Station SSCA: uniformiser la gestion du passeport vaccinal pour la sécurité de tous

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cgelinas
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Les bornes de validation automatique du passeport vaccinal sont en route pour devenir la norme au Québec. Les raisons sont multiples : donner un vent de répit au personnel, standardiser les mesures de contrôle sanitaires et pallier la pénurie de main-d’œuvre. Et la jeune pousse québécoise, Station SSCA, a pris les devants : installée dans une trentaine d’entreprises et d’organismes publics, dont le CIUSSS de l’Est-de-l’Île-de-Montréal, elle prévoit aussi faire sa place au CIUSSS du Québec.

[Éditeur: vous assistez à la normalisation de l'anormalité du passeport vaccinal. C'est à lever le coeur.]

Station sanitaire à contrôle d’accès (SSCA) a déjà introduit dans la province une centaine de bornes pour faciliter le quotidien des travailleurs. Parmi ses clients : le Centre Bell, le Drakkar de Baie-Comeau, Rodeo FX, ainsi que trois résidences pour personnes âgées (RPA), dont le Marronnier, à Laval.

Présidente de l’entreprise, Elisabeth Nadeau a fait sa carrière en tant qu’infirmière auxiliaire spécialisée en pharmacologie, pour ensuite bifurquer vers les soins médico-esthétiques. Une industrie dans laquelle certaines brèches au niveau de l’hygiène l’ont poussé à conceptualiser une solution pour automatiser le circuit d’aseptisation dans les cliniques d’esthétique.

Toutefois, lorsque la pandémie a sonné, les priorités ont changé : la santé a pris le dessus sur la beauté. Mme Nadeau a donc décidé d’appliquer la logique du circuit automatisé pour inclure les protocoles sanitaires et le VaxiCode.

Gally-Code

Que ce soit dans une RPA, un centre événementiel ou pour une grande entreprise, les étapes sont créées pour isoler les travailleurs le plus possible du mécontentement de certains clients, mais surtout, pour rediriger le personnel où il sera le plus utile, indique la présidente.

En premier lieu, les gestionnaires développent un questionnaire selon leur établissement. Une question, deux boutons : oui ou non. Si la réponse est conforme, la prochaine apparaît et ainsi de suite.

Si une des réponses n’est pas conforme, l’accès est immédiatement refusé. Le gestionnaire et la réceptionniste en seront notifiés.

[Éditeur: l'automatisation de la ségrégation vaccinale... présentée comme "une bonne chose".]

Êtes-vous accompagné de personnes d’une même bulle? Avez-vous des symptômes? Si toutes les réponses respectent les conditions émises par le gestionnaire en place, le visiteur sera ensuite redirigé vers une borne Gally-Code, où il validera son passeport vaccinal.

[Éditeur: l'humain qui doit composer avec l'inhumanité non-seulement de l'appareil mais aussi de l'approche ségrégationniste qu'elle sous-tend.]

La borne peut être reliée directement aux portes. Si le passeport est valide, ces dernières s’ouvriront automatiquement. En temps réel, la personne chargée des vérifications recevra une notification et pourra ensuite confirmer le tout avec une carte d’identité.

[Éditeur: voilà un appareil qui pourra refuser l'accès aux double-vaccinés lorsque le 3e vaccin sera devenu "fortement recommandé" mais chut, les double-vaccinés croient encore que les passeports vaccinaux sont "bons pour eux".]

Entreprises et résidences

En RPA, la station sanitaire à contrôle d’accès permet de mieux gérer les bulles familiales, ce qui d’ailleurs, souligne Mme Nadeau, est tout un casse-tête pour la réceptionniste.

[Éditeur: donc, mieux gérer l'absurdité colossales imposée à la population via des décrets sanitaires unilatéraux de la CAQ qui s'inspire des rapports secrets de McKinsey.]

Il est standard pour les RPA de garder un registre des visites, mais en format papier, «qui doit être informatisé à la fin de la journée et prend du temps aux réceptionnistes», précise la présidente.

L’automatisation du circuit permet donc de protéger «au maximum la réceptionniste de tout le chialage qu’elle a a subir et de libérer la charge, mais aussi de réduire le risque de contagion causé par la proximité lors des vérifications».

[Éditeur: le délire techno-sanitaire à son paroxysme.]

Même son de cloche pour les entreprises. Toutefois, Mme Nadeau ajoute que Station SSCA développe actuellement une méthode pour segmenter l’information recueillie dans le registre. D’un côté, les données personnelles comme le nom, le prénom, le sexe et la date de naissance ne seront accessibles qu’à la Santé publique, en cas d’infection.

De l’autre côté, certaines informations sont importantes pour des commerces, remarque-t-elle. Le registre permet de connaitre les groupes d’âge et sexe de la clientèle, mais aussi les heures d’achalandage pour mieux adapter l’horaire avec le personnel. Cependant, le détenteur d’une borne Gally-Code n’aura pas accès directement à ces données.

[Éditeur: oui, un registre... encore mieux que dans les pays totalitaires.]

Et ce, «pour essayer de garder le plus possible les informations confidentielles, assure-t-elle. Donc au lieu de dire, Elisabeth Nadeau, 39 ans, ce serait plutôt une personne du groupe “femme, 30 à 40 ans”.»

[Éditeur: c'est juste du maquillage techno car derrière, 100% des détails personnels sont bel et bien conservés, pareil.]

«En étant capable d’avoir un registre précis, de qui a été là de telle heure à telle heure, on peut garder l’information confidentielle à ce groupe de personnes. La Santé publique pourra me dire à quel moment la personne est venue et il sera possible d’exporter exactement les noms des personnes touchées lors de cette période», explique-t-elle.

[Éditeur: ça aide les commerces à devenir des délateurs à grand volume. Que c'est "rassurant"!]

Les données sont stockées dans des serveurs hébergés au Québec, chez Google Cloud. Le processus a aussi été validé par la sécurité informatique du CIUSSS de l’Est-de-l’Île-de-Montréal, confirme Mme Nadeau.

La Station SSCA peut également être employée avec les achats en ligne. Lors de l’acquisition d’un billet, si les informations sont identiques à la lettre avec le passeport vaccinal, la transaction va pouvoir être conclue. «Quand je vais aller chercher mon billet, ou l’utiliser, je n’aurai qu’une pièce d’identité à présenter», indique-t-elle.

[Éditeur: donc il arrive quoi avec ceux qui n'ont pas de passeport vaccinal? Ils ne pourront pas payer aussi facilement? Ou du tout?]

L’avantage : sauver du temps d’attente aux événements ou lors de visites. «On passe trois personnes avec Gally-Code pour une personne avec VaxiCode Vérif», confirme la présidente.

[Éditeur: voyons donc, c'est du contrôle social, pur et simple.]

L’entreprise prévoit aussi trouver un distributeur pancanadien afin de s’exporter à l’international.

[Éditeur: pour exporter cet instrument de contrôle, ailleurs où la ségrégation vaccinale est la "bienvenue".]




Source: Le Soleil




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Claude Gélinas, Éditeur
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