Le patron de Pfizer n'exclut pas un vaccin multivariant à l'automne

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cgelinas
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13 avril 2022


Un vaccin contre la COVID-19 efficace contre de multiples variants d’ici à l’automne «est une possibilité mais pas une certitude», a déclaré mercredi le patron du géant pharmaceutique américain Pfizer, Albert Bourla.

«J’espère que d’ici l’automne - mais ce n’est pas une certitude - nous pourrons avoir un vaccin» efficace «contre tout ce qui est connu pour le moment», a souligné M. Bourla, lors d’un point de presse organisé par la Fédération internationale de l’industrie pharmaceutique (Ifpma).

Pfizer mène actuellement des études pour savoir quelle pourrait être la meilleure formule. «Une fois que nous aurons les données qui nous permettent de décider lequel (de vaccin) est le meilleur», a précisé M. Bourla.

[Éditeur: mais quel cirque odieux... que des mensonges et des manipulations!]

Pfizer et l’Allemand BioNTech ont mis au point l’un des premiers et plus efficaces vaccins contre la COVID-19 injecté pour la première fois au Royaume-Uni fin 2020, moins d’un an après que la maladie eut été détectée en Chine.

Ce vaccin à ARN messager -comme celui de Moderna- a vu son efficacité réduite face au variant Omicron du virus et ses sous-variants qui donnent la COVID-19, même s’il protège encore très efficacement contre les symptômes graves, les hospitalisations et la mort.

Pfizer teste actuellement différents vaccins et différentes doses.

[Éditeur: donc, ils ne savent pas trop ce qu'ils font et en plus, ont-ils encore des cobayes non-vaccinés à "tester"?]

«Une fois que nous saurons quelle est la meilleure voie à suivre nous demanderons l’homologation» aux États-Unis, en Europe et ailleurs dans le monde, a-t-il précisé.

Toutefois, le patron de Pfizer voit un rôle accru dans les mois à venir pour les traitements contre le Covid, comme le paxlovid que produit son groupe.

Ce traitement -comme celui de Merck qui suscite plus d’inquiétudes en matière d’effets secondaires- doit être donné dans les premiers jours suivant l’apparition des symptômes.

[Éditeur: des poisons légalisés? Comment avoir l'assurance d'innocuité?]

M. Bourla base sa prédiction pour les traitements notamment sur le fait que la maladie devient endémique et «restera avec nous pour longtemps», mais aussi d’une certaine fatigue vaccinale parce que les sérums existants -et l’infection- ne protègent pour le moment que pour une période relativement courte.

«Pour autant les vaccins ont un rôle significatif à jouer», a insisté M. Bourla.

[Éditeur: le vendeur de "vaccins" qui fait la promotion des... "vaccins". Aucune surprise, là.]

«Pour moi et pour Pfizer, ce dont le monde a réellement besoin maintenant c’est un vaccin qui peut durer un an. C’est cela qui serait la solution optimale en termes de santé publique», a-t-il ajouté.

[Éditeur: donc, celui qui a été vendu ne dure pas un an... c'est ça? Et un an, ça ressemble à un abonnement annuel d'injections, non?]

«Les vaccins qu’on peut prendre une fois par an sont plus faciles à administrer et il est plus facile de convaincre la population de les prendre et nous y travaillons», a-t-il insisté.

[Éditeur: et si les gens ne veulent pas êtres des cobayes annuels, il se passe quoi? Le système immunitaire existe-t-il encore? C'est une question rhétorique!]

«Je ne dis pas que c’est facile, c’est très compliqué techniquement, vraiment très compliqué de le faire avec ce virus mais nous y travaillons», a indiqué M. Bourla.

[Éditeur: miser sur l'immunité naturel à large spectre serait infiniment plus avisé mais les classes politiques sont pro-"vaccins".]



Source: Journal de Montréal



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Claude Gélinas, Éditeur
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