Des limitations artificielles fallacieusement justifiées par l'interprétation de modèles mathématiques manufacturés

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cgelinas
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7 septembre 2022


La militarisation de la science contre les gens via l'usage sélectif et stratégique de certaines informations qui ont pour effet de limiter l'humanité pour favoriser des initiés qui en profitent.


On résume…

Population

En 1972, le Club de Rome a commandité une publication qui a inquiété les gens à propos de l’augmentation de la population mondiale (alors de 3,927,780,519) en disant, essentiellement, que ça mènerait le monde à sa perte.

Avec 7,953,952,576 d’humains, soit PLUS DU DOUBLE (à savoir 4,026,172,057 de plus), on constate qu’on s’est fait manipuler et mentir.

Comme l’explique Repoterre, dans une publication du 15 mars 2012, rappelons qu’en 1972, la publication de The Limits to growth ou “rapport Meadows”, le rapport commandité par le Club de Rome et préparé par une équipe de scientifiques du Massachusetts Institute of Technology (MIT), produit un impact considérable sur le monde académique et politique. Ce rapport affirme, en s’appuyant sur un modèle mathématique du monde, et à grand renfort de graphiques, que le système planétaire va s’effondrer sous la pression de la croissance démographique et industrielle, à moins que l’humanité ne décide délibérément de stabiliser sa population et sa production.

Pollution

Quand les cercles favorables aux modèles mathématiques défendus par le Club de Rome ont vu que leurs prédictions peinait à entretenir un lien avec la réalité, c’est la pollution qui est devenu le proverbial cheval de bataille pour semer la peur, chez les gens.

Les enverdisseurs mondialistes continuent à ce jour à obséder sur la pollution comme chemin vers notre perte mais même si la pollution est un réel défi, elle ne mène pas le monde à sa perte. Ou du moins, pas comme l’indiquent les modèles (voir les diapositives # 15, 16 et 23) relayés par le Club de Rome.

Encore une fois, la peur a été payante pour les mondialistes qui ont pu alléger les fonds publics de presque tous les pays pendant des décennies.

Mais on le voit, même s’il y a de la pollution, la créativité humaine et les avancées technologies permettent de diminuer de nombreuses sources de pollution qui causaient bien plus de problèmes, dans les années 1970.

Alors, quand l’élite a vu que les gens posaient trop de bonnes questions, ils ont inventé un nouvel ennemi à abattre… le CO2.

CO2

La cible a changé mais l’alarmisme demeure.

Encore une fois, ce sont les modèles mathématiques liés au CO2 qui commandent des baisses d’émissions du composé inorganique qu’est le dioxyde de carbone.

Nouvel ennemi, mêmes tactiques.

Alors qu’une partie du public comprend l’arnaque, d’autres se laissent prendre dans cette nouvelle croyance qui permet à des mondialistes agissant de manière opportuniste et insidieuse de manipuler ceux qui les croient.

Que ce soit lors de la COP26 à Glasgow, en Écosse, en 2021 où toutes les réunions précédentes, pilotées par l’Organisation des Nations unies (ONU), on assiste au même théâtre manipulatoire et intentionnellement trompeur.

Pour plusieurs mondialistes, le fait que le monde produit plus de richesses que jamais et que nous atteignons des sommets dans plusieurs domaines demeure une “réalité inconvenante” pour leurs modèles mathématiques fallacieux qui plombent notre monde en oubliant, par exprès, de prendre en compte le génie humain et les progrès scientifiques, incluant ceux en informatique, en robotisation et en automation.

Ces progrès permettent des optimisations, à presque tous les niveaux qui étaient difficiles à prévoir, auparavant. Mais ça aussi, les mondialistes le savent et jouent sur deux tableaux, soit la peur alimentée aux masses et le cortège d’opportunités aux initiés de leurs cercles d’influence, principalement financés à même les fonds publics.

C’est de l’hypocrisie, à un degré malaisant tellement il dépasse l’entendement.

Mais c’est ça, quand même.

Et ça continue parce que des milliards de gens ne choisissent pas de prendre le temps de penser par eux-mêmes et ne remettent pas en question les vérités-fast-food basées sur des modèles mathématiques des armées mondialistes à col blanc.

Le Club de Rome demeure influent dans les cercles d’initiés mondialistes mais les milliers d’organisation, de fondations et de mouvements politiques ou religieux (comme le Vatican) qui relaient les mêmes récits de peurs sont plus nombreux que jamais alors il faut redoubler de vigilance car leur influence est devenue étouffante.

Les gens doivent apprendre à mieux discerner la signature de ces élites contre leur meilleur intérêt.

Taxes sur le carbone, décroissance économique provoquée et nivèlement vers le bas de la qualité de vie des Occidentaux et des gens du monde entier pour prétendument “sauver la Terre” sont militarisés via des agendas subversifs comme les objectifs de développement durable (ODD) championnés par l’ONU et re-claironnés par l’entourage mondialiste.

Il y a moyen de faire mieux, certes.

Mais pas au prix de piétiner le potentiel humain via des approches ancrées dans la peur, le manque et les limitations.

Ne laissons pas les mondialo-opportunistes mesquins empoisonner nos vies parce que leurs plans nous veulent à genoux et ce n’est pas ainsi que nous sommes censés vivre notre expérience, ici.

Petit retour sur le Club de Rome

Il s’agit d’un groupe de personnes de 10 pays qui ont publié "Les limites de la croissance" (1972).

Dans ce document, les membres ont déclaré que si la croissance se poursuit et que la pollution et l'épuisement des ressources restent constants, la planète aura atteint sa capacité de croissance démographique au cours des 100 prochaines années.

Le Club de Rome a créé un modèle qui examinait la population mondiale, l'industrialisation, la pollution, la production alimentaire et l'épuisement des ressources.

Ils ont basé ce modèle sur l'hypothèse faite par Thomas Malthus à savoir que la population croît de façon exponentielle alors que les ressources croissent de façon linéaire.

Le modèle a créé une myriade de scénarios, et dans la plupart, il y a eu une croissance démographique qui s'est poursuivie jusqu'en 2030, environ.

Ayez confiance

C’est souvent une fois rendus au bord du proverbial précipice qu’on développe nos outils via notre génie et nos synergies afin de relever les défis que nous rencontrons.

Ça n’empêche pas qu’il faut opposer la réalité et la raison à ceux qui tentent de nous tromper.

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Source: Ma publication, dans Substack



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