La réponse molle de l'INSPQ aux dangers de thromboses du vaccin-COVID de Janssen

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cgelinas
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Voici comment le "Comité sur l'immunisation du Québec" de l'INSPQ s'en tire avec des injections confirmées comme présentant des dangers via le jeu hypocrite des "risques versus bénéfices".

Pour l'exemple, ici, on s'intéresse à leur "Avis concernant l’utilisation du vaccin contre la COVID-19 Ad26.COV2.S de Johnson & Johnson", du 30 avril 2021:

https://www.inspq.qc.ca/publications/31 ... on-covid19

Parmi les "faits saillants", on retrouve celui-ci:

"À ce jour, 15 cas de thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin (TTIV) ont été rapportés suite à l’administration de ce vaccin aux États-Unis (environ 8 millions de doses administrées), tous chez des femmes âgées entre 18 et 59 ans."

Oui, des "TTIV" pour parler "phénomènes de thromboses".

Zéro désir d'en savoir plus, à l'INSPQ.

Juste une insistance malaisante à protéger "big pharma" avec le "fait saillant" suivant:

"Le vaccin de Johnson & Johnson pourrait être offert aux femmes âgées de 60 ans ou plus ou aux hommes âgés de 30 ans et plus qui veulent se prévaloir d’un calendrier vaccinal ne comportant qu’une seule dose ou ne veulent pas attendre pour recevoir un vaccin à ARNm."

Donc, l'idée est de favoriser les vaccins à ARN messager pour enrichir Pfizer et Moderna mais au fond, le vaccin de Janssen, à l'origine des TTIV mentionnées ci-haut, lui, n'est pas stoppé.

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Les vaccinés volent les emplois des rats de laboratoires et des macaques rhésus.

Tout ça a l'apparence d'une gigantesque étude clinique populationnelle où les vaccinés devienent de vulgaires numéros compilés dans une feuille de calcul obscure, à l'INSPQ, pour tenir un registre des "risques versus bénéfices" du vaccin de Janssen à vecteur viral (adénovirus humain de type 26) encodant la protéine de spicule du SRAS-CoV-2.

Oui, ce vaccin-là aussi s'appuie sur la fameuse protéine Spike.

Comme si tous les vaccins censés engendrer des anticorps contre le COVID-19 vont en réalité créer des anticorps contre la protéine Spike. À tel point que ça ne devrait même pas s'appeler un "vaccin-COVID" mais un "vaccin-protéine-Spike" qui, selon le narratif de "big pharma" offrirait une protection contre les déclinaisons les plus sévères de la COVID-19.

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Alors si vous vous fiez à l'INSPQ pour justifier la "sécurité vaccinale", sachez que même si des gens meurent suite à l'injection d'un vaccin ayant un principe d'action apparenté à celui de Janssen, soit un vecteur viral à adénovirus (en référence à l'AstraZeneca qui avait été injecté à Francine Boyer, 54 ans), vous ferez face à des blouses blanches qui vous donneront vraisemblablement le feu vert pour une injection de "vaccin" de Janssen, si leurs modèles sont favorables:

https://forum.chaudiere.ca/viewtopic.php?f=19&t=2410

https://www.canada.ca/fr/sante-canada/s ... eneca.html

Pour faire court, aux yeux de l'INSPQ, vous êtes une statistique.

L'INSPQ ne s'intéresse pas aux noms des victimes des injections de Janssen. Simplement à leur nombre et à la cause relatée de leurs "effets indésirables".

Pensez-vous que l'INSPQ s'intéresserait davantage à vous, si vous deviez souffrir ou mourir d'une injection vaccinale?

Pensez-vous que vous auriez droit, vous aussi à un rire en plein point de presse (vers 29m) quand le sujet du décès d'une "victime suite à l'injection-COVID" serait évoqué?

https://www.youtube.com/watch?v=qJ3jnGCtPUs

https://forum.chaudiere.ca/viewtopic.php?p=3567#p3567

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Les Québécois comprennent de plus en plus que TOUS les vaccins comportent des risques très réels.

Dommage que l'INSPQ soit aussi mou dans son désir prétendu de favoriser la "santé publique", au Québec.

Entre l'intérêt de "big pharma" et celui des Québécois, l'approche molle de l'INSPQ en dit long.

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Pour ceux qui veulent voir qui sont les membres de ce comité dont plusieurs membres doivent demeurer "respectueux" des intérêts de "big pharma" pour ne pas nuire à leur carrière, c'est ici:

https://inspq.qc.ca/immunisation/comite ... quebec-ciq

À force de ménager "big pharma" le "Comité sur l’immunisation du Québec (CIQ)" de l'INSPQ met-il la vie des Québécois en danger?

Si on pouvait poser la question à Francine Boyer, on le ferait. Mais on ne peut pas parce qu'elle est morte.




Source: Ma publication, dans Facebook




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