L'assaut financier du CANAFE, sous Chrystia Freeland à l'encontre des Canadiens

[cgelinas]

Ce serait si simple pour la classe politique libérale d'Ottawa de déclarer la fin immédiate et irrévocable des décrets sanitaires, incluant ceux ayant trait aux vaccins, aux masques et aux déplacements... mais non, les parasites politiques poussent l'inadmissible dans le territoire de ce qui était, jusqu'à tout récemment, inconcevable, en annonçant encore plus d'oppression contre le peuple canadien.

Chrystia Freeland a spécifiquement annoncé vouloir élargir les pouvoirs du CANAFE pour couvrir les plateformes de socio-financement et les plateformes de paiement.

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On ne parle pas juste de GoFraudMe, de Fundly, de JustGiving, de GiveSendGo mais aussi de sites comme Indiegogo, Kickstarter et même... Facebook.

Oui, Facebook sert au socio-financement participatif.

Imaginez la quantité COLOSSALE de données transversales que peut recueillir la trudeauisterie avec une telle raffle.

Du côté des plateformes de paiements, on parle de PayPal, de Stripe, mais aussi de Plastiq, Skrill, Zoho Checkout, PayU, WePay, 2CheckOut, Payza, Payoneer, Vapulus, BlueSnap et même... Amazon Payments.

Oui, le CANAFE aux ordres de Chrystia Freeland pourrait même s'inventer des "outils" pour "exiger" la "collaboration" des géants du web, comme Amazon mais on imagine qu'ApplePay et Google Pay aussi pourraient devenir... compromis.

Et on a même pas encore évoqué les plateformes de cryptomonnaies, incluant des services de portefeuille comme Coinbase. Le CANAFE voudra-t-il aller fourrer son nez là, aussi?

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Vous comprenez que ces plateformes sont presque toutes basées à l'étranger.

Il se pourrait que pour échapper à l'oppression financière de l'odieuse trudeauisterie, certains d'entre-eux décident de cesser leurs opérations, au Canada.

Ceci engendrerait des conséquences financières colossales puisqu'une part importante des start-up et "growth"-economies s'appuient, au moins en partie, sur ces "plateformes".

Pour plusieurs personnalités publiques, le simple fait de savoir que leur lien privilégié et privé avec ceux qui les encouragent pourraient devenir connus des hommes de main de Chrystia Freeland crée un ÉNORME malaise.

Au fond, personne ne sait jusqu'où iront les troupes politico-oppressives de Trudeau.

Du coup, ça laisse à penser que cette poussée soudaine pour "tout savoir à propos des mouvements d'argent en ligne" pourrait dépasser, très largement, le giron du prétendu-terrorisme issu de manifestations pacifiques. Ce qui est un non-sens épique, à sa face-même.

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Nous avons une vue "domestique" de cette guerre mondialiste contre les Canadiens mais imaginez les étrangers.

De nombreux fonds d'investissements étaient heureux de placer une partie de leurs fonds au Canada en raison de la stabilité de notre économie mais la montée de l'oppression aux allures fascisantes des trudeauistes a déjà enclenché des processus pour évacuer des sommes considérables du pays.

Sans pouvoir vous dévoiler ma source, elle est fiable.

Imaginez la difficulté pour nos entreprises à trouver du financement si les fonds de placements étrangers fuient le Canada. Et du même coup, juste par mesure de prudence élémentaire, attendez-vous à ce que plusieurs fonds milliardaires canadiens se mettent --comme par hasard-- à transférer graduellement leurs avoirs et une partie de leurs opérations à l'étranger, hors des griffes de Chrystia Freeland et de la nouvelle version "rehaussée" de la CANAFE qu'elle anticipe.

Le malaise en réel.

Parlez-en à quelqu'un de confiance dans le domaine de la haute-finance et il vous confirmera que les rencontres se multiplient et que cette nouvelle géométrie oppressive qui s'installe au Canada change les choses, pour leurs riches clients.

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Les Canadiens de la classe moyenne aussi se demandent comment ils peuvent survivre si Chrystia Freeland décide, du jour-au-lendemain, sans-même avoir besoin de vraiment s'expliquer, de les qualifier de terroristes pour que ses mercenaires mondialistes gèlent leurs avoirs, indéfiniment... avec la possibilité que tout leur soit volé, sans compensation (parce qu'en ce moment, cette potentialité n'a même pas été formellement écartée).

Pire, les "grands médias" salivent à l'idée que Freeland puisse, d'un coup de baguette magique, transformer des manifestants pacifiques pour nos libertés en terroristes dont il faut saisir les actifs financiers et idéalement, aussi, les actifs physiques (comme des camions), en plus de les mettre à l'amende et les menacer de peines de peines de prison.

Tous les "grands médias" célèbrent l'efficacité du "gouvernement Trudeau" et dans les périodes de question des points de presse, ils demandent quand il y aura des mesures encore plus sévères.

C'est surréaliste.

Et pourtant, c'est là qu'on en est.

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Tout ceci nous force à comprendre que nous sommes bel et bien au milieu d'une guerre d'information ouvertement oppressive.

Les mondialistes du Forum économique mondial (FEM) et des Nations unies ne sont PAS nos alliés. Ils agissent en ennemis des peuples.

D'ailleurs, ni le FEM, ni les NU n'ont remis en question les décrets de Trudeau.

Pour eux, ce sont des outils pour dresser le peuple... pour le garder docile.

Consommez, endettez-vous, demeurez soumis... mais ne réfléchissez surtout pas.

Et quiconque réclame ses libertés ou appuie ceux qui le font pourrait être pourchassé, traqué, détruit et ruiné. Et si cet "terroriste" en meurt, aucun élus ou "grand média" n'en parlera, sauf pour se féliciter de l'efficacité de leur "travail" pour assurer la "sécurité" de ceux qui demeurent sous l'hypnose induite par leurs manipulations des masses.

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Les Canadiens se retrouvent donc, en quelques jours, devant un État sous influence qui ne se cache même plus de ne pas servir le peuple mais bien une collection d'idéologies toxiques de répression et de châtiments pour les nov-crimes (dans le même sens que la "nov-langue", dans 1984) d'avoir osé manifester pacifiquement pour les libertés parmi les plus fondamentales, dont celle de pouvoir gagner sa vie tout en choisissant ce qui entre dans son propre corps.

Ça n'a à peu près RIEN à voir avec un coronavirus, c'est le virus de la mondialisation sauvage et inhumaine qui gangrène les peuples et le Canada.



Source: Ma publication, dans Facebook



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