Exercice militaire pour affronter des "substances toxiques" en Alabama et l'environnement toxique

[cgelinas]

Le 8 mars 2021, la Garde nationale américaine, en Alabama a conduit un exercice militaire d'importance (communiqué au public) simulant une attaque biologique.

Les militaires du 46e régiment d'assistance aux civils a donc enfilé des combinaisons protectrices de pointe, pour l'occasion afin de "nettoyer et neutraliser" les "substances dangereuses", sans en dire plus.

https://twitter.com/AlabamaNG/status/13 ... 0205320192

https://www.facebook.com/alabama.nation ... 145718755/

Comme première observation, regardez comment s'équipent des militaires lorsqu'ils font face à des "substances dangereuses" et comparez ça avec un "masque de procédure, en polypropylène" qui est imposé aux élèves du Québec, lorsqu'ils fréquentent l'école pour y affronter le COVID qui est réputé être potentiellement mortel lorsqu'il infecte une personne qui n'arriverait pas à s'en défendre (avec sa propre immunité naturelle).

Combinaison orange hermétique, appareil d'oxygénation et matériel de haute-technologie protègent les militaires mais pour se défendre du COVID, un simple "masque chirurgical" suffirait.

Logique, non?

Et avec un double-masque, là, ouh-la-la, le COVID n'a aucune chance d'infecter qui que ce soit, pas vrai?

Avouons qu'il faut parfois en rire pour comprendre l'absurde du théâtre-COVID en cours, sous nos yeux.

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Mais cet exercice militaire m'a rappelé une étude du 14 août 2020 intitulée "Le rôle sous-estimé des expositions aux substances toxiques dans la pandémie COVID-19" publié dans la revue "Food and Chemical Toxicology", Volume 145 (111687) de novembre 2020 où Ronald Kostoff et ses collègues ont fait remarquer que les contributions toxicologiques à la COVID-19 sont pour la plupart ignorées par rapport aux contributions virologiques.

https://www.sciencedirect.com/science/a ... 1520305779

https://www.researchgate.net/profile/Ronald-Kostoff

Autrement dit, l’exposition à une myriade de substances toxiques dégrade le système immunitaire, dont le dysfonctionnement qui en résulte est ensuite exploité par le SRAS-CoV-2 pour entraîner le COVID-19.

Vous voyez comment les "grands médias" ne racontent qu'une minuscule partie de la réalité pour mieux enfoncer la propagande officielle d'État dans la psyché collective?

Et ça plait à de nombreux annonceurs que d'éviter de les froisser en parlant de la toxicité de leurs "offres commerciales" alors le théâtre peut continuer, sans être embêté par... la réalité.

En gros, ça signifie que l’attribution des conséquences graves du COVID-19 devrait être faite en regard du lien de la combinaison "virus-facteurs de stress toxiques" et non à aucun des constituants du lien, isolément.

Conséquemment, des traitements efficaces doivent traiter des interactions toxicologiques et virologiques.

On se retrouve donc, au Québec et ailleurs dans le monde, avec les yeux fermés sur les co-facteurs facilitants de la COVID, à des années lumières d'une approche "globale et cohérente" avec le constat d'obsession systémique sur un seul "méchant" soit le SRAS-CoV-2 sans jamais s'intéresser à ce qui pourrait lui donner une quelconque préséance.

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Toujours selon ces éminents chercheurs et afin d'être aussi clair que possible, il faut comprendre de leur recherche scientifique publiée dans une revue fort sérieuse que la maladie coronavirus 2019 (COVID-19) et les pandémies précédentes ont été considérées presque exclusivement comme des problèmes de virologie, les problèmes toxicologiques étant pour la plupart ignorés.

Cette perspective n’est pas soutenue par l’évolution du COVID-19, où l’impact des expositions réelles à de multiples facteurs de stress toxiques dégradant le système immunitaire est suivi par le virus SRAS-CoV-2 exploitant le système immunitaire dégradé pour déclencher une chaîne d’événements menant finalement au COVID-19.

Vous voyez la gradation hypocrite et largement ignorée (par la propagande d'État) qui mène au COVID-19?

Continuons en rappelant que cette dégradation du système immunitaire, causée par de multiples facteurs de stress toxiques (facteurs de stress chimiques, physiques, biologiques, psychosociaux), signifie que l’attribution de conséquences graves du COVID-19 devrait être faite au lien "virus-facteurs de stress toxiques" et non à aucun des constituants du lien, isolément.

C'est tellement important d'insister sur ça et pourtant, même l'INSPQ n'en parle pas (ou alors, je n'ai rien trouvé de spécifique à ce propos).

Les principaux facteurs de stress toxiques (identifiés dans cette étude comme contribuant au COVID-19) sont omniprésents, contribuant à une myriade de maladies chroniques ainsi qu’à la dégradation du système immunitaire.

Ils augmentent la probabilité de comorbidités et de mortalité associées au COVID-19.

C'est MAJEUR et aucun "grand média" n'en a parlé.

Aucun.

Comme s'il leur fallait tellement défendre la propagande d'État qu'il leur était impossible de suivre l'état de la science alors ils se contentent d'en dire le moins possible en prétendant avoir "fait le tour de la question".

Et ça donne l'immense déficit informationnel qui mène à la situation surprenante de voir autant de Québécois pleurer leur vie pour recevoir un vaccin à ARN messager alors que cette recherche remet le SRAS-CoV-2 dans son contexte à savoir un environnement de vie où vont continuer d'agir de multiples facteurs de stress toxiques.

Donc, les poissons rouges restent dans le même bocal toxique.

Mais plusieurs auront été injectés et nagerons avec un code QR affiché sur leur écran de smartphone.

Wow.

Je répète, "dans le même bocal toxique" alors la COVID-19 va pouvoir continuer d'avoir le dos large.

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Impossible de ne pas mentionner, au passage, que 97% des victimes de la première vague avaient une comorbidité, selon l'INSPQ alors ces chercheurs aussi savent que la COVID-19 n'est pas l'unique responsable du décès de plus de 5,000 personnes [lors de la "1ere vague"] ayant été étiquetées comme officiellement partie du contingent de "morts-COVID".

https://forum.chaudiere.ca/viewtopic.php?t=1917

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Alors voilà, des militaires qui se costument avec des combinaisons sorties tout droit d'un thriller de science-fiction pour affronter une substance dangereuse pendant que des enfants de 6 ans, à l'école, au Québec, affrontent un virus réputé être mortel, avec un banal masque de procédure.

Nous n'en somme pas à une incohérence-près mais celle-là devrait faire réfléchir et avec l'étude sur laquelle j'attire votre attention, vous pouvez scientifiquement voir plus large que le coronavirus, lui-même et comprendre celui-ci dans son environnement qui malheureusement, demeure largement toxique.

Un enfant aura beau se mettre 3 masques dans le visage, si son environnement demeure toxique, son système immunitaire demeurera incapable d'opérer à son plein potentiel et continuera de prêter flan à de potentielles infections qui ne peuvent typiquement avoir lieu que lorsque l'immunité est diminuée au point où le corps n'arrive plus à se défendre, de manière naturelle avec une immunité dite "à large spectre".

Croyez-vous que les militaires se promèneraient vraiment juste avec un masque de procédure au visage si le COVID-19 était aussi mortel qu'il est dépeint, par la propagande d'État?

Ne seraient-ils pas tentés de s'habiller en conséquence, avec des appareils à la hauteur d'un "virus mortel"?

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Continuez de penser à ça.




Source: Ma publication, dans Facebook




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