Joyeuse Pâques... en temps de mondialisto-covidisterie qui ne veut juste pas finir

[cgelinas]

En même temps qu'on se souhaite un beau dimanche de Pâques, on sait, sans forcément le dire qu'il y a une guerre... contre nous.

Cette guerre atypique de contrôle mise sur les traumas induits par des manipulations planifiées, systémiquement délivrées via les "canaux propagandistes" et ensuite, entretenues.

Ceux qui s'y soumettent sont laissés persécutés de manière indirecte ou pas du tout s'ils alimentent, à leur mesure, la propagande.

Tout le contraire de ceux qui prennent du recul, voient le noir-dessein et font le choix de s'y opposer, tout en prenant les moyens de créer mieux.

Chacun, donc, participe à la guerre.

Certains contribuant à l'infliger et d'autres, à en être à la fois les cibles prioritaires en même temps qu'être des vecteurs de constructions individuelles et sociales, à l'extérieur des pièges de cette guerre présentée comme destinée à "sauver grand-maman" en étouffant des enfants pendant qu'ils se font injecter des produits expérimentaux.

Alors même si on se souhaite les canetons et les lapins de choco-au-lait et les sourires empreints de légèreté, en accord avec le printemps, on demeure parfaitement conscients qu'on se trouve au beau milieu d'une dystopie qui tente de transformer le monde en quelque chose de méconnaissable.

On se souhaite donc une joyeuse Pâques.

Voilà, en toute simplicité.

Mais on ne perd pas de vue qu'un jour de répit sur le calendrier ne veut pas dire que l'assaut tous-azimuts a cessé pour autant.



Source: Ma publication, dans VK et dans Substack



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