Soyons les ambassadeurs de notre propre liberté et sortons des griffes malveillantes des bourreaux

[cgelinas]

Les gens veulent être libres.

Malheureusement, ce n'est pas la manière dont la Rome moderne, la dictature mondiale fonctionne et ils ne sont pas intéressés à permettre la liberté, seulement certaines libertés très précises à l"encontre desquelles ils édictent des règles limitatives qu'ils peuvent changer, à tout moment.

On en fait en ce moment-même l'expérience avec les décrets sanitaires, décidés derrière des portes closes et imposés unilatéralement, du jour au lendemain par une poignée d'agents constituée de membres des classes politiques, d'affaires, de la science et des "grands médias".

Donc, une poignée d'autocrates qui imposent leur vue du monde aux gens qui, eux, se font refuser le droit fondamental, leur venant de leur Créateur, d'être libres.

Du coup, il est évident que la liberté, la vraie liberté, ne viendra jamais des contrôleurs de la fiction limitative gouvernée par voie de structures qui se présentent comme démocratiques mais qui fonctionnent de manière largement autocratique.

L'idée pour les contrôleurs étant d'imposer un communisme aux gens via une soumission par l'endettement pendant qu'eux s'engraissent mutuellement aux dépens de leurs victimes.

Les victimes ne peuvent donc rien attendre de leurs bourreaux que plus de ce qu'ils se font présentement imposer.

Ça n'ira pas en s'améliorant en attendant que les bourreaux autocratiques soient plus cléments. Ils ne le seront jamais ou alors, très brièvement, le temps de revenir à leur agenda de contrôle aussi strict que possible.

Parce que pour des autocrates, l'existence-même de la liberté est une menace.

Pour eux, la liberté est un virus qui se répand entre leurs victimes et ça a pour effet de dissoudre leur contrôle unilatéral contre celles-ci. Alors, on se retrouve avec une culture de la censure qui sert les bourreaux, au détriment des victimes.

Même choses pour les gels de comptes bancaires, les emprisonnements politiques ou l'imposition d'un État-prison à l'encontre des non-vaccinés et tout spécialement ceux qui voudraient emprunter des transports commerciaux ou passer de l'autre côté des lignes imaginaires délimitant le pays.

Ainsi, les bourreaux frappent leurs victimes de tant de limitations qu'ils n'ont plus autant qu'auparavent à se cacher pour le faire. D'où les déclarations farfelues, trompeuses et contradictoires des têtes parlants des différentes organisations d'État liées à la "santé" publique qui aident les corporatistes à rendre leurs outils de contrôle des victimes aussi largement distribués que possible et même, quasi-obligatoires en refusant de plus en plus le droit d'accès à des emplois pour quiconque n'est pas soumis à la nouvelle dictature du consentement à autant d'expériences géniques expérimentales que le souhaiteront les bourreaux, de connivence avec les outilleurs pour cette énième séance publique de torture et de liberticidité.

Les gens peuvent donc parler de "nos bourreaux" mais certainement pas de "nos leaders" car ils abusent éhontément des pouvoirs qu'ils gardent, jalousement.

Comme avec l'exemple de Jagmeet Singh qui permet à Justin Trudeau de continuer son manège strangulatoire contre les Canadiens, sur tous les plans, aussi bien politique qu'économique que sociosanitaire.

Plus que jamais, il faut dénoncer les bourreaux parce qu'ils n'ont que faire de notre liberté.

Pour ces êtres obsessifs, pervers et nacissiques, il n'y a que la contrainte, les limitations, le contrôle et l'exigence graduée de la soumission.

Alors, organisons-nous pour ne jamais être leurs victimes.

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Source: Ma publication, dans VK et Medium (où je suis maintenant interdit de publication parce que ce sont des censeurs mondialistes)





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