Y a-t-il un lien entre l'album "Adrenalize" de Def Leppard (1992) et l'adrénochrome

[cgelinas]

"Adrenalize"

Sorti aux États-Unis le 31 mars 1992, combien de gens s'étaient arrêtés au titre de cet album du groupe rock anglais Def Leppard?

Très peu, probablement.

Aujourd'hui, presque 30 ans plus tard, plusieurs ressentent une sorte de gros malaise en imaginant qu'il pourrait s'agir d'une référence à la résultante du sang adrénalisé ("adrenalized blood", post-trauma... peut-être en lien avec l'album suivant intitulé "Hysteria", qui sait?).

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Def Leppard tentait-il d'alerter les masses (à propos de quelque chose de sombre dont ils avaient entendu parler) ou encore, de rire de celles-ci en leur montrant ce qu'ils n'étaient pas outillés pour comprendre?

Ou rien du tout car pour autant qu'on le sache, "Adrenalize" pourrait simplement être un titre d'album rock parmi d'autres qui cherchait à provoquer sans forcément cacher de "second degré".

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Selon vous, à quoi Def Leppard faisait-il référence avec son titre d'album?

Écoutez plusieurs des paroles de leurs chansons et ajoutez le contexte de l'adrénalisation du sang et vous allez voir qu'il arrive, comme dans "Personal Property" que ça fait étrange.

Je sais que ça ne vous réjouira pas d'avoir à même considérer cette éventualité parce que Def Leppard était aimé (et l'est encore) mais si on veut que la vérité sorte, il faut se poser des questions.

Faire comme si on ne voyait rien ne fait que confirmer qu'on se ment d'abord à soi-même alors je vous soumets cette réflexion que ne semble pas avoir eu lieu ailleurs... peut-être parce qu'il n'y a rien à trouver ou alors, parce que c'était juste vraiment bien caché, d'où la victoire amplifiée pour ceux qui auraient codé leur divulgation pour éviter le karma du secret.

Il n'est pas question de débattre si la musique était (et est encore) entrainante (parce qu'elle l'est) mais de vraiment réfléchir à propos des messages qui ont été mis dans notre visage, pendant des décennies.




Source: Ma publication, dans Facebook

Par ici pour voir un reportage (en anglais) sur l'adrénochrome.




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