Le leader antimasque François Amalega Bitondo arrêté et détenu
Posté : 17 janvier 2022, 17:26
17 janvier 2022
Trop près de François Legault
[Éditeur: encore de la propagande politico-judiciaire pour s'en prendre aux Québécois qui contredisent la propagande d'État via ce nouvel événement où François Amalega se serait apparemment trouvé trop près de François Legault. Tellement disgracieux mais prévisible de la part de ce "grand média" acheté par... le régime legaultiste (à hauteur de jusqu'à 35% des salaires des journalistes et des montagnes d'argent en publicité-COVID et toutes les autres filières du gouvernement).]
Arrêté et emprisonné dimanche soir alors qu’il manifestait près de l’édifice de Radio-Canada, où le premier ministre François Legault se trouvait pour l’enregistrement de l’émission Tout le monde en parle, le leader antimasque François Amalega Bitondo a comparu masqué, lundi, par visioconférence au palais de justice de Montréal.
Le militant refuse de porter un couvre-visage. Pour sa comparution, les policiers qui l’ont amené devant la caméra, depuis le Centre opérationnel sud du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM), l’ont donc menotté et lui ont mis un masque de force.
« Il refuse de porter un masque, mais notre local ici est plus petit qu’un garde-robe », a expliqué l’un des agents chargés de la comparution des détenus à la juge Nathalie Duchesneau. « Les normes ne nous permettent pas d’amener un accusé qui n’est pas masqué, pour la sécurité de notre personnel. »
François Amalega Bitondo est donc apparu à l’écran avec un couvre-visage.
La Couronne s’est opposée à sa remise en liberté. L’homme de 43 ans est donc demeuré détenu. Il subira mardi son enquête préliminaire.
Bitondo, qui se représente seul, sans avocat, a tenté de s’adresser à la juge Duchesneau, mais cette dernière lui a répondu que ce n’était pas encore le moment.
Le leader antivaccin, qui accumule les contraventions pour non-respect des mesures sanitaires, n’a pas le droit de s’approcher à moins de 300 mètres du premier ministre Legault. Cette ordonnance a été prononcée à son endroit le 18 novembre dernier, parce que Bitondo a tenté de contourner les policiers qui protégeaient M. Legault pour s’adresser à lui, lors d’une visite du premier ministre à Shawinigan.
Or, dimanche soir, lors de la manifestation d’une vingtaine de personnes à laquelle il participait, devant Radio-Canada, les policiers du SPVM ont jugé que le militant se trouvait trop proche du premier ministre.
[Éditeur: impossible de savoir si les policiers ont exagéré mais disons que ça a dû leur faire plaisir de s'en prendre à une anti-mesures-COVID, une fois de plus.]
Il a donc été arrêté et accusé de bris de condition.
[Éditeur: des conditions convenantes pour un régime totalitaire, malheureusement.]
Source: La Presse
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Trop près de François Legault
[Éditeur: encore de la propagande politico-judiciaire pour s'en prendre aux Québécois qui contredisent la propagande d'État via ce nouvel événement où François Amalega se serait apparemment trouvé trop près de François Legault. Tellement disgracieux mais prévisible de la part de ce "grand média" acheté par... le régime legaultiste (à hauteur de jusqu'à 35% des salaires des journalistes et des montagnes d'argent en publicité-COVID et toutes les autres filières du gouvernement).]
Arrêté et emprisonné dimanche soir alors qu’il manifestait près de l’édifice de Radio-Canada, où le premier ministre François Legault se trouvait pour l’enregistrement de l’émission Tout le monde en parle, le leader antimasque François Amalega Bitondo a comparu masqué, lundi, par visioconférence au palais de justice de Montréal.
Le militant refuse de porter un couvre-visage. Pour sa comparution, les policiers qui l’ont amené devant la caméra, depuis le Centre opérationnel sud du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM), l’ont donc menotté et lui ont mis un masque de force.
« Il refuse de porter un masque, mais notre local ici est plus petit qu’un garde-robe », a expliqué l’un des agents chargés de la comparution des détenus à la juge Nathalie Duchesneau. « Les normes ne nous permettent pas d’amener un accusé qui n’est pas masqué, pour la sécurité de notre personnel. »
François Amalega Bitondo est donc apparu à l’écran avec un couvre-visage.
La Couronne s’est opposée à sa remise en liberté. L’homme de 43 ans est donc demeuré détenu. Il subira mardi son enquête préliminaire.
Bitondo, qui se représente seul, sans avocat, a tenté de s’adresser à la juge Duchesneau, mais cette dernière lui a répondu que ce n’était pas encore le moment.
Le leader antivaccin, qui accumule les contraventions pour non-respect des mesures sanitaires, n’a pas le droit de s’approcher à moins de 300 mètres du premier ministre Legault. Cette ordonnance a été prononcée à son endroit le 18 novembre dernier, parce que Bitondo a tenté de contourner les policiers qui protégeaient M. Legault pour s’adresser à lui, lors d’une visite du premier ministre à Shawinigan.
Or, dimanche soir, lors de la manifestation d’une vingtaine de personnes à laquelle il participait, devant Radio-Canada, les policiers du SPVM ont jugé que le militant se trouvait trop proche du premier ministre.
[Éditeur: impossible de savoir si les policiers ont exagéré mais disons que ça a dû leur faire plaisir de s'en prendre à une anti-mesures-COVID, une fois de plus.]
Il a donc été arrêté et accusé de bris de condition.
[Éditeur: des conditions convenantes pour un régime totalitaire, malheureusement.]
Source: La Presse
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