La police a déclaré que Marco Mendicino Freedom Convoy était pacifique: note de service

[cgelinas]

15 uin 2022


Des conseillers chargés de l'application de la loi ont déclaré au ministre de la Sécurité publique, Marco Mendicino, que la manifestation du Freedom Convoy qui a secoué Ottawa en janvier et février était pacifique .

Selon des documents obtenus exclusivement par Rebel News, le directeur général du centre d'opérations central de Sécurité publique Canada supervisant la répression du convoi a déterminé qu'il n'y avait pas de violence ou de menaces présentes lors des manifestations pacifiques.

"Aucune violence n'a eu lieu dans la région de la capitale nationale malgré les protestations nationales pour une grande variété de causes", indique le mémo. « Évaluation globale : la majorité de l'événement a été pacifique. Étant donné que la plupart des employés du gouvernement travaillent à distance, la perturbation des activités gouvernementales est jusqu'à présent mineure. »

D'autres courriels datés du 1er février montrent que la police a également noté que les organisateurs du convoi appelaient les gens à respecter la loi.

« Incite à continuer à travailler avec patience avec les forces de l'ordre. Pas de violence ou de menaces de violence. Ne vous mettez pas en colère contre des policiers ou des collègues policiers », lit-on dans l'e-mail.

Au plus fort du Freedom Convoy, des opposants aux manifestations comme le chef du NPD, Jagmeet Singh, ont faussement affirmé que la violence était « courante » dans les rues d'Ottawa. Singh a cité une affirmation maintenant démentie selon laquelle les manifestants du convoi étaient impliqués dans une tentative d'incendie criminel dans un immeuble résidentiel.

En réalité, le taux de criminalité de rue a baissé pendant toute la durée du convoi. De plus, le chef par intérim de la police d'Ottawa, Steve Bell, a admis que la police n'avait découvert aucune arme à feu chargée malgré les allégations selon lesquelles des armes étaient présentes.

"Ce que je peux indiquer, c'est que tout au long de la manifestation, nous avons reçu des informations et des renseignements sur les armes et la possession d'armes par des personnes qui avaient assisté ou avaient l'intention d'assister à l'occupation", a déclaré Bell.

"A la suite du déminage, nous n'avons à aucun moment porté d'accusations liées aux armes à feu, mais des enquêtes se poursuivent concernant la possession d'armes dans l'occupation."



Source: True North



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