Penser en terme de transitions pour nos plans contre ceux des mondialistes, incluant contre le "développement durable"

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cgelinas
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Les plans mondialistes contre les peuples sont nombreux et presque toujours interconnectés, entre eux.

L'idée étant d'assurer l'avancée de l'ensemble des plans lorsque l'un d'entre-eux réussit à s'accrocher aux mécanismes des États, via des "partenaires mondialistes" à l'intérieur de ceux-ci.

Le "développement durable" est l'un de ces plans.

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Voici un petit échantillon des entités québécoises où le "plan" du développement durable a pris racine pour devenir le fil conducteur des décisions qui y sont prises, souvent à nos frais:


Et bien entendu, l'université Concordia qui exulte le "développement durable" afin de rafler gros en provenance des fonds associés à cette idéologie onusienne-mondialiste:


C'est un peu de cette manière que les mondialistes prennent le contrôle de nos établissements, au Québec et ailleurs, dans le monde.

L'ONU documente un "plan" et les "partenaires locaux alignés sur l'idéologie mondialiste" l'implantent, sous le couvert du "progrès".

Mais ces "plans" aident ceux qui les amènent et non pas les peuples qui se trouvent, souvent sans trop le savoir, à les financer.

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Le développement durable s'incruste tel un parasite pour vampiriser nos forces vives.

Graduellement, sans éveiller les soupçons de ceux qui ne prennent pas l'initiative de regarder plus loin que la propagande d'État qui, justement, appuie sans réserve ce plan corporato-oligopolistique mondialiste qui consiste à promettre des objectifs louables en prenant de ne pas mentionner les "gentilles transnationales et autres fondations multi-milliardaires" qui vont "aider" (lire: vendre, en nous faisant payer le gros prix) à "adresser" les "enjeux" mis de l'avant pas... les mondialistes.

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C'est ainsi que les mondialistes prennent autant de pouvoir.

Ils suivent leurs plans et surtout, ils trompent le monde avec un plan central de "développement durable" où les mots semblent anodins mais ce qu'ils sous-tendent ne l'est pas.

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Pour dissoudre ces "plans toxiques", comme celui du développement durable, de sa guerre au carbone et à l'humain qui en expire, il faut d'abord reconnaître l'arnaque.

Il faut avoir le courage de dénoncer ce plan qui nous limite, nous affaiblit et prend nos ressources pour enrichir une poignée de tenants des pouvoirs les mieux positionnés pour profiter de ce re-profilage du monde, via le filtre sombre du développement durable onusien.

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Puis, plus que tout, il faut que nous ayons notre propres plans, nous aussi.

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Même si ce sont des plans simples et à court terme, il faut apprendre à les faire vivre au-delà de sa propre personne mais bien dans sa collectivité et selon le plan, dans le monde.

Pensez en terme de... transition.

Oui, tous les plans de l'ONU sont introduits sous forme de transitions.

L'idée est de donner le temps à tout le monde de comprendre les points avancés et cristalliser un financement (parce que sans financement, les plans cessent... d'où l'urgence de couper le financement public à l'ONU -- surtout la saignée annuelle multi-milliardaire qu'envoie Justin "Soros" Trudeau à l'ONU et à l'étranger, sans aucune consultation populaire).

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En ayant nos propres plans de transition vers un monde qui rayonne et qui nous ressemble, ça nous mettra moins de pression pour faire tout arriver, immédiatement.

Certes, nous manifestons notre vie physique à même l'instant présent mais pour pour des plans qui ont des portées plus larges, il faut s'accorder l'espace d'une transition pour alimenter nos chances de succès.

Du coup, le processus de transition vers un monde rayonnant qui célèbre les contributions individuelles constructives, en cohérence avec la communauté permet à d'autres d'y ajouter leur part.

Ainsi, on se retrouve avec un plan interconnecté avec d'autres plans rayonnants mais pour ça, il faut qu'on soit conscients du processus qui facilite ça.

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L'ennemi n'est jamais aussi fort que lorsqu'il arrive à camoufler ces armes contre nous et pire encore, quand il arrive à nous tromper pour qu'on les finance, croyant à tort que c'est pour notre bien.



Source: Ma publication, dans Facebook



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