Stéphane Guay reçoit Geert Vanden Bossche en entrevue, le 17 octobre 2021, à 20h

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cgelinas
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Il y a quelques minutes, Stéphanie Perreault m'a fait suivre ce message (via Mesenger) de Stéphane Guay de MediainfocitéTV.

Geert Vanden Bossche a un site web (en anglais) où il met le monde en garde contre l'approche actuelle, en matière de gestion de la COVID-19. Avec cette entrevue en français, il pourra rejoindre un plus large public, au Québec.

Voici le message que Stéphane Guay destine aux "influenceurs" qui voudraient amplifier la portée de son entrevue et je partage publiquement son appel à ce faire, ici.

Salut

Si je t’interpelle aujourd'hui c’est parce que je m'apprête à relâcher une vidéo avec un expert international qui a été un des premiers à sonner l'alarme sur la vaccination de masse: Geert Vanden Bossche.

Il s’exprime pour la première fois en français.

Dans cette entrevue, on y apprend pourquoi il faut éviter la vaccination de masse, comment cette façon de faire peut mener à plus de maladies ou pourquoi des jeunes peuvent être, pour certains, très malades à cause de cette vaccination inconsidérée. Cet entretien a également pour objectif de créer un électrochoc avant que soit massivement vaccinés les enfants...

Ce virologue et expert des vaccins, qui a été à l'emploi de Big Pharma et de GAVI (fondation Bill Gates), révèle de façon scientifique pourquoi nous sommes à la veille d'une véritable catastrophe sanitaire.

Considérant la manigance et la violence utilisées pour obliger 100% de la population et une génération d'enfants à recevoir le vaccin, je considère que nous devons alerter nos semblables pendant que nous avons encore le moyen de le faire. Je vous propose donc une action concertée pour diffuser le plus largement possible cette entrevue de Geert Vanden Bossche tous ensemble 👉CE DIMANCHE, 17 octobre, à 20h.

Si tu juges que ta participation à cette diffusion simultanée peut avoir un impact fertile auprès de ton auditoire, laisse-moi ton nom, courriel et l’adresse URL de ta plateforme (youtube, facebook ou autre) à <[email protected]> et je t’enverrai un lien WETransfert par retour de courriel du vidéo assez tôt dans la journée de dimanche afin que tu puisses la télécharger et la mettre sur tes plates-formes de diffusion. La vidéo doit être projetée à plusieurs endroits simultanément en vue d'une 👉projection générale à 20h tapant.

Le but est de permettre qu'un maximum de personnes reçoivent le message extrêmement important de ce virologue. Je n'ai aucun intérêt à garder l'exclusivité de cette entrevue alors que les enjeux sont extrêmement graves. Voici le teaser qui vous donne un aperçu du message plutôt alarmant lancé par le virologu


Mon but et mon devoir en tant que citoyen préoccupé, en tant que papa inquiet et en tant que microbiologiste de formation, c'est de révéler ce qui est en train de se produire: une catastrophe à grande échelle!

PS: tu peux transférer ce message aux influenceurs que tu connais.


Merci pour tout


Stéphane Guay
[email protected]


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5 juillet 2021


Alors que les autorités sanitaires l’ignorent, les vérificateurs de faits des Big Tech et des médias grand public font tout leur possible pour faire taire Geert Vanden Bossche. Ce n’est peut-être pas sage. Si Vanden Bossche a raison, il y a encore beaucoup à venir.

Bien que peu de critiques de l’approche corona aient reçu autant de ricanements et de critiques que Geert Vanden Bossche, tout dans son CV indique que le Flamand sait exactement de quoi il parle. Vanden Bossche, vétérinaire de formation et virologue, a travaillé pendant des décennies au sein de l’industrie pharmaceutique sur le développement de vaccins. En tant qu’expert en vaccins, il a conseillé la Fondation Bill & Melinda Gates et, à l’Alliance du Vaccin GAVI, il a suivi de près le développement de vaccins contre Ebola.

Vanden Bossche n’est en aucun cas un antivaxxer. « Je sais très bien à quel point les vaccins sont importants et à quel point ils peuvent faire du bien », dit-il.

Controversé

Malgré ses antécédents, d’innombrables sites Web sont négatifs à propos de Vanden Bossche. Selon le site internet du radiodiffuseur public flamand VRT, par exemple, Vanden Bossche pulvérise des « absurdités techniques ». La VRT dépeint Vanden Bossche comme un alarmiste, dont les théories ne correspondent pas à la réalité et sont en contradiction avec les expériences positives qui ont été acquises dans le passé avec les vaccins.

Les vérificateurs de faits du site Web HealthFeedback.org ne sont pas non plus satisfaits de Vanden Bossche. Ils ont qualifié les idées de Vanden Bossche de «trompeuses». Selon le site Web du Bureau canadien pour la science et la société, une initiative de l’Université de McGill qui veut clarifier ce qui est de la « vraie » science et ce qui ne l’est pas, Vanden Bossche n’est pas un vrai scientifique, et le site Web a archivé l’article sur Vanden Bossche sous l’étiquette pseudoscience.

Les vérificateurs de faits du site flamand gezondheidenwetenschap.be même aller plus loin, dépeignant Vanden Bossche comme un excentrique confus. « Il se déclare être le seul scientifique qui veut nous protéger des dangers de la vaccination de masse », selon le site. « Cela en soi devrait sonner une cloche sceptique. »

Vanden Bossche est, si l’on en croit ces sites, une lumière errante dangereuse ou du moins un esprit confus. Ce sont principalement les sites Web des institutions officielles, des gouvernements et des grandes organisations affiliées au gouvernement qui sont négatifs à propos de Vanden Bossche. Dans d’innombrables endroits sur Internet, la situation est différente. Geert Vanden Bossche y est un interlocuteur à part entière, qui mérite au moins d’être pris au sérieux.


Quiconque fait l’effort de lire ses articles ou de regarder ses vidéos sur le site personnel de Vanden Bossche, ou de regarder les discussions parfois approfondies et intensives avec Vanden Bossche sur YouTube, comprend pourquoi Vanden Bossche est si controversé. Ses théories sont méticuleusement formulées et, surtout, strictement logiques. S’ils sont corrects, alors l’approche actuelle de la crise par le biais de vaccinations de masse entraînera une catastrophe.

Quatre raisons

La raison pour laquelle Geert Vanden Bossche craint que les vaccinations contre le virus Covid-19 aient un effet contre-productif est quadruple. Nous vaccinons alors que nous sommes au milieu d’une pandémie. C’en est un. Nous avons affaire à un virus qui mute facilement. C’est deux. L’administration de vaccins ne se limite pas à des groupes spécifiques, mais la plupart de la population mondiale devra éventuellement se faire vacciner. C’est trois. Et les vaccins que nous administrons ne sont pas en mesure d’arrêter complètement la réplication du virus. Et c’est quatre.

« C’est à cause de l’interaction de ces quatre facteurs que je suis très inquiet », déclare Vanden Bossche. « En conséquence, la situation est fondamentalement différente de, pour donner un exemple, la situation de quelqu’un qui voyage dans un pays lointain où se produisent de formidables maladies infectieuses. »

Dans cette situation, le voyageur hypothétique, bien avant de monter dans l’avion, se fait vacciner. Au moment où il met les pieds dans le pays de votre destination, les vaccinations ont permis de faire circuler dans son corps des anticorps capables de faire face aux germes en question. Si le voyageur entre en contact avec les germes contre lesquels il a été vacciné, les anticorps induits par les vaccinations traiteront dans la plupart des cas les agents pathogènes en question.

La situation dans la pandémie de coronavirus est différente. Nous vaccinons maintenant des millions de personnes dans le monde alors que le virus est déjà abondant dans leur environnement. Un certain nombre de ces personnes seront déjà infectées par le virus avant d’administrer le vaccin. Certains seront infectés par le virus peu de temps après la vaccination, avant même que le corps ait eu le temps de fabriquer des anticorps à part entière. De plus, les personnes qui ont été vaccinées avec les vaccins utilisés peuvent encore être infectées par le virus et le transmettre. Le vaccin les empêche de développer eux-mêmes des symptômes.

Cette situation diffère considérablement de celle dans laquelle un voyageur obtient ses vaccins dans une zone non contaminée et ne se déplace que lorsqu’il est pleinement protégé.

Supermutants

Au cœur des théories de Vanden Bossche se trouve le groupe sans cesse croissant de personnes vaccinées qui peuvent encore être infectées par le virus sans être remarquées et le transmettre. Ces personnes agissent comme des laboratoires virologiques ambulants, dans lesquels les virus mutent, transmettant les variantes partiellement résistantes aux vaccins. Dans ce processus, le coronavirus se transforme progressivement en un germe qui ne se soucie plus des vaccins avec lesquels nous essayons d’arrêter cette épidémie. Le virus se transforme en un « supermutant » aux propriétés infectieuses sans précédent.

Bien sûr, la probabilité qu’un tel « supermutant » se produise dans le corps d’un individu aléatoire infecté par une variante actuelle du coronavirus est très faible, dit Vanden Bossche. « Mais si des milliers d’individus à moitié vaccinés sur cette planète sont infectés chaque jour par un groupe maintenant très diversifié de virus Sars-CoV-2, alors les chances que ce supermutant se forme sont si réelles qu’il ne s’agit plus de savoir si ce supermutant va se produire », dit-il. « La question est de savoir à quelle vitesse cela se produira. »

Vaccins vivants

Un argument que les sites Web et les vérificateurs de faits font parfois contre les théories de Vanden Bossche est que les autorités ont efficacement combattu des maladies virales telles que la poliomyélite et la variole avec des vaccins dans un passé proche, sans que des « supermutants » soient apparus. Cet argument ne tient pas compte des différences entre les campagnes anti-corona actuelles et les campagnes contre la variole et la poliomyélite, explique Vanden Bossche.

Les vaccins utilisés pour lutter contre ces maladies étaient d’abord constitués de virus vivants. Il s’agissait de variantes virales dégénérées, qui n’étaient plus en mesure de rendre les gens malades. Dans le même temps, ils ont provoqué une réponse immunitaire complète, ce qui a conduit à une immunité complète et à vie.

C’est différent avec les vaccins avec lesquels le monde essaie maintenant de maîtriser le Covid-19. Ce sont des vaccins recombinants, produits de la biotechnologie, qui n’exposent pas le système immunitaire à un virus complet, mais seulement à la protéine de pointe du virus. La réponse immunitaire de ce groupe de vaccins est moins robuste et complète que celle des vaccins vivants. Les vaccins à virus vivants ont modifié le corps pour le virus en question dans un environnement dans lequel il ne peut pas survivre, et encore moins muter. Les vaccins corona, d’autre part, sont « fuyants ». Ils suppriment les symptômes de la maladie, mais ne peuvent pas empêcher les gens de ramasser le virus et de le transmettre à nouveau.

Des chiffres favorables

Néanmoins, selon les statistiques officielles, les infections, les hospitalisations, les patients en soins intensifs et le nombre de décès évoluent dans la direction positive. En partie grâce aux vaccinations, disent les experts. Geert Vanden Bossche n’en est pas rassuré.

« Je considère ces chiffres comme la pointe proverbiale de l’iceberg, dépassant au-dessus de l’eau et brillant et brillant au soleil », dit-il. « Pour savoir à quoi ressemble l’iceberg dans son intégralité, un plongeur devra aller dans l’eau sombre pour regarder de plus près. »

Il existe peu de recherches systématiques sur l’excrétion des variantes du coronavirus par les personnes vaccinées en bonne santé. Il existe des études qui décrivent comment le virus mute et, sous la pression de notre système immunitaire, devient plus contagieux ou offre de plus en plus de résistance aux anticorps induits. Dans ces études, cependant, les chercheurs évitent de faire un lien avec la vaccination de masse.

Protéine spike

« En raison du manque de recherche systématique sur l’excrétion du virus par les personnes vaccinées en bonne santé, l’influence de la vaccination de masse sur la circulation des variantes est difficile à prouver », explique Vanden Bossche. « Nous ne savons donc pas exactement dans quelle mesure des variantes virales circulent déjà qui échappent partiellement aux anticorps contre la protéine de pointe (les protubérances souvent dessinées en rouge, n.) de la première version du coronavirus. »

Certes, les personnes vaccinées peuvent propager ces variantes virales en constante évolution sans en être très nombreuses. Au fur et à mesure que la campagne de vaccination progresse et qu’il y a de plus en plus d’individus vaccinés, ces variantes du virus s’adapteront de mieux en mieux à l’immunité croissante de la population.

« Le virus est toujours là », résume Vanden Bossche. « Ça circule, ça change et ça s’adapte. »

Supermutant

Avant même la veille de la veille, le coronavirus pourrait revenir et le nombre d’infections, d’admissions et de décès pourrait à nouveau augmenter. Quand exactement cela se produira, et de quels chiffres nous parlons, Vanden Bossche ne sait pas. « Je suis un scientifique, pas un prophète », dit-il. Mais sur la base d’idées et de théories scientifiques, il ose faire quelques prédictions.

Ces nouvelles variantes du virus seront d’abord principalement hébergées parmi le segment de plus en plus réduit de la population qui n’a pas été vacciné. Ce groupe pourra être infecté par des personnes vaccinées et non vaccinées. Cependant, comme le nombre de personnes vaccinées sera supérieur au nombre de personnes non vaccinées, les personnes vaccinées seront la principale source d’infection. Dans un processus qui peut aller très vite, craint Vanden Bossche, des variantes finiront par apparaître contre lesquelles les vaccins n’offriront plus aucune protection. Et à partir de ce moment, les personnes vaccinées pourront également tomber malades.

En fait, Vanden Bossche soupçonne que les supermutants peuvent être plus graves chez les personnes vaccinées que chez les personnes non vaccinées. Les anticorps dans le corps des vaccinés se retournent contre le système immunitaire inné.

Anticorps naturels

Dans cette partie des théories de Vanden Bossche, les anticorps naturels du système immunitaire inné sont cruciaux. Grâce à ces anticorps naturels, la majorité de la population est protégée contre les coronavirus. Plus une personne est jeune et en bonne santé, plus ces anticorps naturels sont actifs dans un corps. Grâce à ces anticorps, la grande majorité de la population ne tombe même pas malade lorsqu’elle est infectée par un coronavirus.

Cette défense naturelle contre les coronavirus est probablement fortement supprimée par les anticorps plus spécifiques qui résultent de vaccins ou d’une infection naturelle. Si les coronavirus supermutants traversent le vaccin, ces anticorps spécifiques ne seront plus en mesure d’entraver le virus, mais montreront toujours une certaine affinité pour la protéine de pointe du virus. Ils se lieront toujours à la protéine de pointe des virus supermutants, de sorte que les anticorps naturels ne peuvent plus faire leur travail, accélérant peut-être même le processus de la maladie.

Si les personnes vaccinées ont également reçu des injections de rappel supplémentaires à ce moment-là et, par conséquent, se souviennent de leurs anticorps contre l’ancien virus de Wuhan, le risque est grandeur nature. Le plus tragique sera les conséquences possibles de la vaccination des jeunes et des enfants, craint Vanden Bossche. Après tout, leur système immunitaire naturel fonctionne bien et s’aggrave, pas s’améliore, en raison des vaccins corona.

Pas d’illusions

Dans l’ensemble, Geert Vanden Bossche est sombre quant à l’avenir vers le monde. « Je ne me fais aucune illusion sur le fait que la campagne de vaccination doit être arrêtée, maintenant », soupire-t-il. « Il est possible que l’industrie pharmaceutique réussisse à trouver de nouveaux vaccins contre de nouvelles variantes corona, mais cela n’améliorera pas le résultat final de cette spirale virologique et vaccinologique. Mais probablement pire. »

Lorsque l’épidémie de coronavirus a éclaté, que le virus s’est propagé dans le monde entier et que les sociétés pharmaceutiques ont commencé à développer des vaccins à la hâte, Vanden Bossche a voulu faire entendre sa voix. Après tout, l’épidémie de coronavirus a eu lieu à l’intersection de la virologie, du développement de vaccins et de la biologie immunitaire, précisément les domaines dans lesquels elle est active depuis des décennies. De plus, Vanden Bossche est indépendant, il a donc pu parler librement.

À l’époque, il n’aurait pas pu prévoir qu’il aurait à faire face à une forme de censure sans précédent, ou à une attaque contre sa personne et son intégrité scientifique. Mais même s’il l’avait su à l’avance, cela n’aurait pas fait de différence et aurait quand même interféré dans le débat public. « Je me sens responsable », dit-il. « Je veux avoir fait tout ce qui était en mon pouvoir pour éviter un résultat désastreux. Je ne veux pas me taire.

Épilogue

Juste avant qu’OverNu ne parle avec Vanden Bossche, LinkedIn a supprimé son article le plus récent. Pendant les heures où il était en ligne, des dizaines de milliers de personnes ont pu le lire.




Source: William Koert d'OverNu

La saisie d'écran de Geert Vanden Bossche provient de cette vidéo du 1er juin 2021 intitulée "The insidious face of a pandemic of variants".




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