Je vous présente la traduction, en français, de la publication du député élu australien Stephen Andrew, dans la circonscription de Mirani, suivi de la version originale, en anglais.
L'OMS contrainte à un recul humiliant sur les amendements du RSI à Genève, aujourd'hui 29 mai 2022
De bonnes nouvelles en provenance de Genève aujourd'hui !
Comme la plupart d'entre vous le savent, l'Assemblée mondiale de la santé a passé les 7 derniers jours à examiner les 13 amendements controversés de Biden au Règlement sanitaire international.
Des délégués officiels de pays développés riches comme l'Australie, dirigés par notre directeur fédéral de la santé, le Royaume-Uni et les États-Unis, se sont prononcés en faveur des amendements et ont exhorté les autres États à se joindre à eux pour renoncer à la souveraineté de leur pays.
Le premier signe, cependant, que les choses pourraient ne pas aller dans le sens des mondialistes, est venu le mercredi 25 mai, qui s'est avéré être aussi la Journée de l'Afrique.
Le Botswana a lu une déclaration au nom de ses 47 membres de l'AFRO, disant qu'ils retiendraient collectivement leur soutien aux « réformes », ce qui préoccupe beaucoup de nombreux membres africains.
Plusieurs autres pays ont également déclaré qu'ils avaient des réserves sur les changements et qu'ils ne les soutiendraient pas non plus.
Il s'agit notamment du Brésil, de la Russie, de l'Inde, de la Chine, de l'Afrique du Sud, de l'Iran et de la Malaisie.
Le Brésil en particulier a déclaré qu'il quitterait complètement l'OMS, plutôt que de permettre à sa population d'être soumise aux nouveaux amendements.
En fin de compte, l'OMS et ses partisans de la nation riche ont été contraints de reculer.
Ils n'ont pas baissé les bras, loin de là.
Au lieu de cela, ils ont fait ce qu'ils font toujours et ont « pivoté ».
À leur demande, un nouveau groupe de travail a été convoqué pour faire des "recommandations techniques sur les amendements proposés" qui seront soumis à nouveau avec le Traité sur la pandémie, lors de la 77e Assemblée de la Santé en 2024.
Il y a également eu beaucoup de résistance de la part des républicains aux États-Unis, un certain nombre d'entre eux introduisant de nouveaux projets de loi donnant au Congrès/Sénat américain le pouvoir d'annuler tout mandat ou directive de l'OMS émis dans le cadre de tout accord international.
L'un, intitulé "Pas de traité de préparation à la pandémie de l'OMS sans l'approbation du Sénat", compte 15 co-sponsors et a été présenté au Sénat jeudi par le sénateur républicain Ron Johnson, qui a déclaré que "la souveraineté des États-Unis n'est pas négociable".
Ici en Australie, nous devons maintenir la pression sur nos propres parlements, à la fois fédéraux ET étatiques, et ne jamais regarder de côté.
Préparez-vous à l'identification numérique maintenant, alors que le Parlement fédéral redémarre, nous devons repousser à tout prix cela à partir de cette semaine.
J'exhorte tous ceux qui ne l'ont pas encore fait à signer et à partager ma pétition du Parlement du Queensland sur les amendements au RSI et le traité sur la pandémie (lien ci-dessous).
Et la version originale, en anglais...
WHO forced into humiliating backdown over IHR amendments in Geneva, today, May 29th, 2022
Brilliant news out of Geneva today!
As most of you know, the World Health Assembly has spent the past 7 days considering Biden’s 13 controversial amendments to the International Health Regulations.
Official delegates from wealthy developed nations like Australia led by our Federal Chief Health Officer, UK and the US, spoke in strong support of the amendments and urged other states to join them in signing away their countries’ sovereignty.
The first sign, however, that things might not be going the globalists’ way, came on Wednesday, the 25th of May, which just happened to also be Africa Day.
Botswana read a statement on behalf of its 47 AFRO members, saying they would be collectively withholding their support for the ‘reforms’, which many African members were very concerned about.
Multiple other countries also said they had reservations over the changes and would not be supporting them either.
These included Brazil, Russia, India, China, South Africa, Iran and Malaysia.
Brazil in particular said it would exit WHO altogether, rather than allow its population to be made subject to the new amendments.
In the end, the WHO and its wealthy nation supporters, were forced to back down.
They have not given up though – far from it.
Instead, they did what they always do and ‘pivoted’.
At their request, a new working group was convened to make “technical recommendations on the proposed amendments” which will re-submitted along with the Pandemic Treaty, at the 77th Health Assembly meeting in 2024.
There has also been lots of pushback from Republicans in the US, with a number of them introducing new bills giving the US Congress/Senate powers to override any WHO mandates or directives issued as part of any International agreements.
One, called the ‘No WHO Pandemic Preparedness Treaty Without Senate Approval Act’, has 15 co-sponsors and was introduced to the Senate on Thursday by Republican Senator Ron Johnson, who said “The sovereignty of the United States is not negotiable”.
Here in Australia, we need to keep the pressure up on our own parliaments, both Federal AND State, up the ante and don’t ever look sideways.
Just brace for the digital ID now, as the Federal Parliament reboots, we need to push back at all cost on that from this week moving forwards.
I urge everyone who has not already done so, to sign and share my Queensland Parliament Petition on the IHR Amendments and Pandemic Treaty (link below).
#AfricaStandsUp #StopTheTreaty #StopTheWho
Il s'agit donc d'un court répit où tout le monde doit travailler à pulvériser ces amendements à l'IHR de l'OMS.
Les Onusiens sont probablement déjà l'oeuvre pour trouver un moyen de faire passer ces amendements alors nous devons être des dizaines de millions à dissoudre ces efforts afin que ces amendements diaboliques n'aient jamais lieu.
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