Après la dynastie Trudeau, bienvenue à la dynastie Charest

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cgelinas
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12 janvier 2024


Une chose est sûre: le jeune Antoine Dionne Charest est déterminé à faire sa place au PLQ.


Eh oui. Mon titre n’est pas une mauvaise blague. Avec l’accession au pouvoir en 2015 de Justin Trudeau, fils de l’ex-premier ministre Pierre Elliott Trudeau, la politique fédérale nous a donné une vraie dynastie politique canadienne.

Voilà qu’avec l’arrivée sur scène d’Antoine Dionne Charest, fils de l’ex-premier ministre Jean Charest, la politique québécoise nous donne maintenant une toute nouvelle dynastie politique.

[Éditeur: les Québécois veulent-ils vraiment avoir le spectre de la dynastie Charest en politique, au Québec?]

Qui pense que tout n’est pas possible dans l’univers merveilleux de la politique partisane? Antoine Dionne Charest se fait toutefois un brin plus patient que Justin Trudeau.

[Éditeur: son père n'est aimé que par son cercle. Les Québécois se rappellent de son "règne" qui a livré le Québec aux mondialistes, entre autres choses horribles qu'il nous a fait.]

Pour le moment, il est surtout un membre influent de la commission politique du Parti libéral du Québec en quête du Saint-Graal du «renouveau» d’un parti déserté par les électeurs francophones.

[Éditeur: les anglos devraient prendre leurs distances, eux aussi.]

Il dit aussi songer à se présenter comme candidat aux élections de 2026. Et la chefferie? Pas pour le moment, jure-t-il. Une chose est sûre: le jeune Antoine Dionne Charest est déterminé à faire sa place au PLQ.

De toute évidence, comme pour Paul St-Pierre Plamondon lors de son arrivée à la tête d’un PQ promis au cimetière des «vieux» partis, l’adversité ne lui fait pas peur. À 35 ans, il faut dire que le temps joue en sa faveur.

Comme pour Justin Trudeau avant et depuis sa première victoire électorale, il s’en trouve maintenant pour réduire Antoine Dionne Charest à un simple fiston à papa.

[Éditeur: jusqu'à preuve du contraire, c'est le cas, non?]

Capable d’une pensée nuancée

C’est commettre là une erreur majeure. Comme Justin Trudeau, il est vrai qu’il est tombé dans la marmite politique dès sa naissance. Non seulement son père était déjà une bête politique, mais son grand-père l’était aussi.

[Éditeur: il fraie déjà avec la "famille libérale" alors il marche dans les pas de son père. S'il voulait se démarquer, il agirait autrement.]

Comme universitaire, Antoine Dionne Charest est néanmoins plus porté à réfléchir en profondeur sur la politique et le politique. Sa première participation cette semaine en tant que «commentateur» à l’émission Zone info sur RDI l’a confirmé.

On y voyait un libéral pleinement assumé et passionnément fédéraliste, mais capable en même temps d’analyses nuancées et bien documentées. Et ce, en politique autant québécoise que fédérale et internationale.

[Éditeur: Josée Legault a-t-elle des exemples pour illustrer ce genre de flattage de poil dans le bon sens? Ou cet article est-il juste une sorte de "commande"?]

L’homme sait faire ses devoirs. Son «style» de communication, moins tenté que son père à blaguer pour alléger un débat, est aussi plus sérieux, plus cérébral.

Ses prises de position laissent également deviner un libéral plutôt centriste alors que Jean Charest gouvernait, pas toujours mais souvent, en néolibéral affairiste classique.

L’aura du nom Charest

Inévitablement, Antoine Dionne Charest profite d’ailleurs de l’aura dont jouit encore son père au PLQ. Eh oui.

Malgré les soupçons persistants de corruption qui flottaient sur le gouvernement de Jean Charest, la popularité de ce dernier, pour les trois mandats d’affiliée au pouvoir qu’il leur a donnés, demeure intacte au sein des troupes libérales.

[Éditeur: Josée Legault donne l'impression d'être en amour avec les Libéraux. Surtout ceux qui supportent l'ère de corruption, notamment dans le domaine de la construction, de l'ère Charest.]

Pour cette raison – et elle n’est pas anodine –, au PLQ, le nom Charest est encore et toujours une puissante carte de visite.

Bref, pour la suite des choses au PLQ, même terriblement affaibli depuis le régime catastrophique du duo Couillard-Barrette, Antoine Dionne Charest est fort probablement en politique partisane pour y rester.

[Éditeur: ça sonne racoleur comme article, vous ne trouvez pas?]

Avec la jeune et brillante députée Marwah Rizqy, dont l’étoffe d’une future cheffe crève les yeux, le fils de Jean Charest s’inscrit dans le peloton de tête d’une relève dont les libéraux ont désespérément besoin. Et c’est un euphémisme...

S’il joue bien ses cartes, Antoine Dionne Charest finira bien un jour par se faire un prénom à son tour.

[Éditeur: est-ce qu'Antoine a étudié à la sinistre London School of Economics, ce haut-lieu couru et adulé par les mondialistes? Il se trouve que oui. Ça en dit long sur le personnage et son cadre référentiel pour "gouverner". Un autre mondialiste en train de monter dans les rangs?]



Source: Journal de Montréal



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