Le constat de la censure sauvage dans Facebook

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cgelinas
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Tenter de publier la vérité, dans Facebook, c'est comme être prisonnier dans une relation toxique et abusive.

Vous le savez aussi, dès qu'on tente de publier la vérité dans Facebook, on se fait rapidement bloquer notre profil en raison des évasives "règles de la communauté".

Des règles que nous n'avons jamais voulues ou réellement acceptées... comme dans une relation abusive.

Facebook se comporte en pervers-narcissique numérique.

Pas surprenant que la fortune de Zuck ait presque fondu de moitié depuis qu'il censure de manière sauvage des pans entiers de vérité, ayant trait à des thèmes "sensibles".

https://www.youtube.com/watch?v=gkv9bskuZGc

Comme les "contrôlants-violents" de la "vraie vie", Facebook nous empêche de connecter avec nos amis. Quand il veut. Juste comme ça, sans possibilité d'appel.

Facebook prend plaisir à punir, à faire du mal et à détruire ceux qui pensent à l'extérieur de sa prison idéologique woko-mondialiste qui est faussement "inclusive".

Tôt ou tard, il va falloir sortir de Facebook.

On refuse de vivre dans le mensonge permanent des manipulateurs qui, eux, ne sont JAMAIS embêtés, dans Facebook alors il nous faut se regrouper... ailleurs.

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Parce que presque tout le monde au Québec reste --malgré tout-- dans Facebook, il nous faut faire un usage stratégique de cette plateforme censure-o-phile.

Par exemple, en publiant la vérité à l'extérieur de Facebook, comme dans un blogue ou dans Substack et en annonçant cette information, par la suite, avec un simple hyperlien, dans Facebook. Cette manoeuvre ayant pour but d'éviter d'être ciblé trop facilement par les instruments de censure sauvage de Facebook.

L'idée étant qu'à la longue, cette information permettra aux membres de Facebook qui n'avaient pas pris conscience qu'il y avait autre chose que cette plateforme zuckerbergienne puissent voir, par eux-même, combien il fait bon s'informer, ailleurs que dans une prison dorée, comme Facebook.

Il nous faut voir à enseigner aux membres de Facebook que cette plateforme n'est qu'une parmi tant d'autres. Qu'elle n'est qu'une parmi de nombreuses sources à consulter.

C'est un peu la même chose que de "couper le cable" et ses horribles "grands médias" qui passent leur temps à manipuler, mentir et "fact checker" au détriment des vérités afin d'invariablement donner préséance aux fictions de leurs souteneurs.

Il faut donc conserver nos liens et éviter les pièges.

Bravo à tous ceux qui comprennent cette dynamique et qui ajustent leurs actions en conséquence.



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Claude Gélinas, Éditeur
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