Les manigances de l'élection américaine me poussent à réfléchir, plus large

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cgelinas
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En ce jeudi, 5 novembre 2020 de surlendemain de scrutin américain toujours décompté dans des États clés, malgré les émotions qui bouillent, pour certains, c'est un temps qui appelle à la raison.

En gardant la tête froide, les idées bien composées et son propre hamster dans l'action de création (quelle que soit cette création, idéalement à la hauteur de votre pleine réalisation), nous évitons la peur, le doute et l'angoisse dus aux actuelles incertitudes.

Du côté de nos voisins Américains qui font face à un test sans précédent de l'intégrité de leur système électorale, c'est un bon moment pour se demander si, ici aussi, au Canada, au Québec, en Ontario et ailleurs, nous ne sommes pas, nous aussi, les cibles de semblables manipulations en sous-main.

Sondages destinés à mouler l'opinion publique en faveur du candidat aligné sur l'intérêt de l'establishment, recours à des systèmes de gestion informatique des votes dont le code est secret et refus catégorique de permettre une réelle transparence dans les mécanismes publics, tant il faut ménager l'énorme place qu'y occupe les lobbys d'intérêts privés.

Les religions ne paient toujours aucun impôt, les paradis fiscaux sont totalement régularisés et légaux, aussi bien par Justin Trudeau que les services du revenu des provinces et les fondations de toutes sortes continuent d'engranger les trésors publics pour régler des "problèmes" qui, au fond, doivent continuer pour que leur manège de vampirisation du public puisse perdurer.

Même logique de traitement en toutes choses, dans le secteur de la santé allopathique des hôpitaux du complexe médico-pharmaceutique où une guerre sans merci est livrée contre tout ce qui vient de la nature ou qui pourrait mener à une guérison.

Les "standards obsessifs" en éducation priorisent les processus de transmission de la matière avant l'intérêt réel des élèves. Si un enfant a le malheur de se respecter et de refuser ce modèle largement unilatéral et irrespectueux de leurs préférences, ses parents se font recommander de "consulter" pour un "suivi" ou de la médication. Et les directions scolaires célèbrent ça car l'enfant, brisé et isolé, finit par "se calmer". Les profs alignés sur l'oppression des enfants (heureusement, ils ne sont pas tous comme ça) y voient une victoire pour "le calme dans la classe", en présentiel ou en zoom.

Qu'importe le domaine, il y a des gens tellement bons, forts, équilibrés, intelligents et pleins d'amour que ce système de plus en plus inhumain continue de tenir mais ça craque de partout.

Ce qui est financé doit être aligné avec l'OMS, l'ONU, le FEM, McKinsey, l'Open Society de George Soros ou la FBMG de Bill Gates.

Hors de ce cadre de pensée mondialiste, pro-taxation du carbone, pro-technocrate et pro-transhumain, c'est sans cesse plus difficile d'exister, financièrement ou autrement, tellement l'État est instrumentalisé par des étrangers afin de soumettre les peuples, incluant les Canadiens.

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Certains privilégiés, à divers niveaux, se sentent importants lorsqu'ils se font dire qu'ils ont été choisis pour aider dans la reconstruction d'un monde meilleur et qu'il y auront une place de choix s'il se conforment à des directives simples.

Ces privilégiés s'expliquent à eux-mêmes que s'ils ne saisissent pas cette occasion de participer à la prochaine version du théâtre social, quelqu'un d'autre le fera à leur place et ils auront perdu leur "chance" de "capitaliser" sur leur "situation suffisamment privilégiée" pour recevoir une telle offre.

Toujours sous le couvert de la plus totale confidentialité et du secret car gare à quiconque oserait dénoncer l'existence d'une telle mécanique ou pire, son agenda.

Il y a un agenda public et il est à la fois complaisant et flou.

C'est suffisant pour les peuples qui se font refuser le rôle d'architecte de leur propre monde, sauf pour de toutes petites parcelles pour lesquels ils seront lourdement balisés.

Le pouvoir ne se concentre qu'à la tête des "initiatives" mondialistes. Il ne se partage jamais "vers le bas", vers les peuples. Ou alors, de manière ponctuelle et temporaire, le temps de serrer la corde au cou des peuples, encore un peu plus.

Regarder ce qui se passe avec la progression de la lutte contre la COVID.

Sentez-vous que la corde se resserre sans cesse?

Si oui, vous voyez juste car c'est bel et bien le cas.

Plus de masques, de confinements, de gels hydroalcooliques, de distanciation (ou d'éloignement "social"), de cours en Zoom à l'école, de téléconsultations médicales, de restrictions en public (restos, gyms, frontières) et combien d'autres limitations ou suppressions des libertés, incluant la gouverne par décrets, au Québec.

Et rien n'indique que ça cessera tant que les agendas n'auront pas été pleinement imposés, en prétextant aux visages des naïfs que c'est "pour leur bien" ou pour "sauver la planète".

Au besoin, George Soros sortira Greta Thunberg ou n'importe quelle autre adolescente qui gère mal ses émotions et qui est préférablement influençable pour attendrir les masses.

Ceux qui ont les yeux ouverts ont beau dénoncer ce théâtre de mauvais goût, c'est difficile d'expliquer une image à une autre personne qui n'en a jamais vu parce ses yeux ont toujours été fermés. Parce qu'il s'est fait dire qu'il allait "tuer la planète" s'il devait réfléchir de manière critique et à l'extérieur du narratif propagandiste.

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Le monde du travail, ou de l'esclavage salarié ne manque pas d'exemples probants du ridicule réservé aux peuples.

Alors que les mondialistes décident comment ils vont enchaîner les peuples dans des bureaucraties, des procédures, des protocoles, des directives, des décrets, des décisions, des lois et des manifestes provenant d'organisations diverses mais grassement financées par les tenants de l'actuelle structure de médiocratie assumée, les peuples, eux, doivent consacrer l'essentiel de leur temps à gagner assez d'argent pour nourrir le gouvernement avec au moins la moitié de ce qu'ils gagnent pour ensuite tenter de vivre, avec le reste.

Quiconque refuse ce "jeu du travail" (salarié ou autonome) est pointé du doigt.

À dessin.

C'est pour ridiculiser quiconque reconnaît le ridicule. Ça permet aux barrons de pouvoir compter sur les autres esclaves pour ridiculiser la poignée d'esclave qui ose remettre en question l'esclavage dont ils réalisent être victimes, lorsqu'ils se refusent le rôle de créateur responsable qu'ils ont, par droit divin (par religieux, divin... énormissime différence).

Chacun d'entre-nous perd donc l'essentiel de son temps à gagner juste assez pour profiter des soirs et d'une partie des weekends.

Certains y trouvent un bonheur réel et c'est tant mieux pour eux (je suis sérieux) mais tous n'ont pas cette chance.

Avec des prescriptions record d'antidépresseurs, des besoins psychologiques qui dépassent les capacités d'aide et divers maux qui émanent de milles mal-êtres dûs au travail, directement ou non, il ne fait aucun doute que le modèle sert quelqu'un mais ce n'est manifestement pas le peuple.

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Puis, il y a ceux qui rêvent de rejoindre l'élite mondiale pour se la couler douce en "gouvernant" sans devoir être redevable aux peuples.

Ça s'appelle l'ONU et ses organisations tentaculaires conservent une prise strangulatoire sur les peuples. Ça fait rêver les opportunistes qui n'hésitent jamais à rabaisser les autres pour se remonter.

Il y a de bonnes personnes parmi les mondialistes mais leur cadre de pensée abstrait, machinal et trop souvent dictatorial rappelle une forme de marxisme où tout le monde est censé être réputé égal mais au fond, certains sont bien plus égaux que d'autres.

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Alors voilà, politique, économie, vie publique ou privée, santé (ou entretien pharmaceutique de la maladie), éducation (ou propagande d'État alignée sur l'agenda onusien) et monde du travail sont autant d'angles via lesquels notre réalité n'est pas à notre image parce qu'elle est conçue et entretenue par des tiers étrangers qui s'assurent de ne jamais avoir de comptes à nous rendre, tout en s'immiçant dans nos vies, à peu près toujours sans notre permission... ou notre compréhension de ce qu'ils sont venus faire.

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Pour toutes ces raisons, je ne peux que vous dire ce que je fais, moi.

Je choisis de créer, en conscience du désir que je fais ces choix pour me réaliser, pleinement.

Ce n'est pas le choix facile.

Ce qui serait facile, ce serait de m'aligner sur la propagande et l'amplifier, sans penser, récoltant du coup le salaire et le soutien des millions de gens qui font ce choix.

Je l'ai fait une bonne partie de ma vie mais je suis ailleurs, maintenant.

Les yeux ouverts, c'est difficile de marcher vers le proverbial précipice de cette version mondialiste d'une société qui sert une poignée d'initiés au prix d'une mise-à-genoux de la quasi-totalité des gens.

Comme tout le monde est unique, chacun articule sa propre vie du mieux qu'il le peut et qu'importe où une personne se trouve dans ce grand échiquier, elle peut changer, à tout moment et améliorer le monde comme jamais, simplement en exerçant son meilleur jugement et en ajustant ses choix, dans le sens de sa pleine réalisation, en ce qu'elle a de plus beau.

Alors je suis d'un naturel optimiste.

Réaliste, analytique, aimant, ouvert, souriant et intéressé mais quand même optimiste.

Rien n'est facile, il faut mettre les efforts pour tailler sa place au soleil. Même quand on se dit que certains bouts du chemin sont plus faciles, les architectes de la réalité n'ont pas notre bien à coeur mais le leur.

En toutes choses, refuser d'être une victime pour assumer son rôle de créateur facilite le mouvement, l'action et le potentiel de réussite personnelle, qu'importe ce que cet objectif signifie, pour chaque personne.

Alors devant ce qui se passe avec les élections américaines, les malversations, les manigances et ce qui ressemble pas mal à de la malveillance, moins d'émotions et plus de raison sont des tendances à pondérer.

Personnellement et socialement.

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Merci de réfléchir par vous-même et de ne suivre PERSONNE d'autre que... vous.

C'est VOUS qui devez être votre propre inspiration.

Vous pouvez vous inspirer des autres mais revenez toujours à vous afin d'y prendre toute votre place afin d'exister, en conscience.




Source: En lien avec une courte publication, dans Facebook




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