Aucun siège ne sera toléré dans deux semaines à Québec, prévient le maire Marchand

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cgelinas
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Satisfait du déroulement des manifs anti-mesures sanitaires ce week-end, le maire de Québec prévient d’emblée les organisateurs qu’ils le «trouveront sur leur chemin» s’ils tentent d’assiéger la Ville dans deux semaines.

[Éditeur: un maire complice du régime legaultiste qui fait la job de bras du PM. Personne n'est surpris de sa haine contre les opposants à la propagande d'État.]

Bien au fait des menaces qui planent sur la capitale, en vue du week-end des 19 et 20 février prochains, Bruno Marchand a mis son pied à terre à nouveau lundi, lors d’un point de presse précédant la séance du conseil municipal.

«Aujourd’hui, le message ne change pas. S’il y a encore des gens – puis ils étaient très minoritaires on va s’entendre – qui viennent parler d’état de siège et de venir occuper la Ville, la réponse, c’est non. Oubliez ça. Vous allez me trouver sur votre chemin [...] Ça sera toujours tolérance zéro pour ce qui est inadmissible, les gestes illégaux et les campements, comme ça a été le cas en fin de semaine», a-t-il lancé.

[Éditeur: le chemin du maire, c'est celui de la bourgeoisie arrogante alors à part croiser sa gang de parvenus, il ne croise à peu personne qui se bat pour les libertés. Un larbin entouré de larbins.]

Bruno Marchand se réjouit de la façon dont les manifestants se sont globalement comportés, en fin de semaine, et il a dit s’attendre exactement à «la même chose dans deux semaines s’ils reviennent», a-t-il insisté.

Manifestation pacifique

«La très grande majorité des manifestants sont venus ici avec des intentions pacifiques, avec l’idée de lancer un message au gouvernement et de le crier haut et fort. Ils ont été entendus et je pense que la noblesse de leur cause n’a pas été entachée par des incidents. Ça, c’est la beauté de la manifestation en fin de semaine. Ils ont pu porter leur message, qu’on soit ou non d’accord [...] Maintenant, si les intentions changent, on va s’adapter».

[Éditeur: il revient encore avec ses menaces... incapable de défendre, lui-même, la suppression en cours des libertés de tous les Québécois. Il parle comme un vendu au pouvoir.]

Questionné sur les revendications des manifestants qui exigent la fin des mesures sanitaires, M. Marchand a rappelé qu’il était lui-même triplement vacciné et il s’est dit en faveur des restrictions actuelles mises en application par le gouvernement Legault. Il réclame cependant un plan de déconfinement «pour nos jeunes» et un plan pour prévoir la relance des grands événements, tout en disant comprendre la prudence du gouvernement.

[Éditeur: triplement soumis, une 4e injection, avec ça?]

Stratégie pour contrer les klaxons

Conscient que de nombreux résidents du centre-ville ont été «indisposés» par le bruit et les klaxons ce week-end, le maire s’est dit en mode solution et en quête des «bons outils» légaux pour éviter que cela ne se reproduise dans deux semaines. Il a notamment évoqué le règlement municipal sur le bruit.

[Éditeur: le Québec est indisposé par la suppression des LIBERTÉS, aussi.]

Informé de l’injonction qui vient d’être émise par un juge, en Ontario, pour interdire tout klaxon durant 10 jours dans la capitale fédérale, M. Marchand n’a pas caché son intérêt pour un tel levier afin de sévir; il a indiqué qu’il allait étudier attentivement les documents judiciaires, ignorant, à ce stade-ci, si une telle démarche pouvait «s’importer» au Québec.

[Éditeur: le maire intéressé à plus de répression, personne n'est surpris mais on a le droit d'être dégoûté.]

Fier des policiers

Lors de ce point de presse, Bruno Marchand a de nouveau encensé le travail accompli par le Service de police de la Ville de Québec en fin de semaine et félicité les employés municipaux qui travaillent dans l’ombre.

[Éditeur: un autre politicien qui se prosterne devant le régime répressif et ses outils contre le peuple. La police devrait être avec le peuple et non contre lui.]

«Il y a un paquet d’éléments que les gens ne voient pas... Pensons à la gestion des déchets, du déneigement, de la circulation. Les policiers sont vraiment sur la ligne de front et font un travail colossal mais derrière, il y a toute une équipe dans l’organisation municipale qui a fait une différence et je salue leur contribution aussi.»

Un «sans-faute» de la police, selon Villeneuve

Le chef de l’opposition officielle, Claude Villeneuve, a encensé à son tour le travail des policiers, qui ont commis un «sans-faute», selon lui, en fin de semaine, et a salué les sorties de Bruno Marchand, qui a été «bien présent» sur le terrain pour «rassurer la population». Il a dit sympathiser avec les gens qui ont subi le bruit «aliénant» des klaxons et il avait un message pour les manifestants qui prévoient un deuxième rendez-vous sur la colline Parlementaire.

[Éditeur: aucun problème avec la disparition des libertés pour Villeneuve. Le problème, c'est le bruit des klaxons, ouf.]

«J'ai le goût de dire à ce monde-là: “Écoutez les boys, les mesures sanitaires vont finir par disparaître, que vous veniez manifester chez nous ou pas.” Il faut accepter ce qui s’en vient et respecter les citoyens de Québec, qui ne sont pas responsables de la pandémie. Ce n'est pas à eux de subir ces nuisances.»

[Éditeur: "ce monde-là" paie son salaire et il se permet de donner des leçons. Et non, les mesures-COVID ne disparaîtront pas si le peuple ne les rejette pas.]

Le chef par intérim de Québec 21, Éric Ralph Mercier, a quant à lui transmis ses félicitations au maire ainsi qu'à tous les policiers, pompiers, ambulanciers et employés des travaux publics pour le «bon déroulement» du Carnaval, dont les activités avaient lieu à un jet de pierre de l'Assemblée nationale, en même temps que la manifestation.

[Éditeur: un autre "ami du régime", misère.]

«Grâce à eux, nos familles ont pu célébrer en toute sécurité. J'y étais moi-même personnellement. L'atmosphère était à la fête. C'était festif, familial.»

Quant à Jackie Smith, elle affirme que plusieurs questions demeurent sans réponses. «J'appuie le droit de manifester et d'arrêter le fonctionnement d'une ville pour faire passer un message. Mais je pose la question... on est quand même dans un état de droit. Est-ce qu'on donne à tous les manifestants le même traitement? Je ne sais pas», s'interroge la cheffe de Transition Québec.

[Éditeur: le droit ne fonctionne que pour les tyrans au pouvoir, c'est devenu une voie à sens unique et il faut être très naïf pour ne pas le voir... ou alors ne simplement pas vouloir le voir.]



Source: Journal de Québec



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Claude Gélinas, Éditeur
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