Le point en fin-novembre 2020 sur les écouvillons
Posté : 29 novembre 2020, 00:16
Parce que tant de gens m'en parlent, encore, j'ai décidé de soumettre ce commentaire pour clarifier ce qu'il advient des écouvillons et de ce que j'en ai dit.
En résumé, je me suis trompé sur un détail et je vous explique pourquoi, plus bas.
Mais voilà, si je me suis trompé sur un détail, ça ne veut pas dire que je me suis trompé, sur tout.
À vous de faire vos recherches, chers Amis.
-- --
Bonjour tout le monde,
Je vous confirme que je ne suis pas "Docteur en anthropologie" et je n'ai aucune idée qui a bien pu ajouter ça.
Bon, le sujet.
J'en parle en long et en large, ici, par écrit:
https://forum.chaudiere.ca/viewtopic.php?t=1462
La seule confusion qui a émané, c'est parce que dans la tête se trouve un réseau d'irrigation sanguin qui, dans le cerveau, aussi bien pour les veines que les artères, a une cellule d'épaisseur de protection appelée "barrière sang-cerveau" ou "barrière héato-encéphalique".
Cette barrière peut être "compromise" (c'est toujours le mot utilisé) par un objet physique, par exemple mais on s'entend que c'est rare en titi qu'on va jouer dans notre cerveau avec un "objet".
Là où j'ai fait une erreur, c'est de penser que le réseau d'irrigation du cerveau était relié au même système d'irrigation que le nez.
Anatomiquement, ce sont les mêmes veines et artères.
Par exemple, dans le fond de la cavité nasale, on retrouve l'artère sphénopalatiale, au-dessus du nasopharynx.
Cette artère passe très près de l'endroit où l'écouvillon doit appuyer et être "tourné" pendant 10 secondes pour "recueillir un échantillon".
Avant mon "live", j'avais écrit à deux médecins de confiance dont je ne dévoile pas l'identité parce que ça ne doit pas se savoir qu'ils parlent à quelqu'un qui remet en question la propagande officielle, sinon ils pourraient perdre leur emploi.
C'est raide de même.
Alors les deux m'ont confirmé que l'artère qui amenait le sang au cerveau était la même que celle qui alimentait l'artère sphénopalatiale du fond de la cavité nasale.
Donc, c'est là que j'ai compris le danger de placer un écouvillon là car dans cette artère se trouvait sûrement une protection sang-cerveau mais après vérification, il semble que la science soit encore divisée sur le sujet mais que ça pencherait plus du côté qu'il n'y a pas de BHE dans le système d'irrigation sanguin du nez et donc, qu'il ne serait pas possible de le "compromettre".
Mais...
Même si mes deux médecins qui veulent rester anonymes ont dit "ouin, ok, mettons", les deux ont dit que la science avait encore des débats sur la nature très exacte du lien nez-cerveau, notamment au plan de l'irrigation sanguine.
Alors, j'ai eu tort sur ce détail précis mais je le vois comme un apprentissage.
Mais j'ai de la misère à imaginer qu'une artère sphénopalatiale "compromise" ne poserait aucun danger pour la santé sanguine dans la céphalée.
Mais bon, je choisis mes combats et les médecins refusent de venir parler à la caméra tellement le sujet est encore chaud et débattu mais les quelques médecins qui ont parlé n'ont pas vraiment expliqué les fins détails de pourquoi leur version était la bonne, ils ont juste utilisé la science dominante qui affirme ça, sans que j'aie trouvé des infos vraiment définitives sur la question des liens entre les réseaux sanguins, dans la tête, spécifiquement dans le fond de la cavité nasale et le bas du cerveau, en avant, via le tronc artériel et veineux qui passe, pas mal exactement entre les deux.
--
À vous de voir à faire vos propres recherches.
Vous allez voir, c'est loin d'être noir ou blanc.
Même pour les médecins qui osent en parler, même en privé.
--
Depuis que j'ai dénoncé les écouvillons, les tests RT-PCR "Real Time" d'amplication par polymérase jusqu'à 37 et 45 fois (ou plus?) sur des machines de Thermo-Fisher et de BioRad dans les Optilab du Québec (des forteresses opaques ou personne ne sait vraiment ce qui se passe) ont continué d'être administrés, et... dénoncés.
Et pour cause.
Les tests RT-PCR perdent tout utilité au-delà de 20-quelques amplifications pour l'identification précise de virus.
Il st cependant possible de détecter une "charge virale" à 37 ou 45 amplifications mais bien malin sera celui qui pourra deviner si c'est un SRAS-CoV-2 ou un autres des 440-quelques coronavirus qui "se promènent".
Les gens doivent se renseigner et comprendre que tout ça va bien plus loin que l'obsession d'identifier des virus.
Il y a autre chose.
Et ce n'est évidemment pas mentionné, au public.
--
J'ai continué mes recherches mais plus j'avance, plus je comprends que les informations médicales, incluant l'anatomie humaine, sont "sous-influence" des lobbys qui "créent" des éléments de science et les tenants d'une information qui se veut "simplifiée" pour le public au point où c'est devenu impossible d'avoir les véritables informations qu'on cherche.
Il a fallu que je retourne à des livres de médecins des années 1970 à 2000 pour pouvoir ENCORE voir des images vraiment détaillées et des explications qui étaient plus précises.
C'est comme si les nouveaux livres et liens, dans le web, essayaient de nous garder... ignorants.
Alors il faut que tout le monde recherche pour trouver l'information qui devient sans cesse plus compliquée à trouver.
Source: Mon commentaire, dans Facebook
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En résumé, je me suis trompé sur un détail et je vous explique pourquoi, plus bas.
Mais voilà, si je me suis trompé sur un détail, ça ne veut pas dire que je me suis trompé, sur tout.
À vous de faire vos recherches, chers Amis.
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Bonjour tout le monde,
Je vous confirme que je ne suis pas "Docteur en anthropologie" et je n'ai aucune idée qui a bien pu ajouter ça.
Bon, le sujet.
J'en parle en long et en large, ici, par écrit:
https://forum.chaudiere.ca/viewtopic.php?t=1462
La seule confusion qui a émané, c'est parce que dans la tête se trouve un réseau d'irrigation sanguin qui, dans le cerveau, aussi bien pour les veines que les artères, a une cellule d'épaisseur de protection appelée "barrière sang-cerveau" ou "barrière héato-encéphalique".
Cette barrière peut être "compromise" (c'est toujours le mot utilisé) par un objet physique, par exemple mais on s'entend que c'est rare en titi qu'on va jouer dans notre cerveau avec un "objet".
Là où j'ai fait une erreur, c'est de penser que le réseau d'irrigation du cerveau était relié au même système d'irrigation que le nez.
Anatomiquement, ce sont les mêmes veines et artères.
Par exemple, dans le fond de la cavité nasale, on retrouve l'artère sphénopalatiale, au-dessus du nasopharynx.
Cette artère passe très près de l'endroit où l'écouvillon doit appuyer et être "tourné" pendant 10 secondes pour "recueillir un échantillon".
Avant mon "live", j'avais écrit à deux médecins de confiance dont je ne dévoile pas l'identité parce que ça ne doit pas se savoir qu'ils parlent à quelqu'un qui remet en question la propagande officielle, sinon ils pourraient perdre leur emploi.
C'est raide de même.
Alors les deux m'ont confirmé que l'artère qui amenait le sang au cerveau était la même que celle qui alimentait l'artère sphénopalatiale du fond de la cavité nasale.
Donc, c'est là que j'ai compris le danger de placer un écouvillon là car dans cette artère se trouvait sûrement une protection sang-cerveau mais après vérification, il semble que la science soit encore divisée sur le sujet mais que ça pencherait plus du côté qu'il n'y a pas de BHE dans le système d'irrigation sanguin du nez et donc, qu'il ne serait pas possible de le "compromettre".
Mais...
Même si mes deux médecins qui veulent rester anonymes ont dit "ouin, ok, mettons", les deux ont dit que la science avait encore des débats sur la nature très exacte du lien nez-cerveau, notamment au plan de l'irrigation sanguine.
Alors, j'ai eu tort sur ce détail précis mais je le vois comme un apprentissage.
Mais j'ai de la misère à imaginer qu'une artère sphénopalatiale "compromise" ne poserait aucun danger pour la santé sanguine dans la céphalée.
Mais bon, je choisis mes combats et les médecins refusent de venir parler à la caméra tellement le sujet est encore chaud et débattu mais les quelques médecins qui ont parlé n'ont pas vraiment expliqué les fins détails de pourquoi leur version était la bonne, ils ont juste utilisé la science dominante qui affirme ça, sans que j'aie trouvé des infos vraiment définitives sur la question des liens entre les réseaux sanguins, dans la tête, spécifiquement dans le fond de la cavité nasale et le bas du cerveau, en avant, via le tronc artériel et veineux qui passe, pas mal exactement entre les deux.
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À vous de voir à faire vos propres recherches.
Vous allez voir, c'est loin d'être noir ou blanc.
Même pour les médecins qui osent en parler, même en privé.
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Depuis que j'ai dénoncé les écouvillons, les tests RT-PCR "Real Time" d'amplication par polymérase jusqu'à 37 et 45 fois (ou plus?) sur des machines de Thermo-Fisher et de BioRad dans les Optilab du Québec (des forteresses opaques ou personne ne sait vraiment ce qui se passe) ont continué d'être administrés, et... dénoncés.
Et pour cause.
Les tests RT-PCR perdent tout utilité au-delà de 20-quelques amplifications pour l'identification précise de virus.
Il st cependant possible de détecter une "charge virale" à 37 ou 45 amplifications mais bien malin sera celui qui pourra deviner si c'est un SRAS-CoV-2 ou un autres des 440-quelques coronavirus qui "se promènent".
Les gens doivent se renseigner et comprendre que tout ça va bien plus loin que l'obsession d'identifier des virus.
Il y a autre chose.
Et ce n'est évidemment pas mentionné, au public.
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J'ai continué mes recherches mais plus j'avance, plus je comprends que les informations médicales, incluant l'anatomie humaine, sont "sous-influence" des lobbys qui "créent" des éléments de science et les tenants d'une information qui se veut "simplifiée" pour le public au point où c'est devenu impossible d'avoir les véritables informations qu'on cherche.
Il a fallu que je retourne à des livres de médecins des années 1970 à 2000 pour pouvoir ENCORE voir des images vraiment détaillées et des explications qui étaient plus précises.
C'est comme si les nouveaux livres et liens, dans le web, essayaient de nous garder... ignorants.
Alors il faut que tout le monde recherche pour trouver l'information qui devient sans cesse plus compliquée à trouver.
Source: Mon commentaire, dans Facebook
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