Saviez-vous que le 13 novembre 2020, alors que la crise-COVID était bien entamée et que les vaccins étaient prévus pour arriver à peine quelques semaines plus tard, les Nations unies ont annoncé leur projet d'ID numérique, destinée à leur personnel?
- https://www.un-dsc.org/2020/11/13/un-di ... operation/
- https://www.unicc.org/news/2020/11/13/u ... operation/
- https://www.youtube.com/watch?v=mvaYipKtY-c
Depuis, c'est le silence-radio.
Rien ne filtre de ce projet, aux Nations unies. Comme si c'était devenu défendu d'en parler. On dirait que le sujet est devenu passablement sensible.
Les Onusiens ne veulent probablement dévoiler au public qu'ils utiliser l'argent des États pour implanter une prison électronique pour tous leurs "employés", dans le monde.
On peut imaginer qu'il y ait des avantages à une ID numérique qui simplifie diverses interactions mais le problème, c'est le danger qu'un jour, cette ID soit utilisée pour pénaliser la personne dont il est censé simplifier la vie.
Là, ça peut instantanément devenir une forme d'enfer dont il devient impossible de se soustraire, sans subir d'importantes conséquences dans sa vie électronique avec l'ONU et peut-être de manière plus large car personne ne sait jusqu'où sera valoriser cette ID numérique qui était à l'état de projet, en novembre 2020.
Au Québec
Les employés de l'ONU, s'il y en a au Québec, auront probablement accès à cette ID numérique si elle n'est pas déjà (ou éventuellement) imposée, tout simplement.
Ceci dit, en lisant à propos de cette ID numérique onusienne, on comprend que la blockchain ainsi créée se veut une sorte de modèle d'usage. Une "bonne pratique" informatique, en quelque sorte.
Quand on regarde le projet de "transformation numérique" du Caquiste Éric Caire, au Québec, on devine que ça suit la même logique et qu'en fait, le nouveau ministère provincial va encore plus loin en s'interposant comme intermédiaire d'identification dans toutes les transactions.
Et comme toutes les transactions seront électroniques, le Québec de l'ID numérique aura le droit de vie ou de mort sur n'importe quel détenteur qui pourra se faire refuser la reconnaissance de son identité et donc, ne pourra plus consommer... jusqu'à ce que la situation soit "régularisée" avec le gouvernement.
Comme de recevoir le plus récent régime vaccinal pour obtenir le libellé "adéquatement protégé" et ainsi pouvoir continuer d'être "reconnu" par l'ID numérique.
Vous voyez le colossal problème au Québec mais c'est le même genre de piège lié à l'identification qui peut servir à cibler tout employé qui pense un peu trop hors du champ de la propagande officielle, à l'ONU.
Voilà une pente glissante sur laquelle on se trouve tous, au Québec, à l'ONU et partout ailleurs où l'ID numérique est furieusement développée, souvent, là encore (comme à l'ONU), en accord avec les objectifs du développement durable (ODD) des Nations unies.
C'est un gros système toxique, contre nous.
Et pourtant, dans d'autres mains que celles des psychopathes qui détruisent nos économies, ça pourrait aider et faciliter nos vies, pour vrai. Mais pas là, pas avec l'ONU ni le Caquiste, Éric Caire.
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Donc, pour autant qu'on le sache, l'ID numérique à l'ONU est encore un projet.
Mais au Québec, l'ID numérique avance très vite... trop vite et sans aucune consultation citoyenne. Dans les deux cas, il s'agit d'énormes dangers sociétaux.
Un système d'esclavage numérique d'une rare granularité qui peut mettre n'importe qui dans une situation intenable, comme avec les "standards de la communauté" de Facebook mais dans "la vraie vie".
Horrifiant, non?
Votre identifiant a été bloqué pour 30 jours parce que vous avez --fait quelque chose-- et il n'y aura aucun détail de ce que vous avez fait (comme dans Facebook) mais vous aurez compris qu'il va falloir vous autocensurer sur tout pour espérer trouver un minimum d'espace dans ce marais toxique des mondialistes qui nous veulent faibles... et dociles.
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