choisir la bienveillance, la lumière et la grâce divine, en nous, en toutes choses?

Nous nous trouvons, une fois de plus, à une croisée des chemins.

Des opportunités s'offrent à nous.

Certains verront par-delà les brumes de la propagande d'État et d'autres, qui n'auront pas pensé à se lever, en souveraineté de leur propre personne, rester agenouillés et dociles, entourés de la brume qui les empêche de faire du sens de ce qu'ils subissent, au point où ils se résignent à croire qu'il n'existe que cette brume. Que c'est... normal.

Imaginez la surprise d'une personne résignée lorsqu'elle se fait dire qu'il existe autre chose que la brume. Qu'il est possible de se lever, paisiblement et avec confiance en sa propre valeur, afin de voir plus loin et ainsi prendre une mesure plus précise des risques et défis, liés à ces brumes-de-la-propagande mondialiste.

Soyons conscients de la force en chacun de nous.

Demeurons sereins malgré les salves des contrôleurs contre nos instincts naturels et divins de vouloir vivre le scénario de l'expérience humaine dans sa version la plus éblouissante et non cette course vers le fond où des parasites se réservent jalousement le privilège de penser, pour nous, pour leurs intérêts.

Parfois, on y gagne, malgré tout mais en y regardant de plus près, ces petites avancées s'inscrivaient dans des agendas occultes qui, au fond, servaient à nous enfoncer.

Nous vivons une transition.

Du vivant vers le synthétique, en toutes choses.

Naturellement, il y a des bénéfices mesurables mais à quel prix, dans le grand schème des choses? Ce schème si bien caché, dans les brumes qu'il apert que plusieurs en ignorent-même l'existence.

À partir d'un certain moment, le mal est si bien intégré à des réflexes sociaux, économiques et même personnels que des gens croient qu'il ne s'agit que de la "normale" mais c'est d'être bien naïf que de croire qu'en suivant une procédure, un protocole, une méthode, un modèle, une projection ou un quelconque algorithme commandité par les "corps-po-ra-tions" mondialistes, il n'y aurait pas continuellement des degrés occultes aux choix devenus usuels.

La normalité a été militarisée.

Nous devons reconnaitre, démasquer et dissoudre le mal, qu'importe où il se cache.

Voilà un exercice de discernement de tous les instants où nous avons tous un rôle à jouer.

C'est la raison pour laquelle je répète autant de retourner à son propre coeur parce que parmi les infinis trésors qui s'y trouvent, il y a cette intuition qui balise notre discernement. Le coeur et la tête qui travaillent ensemble. Idéalement, pour choisir le bien, à chaque moment et à chaque occasion.

Le bien peut prendre d'infinis aspects. C'est là l'immense terrain de jeu de notre libre-arbitre qui nous permet même de rester à genou, la tête dans la brume et choisir le mal en pensant que c'est le bien... ou alors, choisir le mal par désir conscientisé.

Comme le mal tentera vraisemblablement toujours d'embrumer notre plan de conscience, il devient essentiel pour chacun d'entre nous de choisir le bien qui nous alimente plutôt que le mal qui nous prend en nous faisant faussement croire que "ça ne nous touche pas".

Ce n'est pas qu'au Québec, c'est partout.

Le pont qui se crée entre ceux qui se lèvent doit s'étendre, en bienveillance, en compassion, en patience, en respect avec ceux qui demeurent à genou.

Être à genou dans la brume permet de connecter de manière complice et simple avec les autres qui demeurent dans cette position, propre aux esclaves. C'est agréable qu'une directive excuse tous les torts qui pourraient survenir ou toucher quiconque a suivi celle-ci, qu'importe les conséquences... parce que c'est "la directive".

Mais...

Les conséquences sont bien réelles, pourtant.

Le mal se nourrit de l'énergie provenant des blessures des gens à genou qui n'ont pas encore eu l'opportunité de conscientiser leur place dans leur propre vie, trop occupés qu'ils étaient à obéir aux directives que les brumes emmenaient jusqu'à eux.

Le bien et le mal sont des choix.

Si ce n’est pas un choix pour vous, parce que ça vous est imposé par la force, c’est un choix pour autrui, sauf dans les cas d’actes dits “de Dieu” comme des catastrophes naturelles.

Au fond, le mal peut être exprimé par chacun d'entre nous. Par peur, pour de l'argent ou pour une collection de basses motivations dont les fréquences toxiques empoisonnent les brumes.

Alors, le choix du bien s'impose de lui-même puisqu'il cultive en chacun de nous ce sur quoi nous nous appuyons pour nous lever, auquel moment notre perspective sur notre plan de conscience s'étend si loin qu'on ne veut plus jamais revivre à genou.

D'où l'obsession des embrumistes à terroriser ceux qui oseraient-même penser à se lever.

Le mal a plus d'un tour dans son sac. Des menaces, du chantage et même des frappes ciblées ou collectives pour instiller la peur, la conformité forcée et la... docilité.

Tous --autant que vous êtes-- avez des trésors uniques, en vous.

Le mal s'en doute et se ravit d'en recevoir les fruits mais voilà, ces bénéfices manifestés ou énergétiques vous étaient destinés. Le mal prend par la ruse mais vous devez refuser ces malveillantes manoeuvres.

J'ai une absolue confiance en vous.

Vous êtes tellement forts d'avoir vécu dans les brumes, avec moi mais je vous pressens une expérience immensément meilleure à mesure que vos choix bienveillants vont vous soutenir afin de vous lever.

Voyez plus large ou pressentez une vision plus large. Sortez des polarités (blanc et noir) et prenez conscience des infinis niveaux de gris... et des couleurs! En toutes choses. Ne vous contentez plus du strict minimum et des simplifications réductrices. Déployez vos trésors pour votre bien et celui d'autrui... mais pas du mal.

Rassurez-vous, c'est... compliqué.

J'affronte mes propres blessures, mes limitations (imaginées ou manifestées), mes peurs (ressenties ou avérées) et mes défis à chaque instant. L'habitude aide à mieux baliser mais ça n'empêche en rien le mal d'user de sans-cesse plus de stratégie, contre moi et contre nous tous.

Derrière la "lutte au carbone", il y a la taxation du vivant. Derrière la course aux centaines de nouveaux vaccins, il y a la glorification du synthétique. Derrière les "droits d'auteur", il y a la strangulation de la réelle fibre créative humaine. Et ainsi de suite.

À vous de reconnaître le mal, à chaque fois qu'il se présente.

Pour certains, ce sera de la négligence que personne d'autre ne remarquera ou alors, un vol d'honnêtes personnes où personne ne saura que vous avez tout raflé. Les scénarios sont infinis mais le mal tentera, encore et encore, de vous maintenir à genou, faible et à son service... même si vous croyez être "libres"... n'ayant pas encore conscience de votre inconvenante position, à genou.

Je publie ce texte de manière un peu égoïste parce qu'autant j'en sais un peu plus depuis que je fais l'effort de conscientiser mes choix, autant il me tarde d'apprendre tellement plus... de vous!

Oui, vous.

Si vous saviez à quel point nos échanges sont riches d'enseignements, d'expériences et d'espoirs.

Ce que je vous dis ne vous apprend rien (sauf dans de rares cas). Vous êtes entrés dans ce plan de conscience avec ce potentiel de discernement mais nos vécus ont influé sur nos apprentissages, à propos de nous-mêmes d'abord, de notre entourage, ensuite et des collectivités du monde, ensuite.

Vous êtes à la hauteur des défis.

Choisir le bien vous ressemble alors j'ai confiance que vous irez, tôt ou tard, parcourir les chemins magnifiques de votre coeur pour y trouver la force d'être... vous.

Merci d'avoir pris le temps de me lire.



Source: Ma publication, dans Substack


Extrait facile à partager...

À genou, conforme, docile et obéissant, la tête dans les brumes de la propagande, c'est difficile de prendre la pleine mesure du plan de conscience manifesté que nous appelons notre vie mais une fois debout, la perspective change.

https://claudegelinas.substack.com/p/ch ... que-le-mal

Nous ne sommes pas censés être à genou et j'explique pourquoi choisir le bien nous avantage, invariablement.


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