Acuitas Therapeutics de Vancouver derrière la vaccins à ARN messager de Pfizer-BioNTech

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cgelinas
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L'entreprise Acuitas Therapeutics, située au coeur du campus de l'Université de la Colombie-Britannique, à Vancouver, a contribué à l'élaboration de l'outil génique qui insère des instructions d'ARN messager via des nanoparticules lipidiques, comme dans le cas du BNT162b2 de Pfizer et BioNTech.

https://forum.chaudiere.ca/viewtopic.php?f=19&t=2173

Vous avez remarqué que le mot "vaccin" ne se retrouve plus dans la présentation que je fais de cet outil. Les fabricants seront libres de présenter leur produit comme bon leur semble puisque Santé Canada les valide dans leur définition "vaccinale" de l'outil.

https://www.pfizer.ca/fr/Demande-en-con ... a-COVID-19

https://www.canada.ca/fr/sante-canada/s ... ntech.html

Comme si l'intention d'éliciter une réponse vaccinale valait au produit le privilège de porter le nom de vaccin, même si l'action n'est pas, à proprement parler, de "vacciner".

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Dommage que Santé Canada ne se soit pas donné la peine de prendre la pleine mesure de la réelle nature du produit vendu par Pfizer-BioNTech.

Rappelons que le BNT162b2 (le "Tozinaméran" de son petit nom "sympathique") ne produit pas de réponse immunitaire, directement, comme le ferait un vaccin "conventionnel".

Le "produit génique" BNT162b2 agit tel un outil qui, grâce au véhicule constitué de nanoparticules lipidiques retourne des cellules du corps de la personne injectée contre elle-même (afin de produire la "réponse immunitaire").

Normalement, on appellerait ça une maladie auto-immune parce que les cellules "génétiquement instruites" grâce à l'outil BNT162b2 élicitent une réponse immunitaire.

Mais là, c'est un "vaccin", selon le fabricant et Santé Canada.

Rappelons au passage que le vaccin "conventionnel" faisait ça [éliciter la réponse immunitaire], avant [à la place des cellules du corps, comme lorsqu'instrumentalisées par le BNT162b2].

Soyons clairs sur ce point. Grâce à l'approche de l'ARN messager, là, ce sont les cellules initialement saines du corps de la personne injectée qui deviennent productrices de la protéine S (la "Spike Protein") qui produit la "réponse immunitaire".

Il s'agit d'une toute nouvelle approche.

Impossible pour l'instant de savoir ce qu'il adviendra de ces millions d'injections au cours des mois et des années à venir.

Chaque personne est unique et différente mais 100% des BNT162b2 sont identiques.

Et personne n'en parle, malheureusement.

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Pour faire image, c'est comme offrir des T-Shirts de taille "medium" pour 100% de la population.

L'approche de la "taille unique pour tous" mais pour un outil génique.

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Dire qu'il y a environ 1 an, personne n'aurait accepté de se faire insérer de l'ARN messager dans ses cellules saines et là, les Canadiens se pressent par millions pour exiger de se faire injecter aussi rapidement que possible.

Fascinant.

--

Les macaques rhésus et les rats de laboratoires remercient d'ailleurs les millions de Canadiens qui prennent leur place, en tant que cobayes, en donnant leur corps à la science.

Littéralement.

--

Santé Canada a approuvé le BNT162b2 via un "arrêté d'urgence":

https://www.canada.ca/fr/sante-canada/s ... /note.html

Et ce n'est pas le seul outil à ARN messager à avoir été approuvé:

https://www.canada.ca/fr/sante-canada/s ... andes.html

En fait, l'ARN messager est le nouvel outil pour utiliser des cellules afin qu'elles fassent autre chose que ce qu'elle étaient destinées à faire.

Dans le cas du BNT162b2, c'est de [faire] produire [par la cellule] une "réponse immunitaire" [suite à la production de la "Spike Protein", par la cellule] et c'est là que le fabricant peut vanter sa fameuse efficacité "vaccinale".

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L'immense potentiel de l'ARN messager vient du fait que grâce à sa capacité à transporter des instructions géniques dans les cellules, ce sont ces dernières qui se mettent au service de l'intention du fabricant de la "thérapie" (mot utilisée dans son sens le plus large, on s'entend) via un outil utilisant un "véhicule [de transport à l'intérieur de la cellule, pour l'ARN messager]" à base de nanoparticules lipidiques.

C'est très sensible comme sujet et pourtant, là, ça semble passer comme une proverbiale lettre à la poste. Ça a juste été "approuvé en urgence" sans AUCUNE consultation populaire.

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Après tout, c'est "juste un vaccin" non?

Et bien justement, c'est là tout le propos de cette publication mais explorez ce nouveau pan de science, via les travaux suivants:

https://www.publichealthontario.ca/-/me ... .pdf?la=fr

https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meeti ... -CLARK.pdf

https://legemiddelverket.no/english/cov ... 9-vaccines

https://forum.chaudiere.ca/viewtopic.php?t=2092

--

Sur le même thème, une petite note aussi pour confirmer que l'équipe de l'OMS à Wuhan n'a pu percer les origines de la pandémie.

https://forum.chaudiere.ca/viewtopic.php?f=19&t=2174

Ceux qui brûlent d'impatience pour recevoir le BNT162b2 gagneraient à lire cette nouvelle et à se demander, bien sobrement, pour quoi, très exactement, ils se font "vacciner".

-

Pour quelle "souche"? De quelle origine?

Wuhan? Londres? Afrique du Sud? Brésil? Irlande? Pays Bas?

-

Juste pour vous aider avec la réponse, techniquement, le BNT162b2 "pourrait être efficace" contre la souche B1.1.7 du SRAS-CoV-2:

https://www.cam.ac.uk/research/news/pfi ... sars-cov-2

Mais c'est UNIQUEMENT pour cette souche.

-

Imaginez, on part de tellement loin pour identifier "les origines de la pandémie" que Liang Wannian, le chef de la délégation de scientifiques chinois, a dit "il n’y a pas assez de preuves [...] pour déterminer si le SRAS-CoV-2 s’est propagé à Wuhan avant décembre 2019".

Pour vrai.

C'est écrit, noir sur blanc.

https://forum.chaudiere.ca/viewtopic.php?f=19&t=2174

Mais il y aurait "assez de preuves" pour "vacciner" des millions de Canadiens?

À vous de faire vos choix "éclairés".

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Pour terminer mon petit aparté à propos d'Acuitas Therapeutics de Vancouver, dont je parlais au tout début de cette publication:

https://acuitastx.com/company/thomas-d-madden-ph-d/

Ils entretiennent, en ce moment des partenariats, pour leur ARN messager, avec CureVac et BioNTech.

Notons que parmi les "partenaires stratégiques" de CureVac, on retrouve la Fondation Bill et Melinda Gates:

https://www.curevac.com/en/about-us/partnerships/

Il y a aussi GSK et Bayer alors oui, l'ARN messager pourrait, en effet, "avoir un impact sur plus de gens, dans le monde", comme l'annonce CureVac, dans la page ci-haut.

--

Merci de me permettre de faire les recherches que vous n'avez pas toujours le temps de faire... mais qui doivent absolument être faites, malgré tout!

https://paypal.me/logixca

Par Interac: [email protected]
Q = "Ton nom" et R = "Claude"





Source: Ma publication, dans Facebook


Voir aussi cet immense travail qui parle de l'existence-même du SRAS-CoV-2.

Un gros merci à Suzanne Bousquet qui avait d'ailleurs publié ce commentaire, annonçant ce travail essentiel (en anglais) pour toute personne qui veut RÉELLEMENT comprendre le COVID-19:

Cette dénomination de "vaccin" (au lieu de "thérapie génique"): c'est sans doute à la fois pour des raisons légales et pour "rassurer" le public. Il n'est pas étonnant que rien de particulier ne fut trouvé à Wuhan: le supposé "SRAS-Covid2" n'a jamais été isolé. La "Covid-19" n'existe donc pas au plan scientifique. Le chercheur John Blaid a constitué le dossier le plus complet à ce jour sur le sujet. Un travail de titan! Une mine d'or de références pour ceux qui lisent l'anglais. Ce dossier comprend les 55 réponses provenant de 44 institutions gouvernementales ou officielles dans le monde avouant ne pas pouvoir fournir de preuve de l'isolation du "SRAS-Covid2" en question. C'est une licorne!



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J'ai répondu à Hélène Hélène après que Suzanne Bousquet ait fourni une excellente explication à sa question.

Voici d'abord le commentaire de Hélène Hélène:

Claude Gélinas j’ai lu tout ton post et ce que je comprends c’est comme si on devenait en quelque sorte un OGM et bien sûr je suis totalement contre cela. Mais j’aimerais savoir comment ça agit et devient dangereux pour nous que nos propres cellules combattent le virus. Je ne suis pas très douée en biologie et je veux juste comprendre la dangerosité de cette thérapie génique. Comme je le dis depuis le tout début, je refuse ce vaccin. Mais Est-ce qu’on pourrait me résumer en quelques mots simples la façon dont ça agit sur notre corps. Merci

Et la réponse de Suzanne:

Hélène Hélène Le danger, est la tempête de cytokines que cela peut provoquer. Un peu comme les boules dans un boulier de bingo, il peut en résulter des combinaisons néfastes. Maladies, invalidité, mort, bref, l'expérience est en cours...

Et enfin, mon commentaire:

Suzanne l'explique vraiment bien, merci!

J'ajouterais, pour contextualiser ce qui a cours avec tes cellules qu'une petite partie d'entre-elles meurent (l'apoptose des cellules) alors que d'autres sont produites.

Or, ces nouvelles cellules sont produites en se basant sur l'ADN.

Le but très spécifique de l'outil (que le fabricant et Santé Canada appellent à tort un "vaccin") est d'insérer un "message" ou dit autrement, un "code" d'ARN qui est dit "messager" DANS la cellule pour instruire à la cellule de produire la protéine S.

Donc, comme chaque humain est différent, qui dit que ce processus ne déraillera pas?

Il y a de nombreux morts suite à l'administration de cet outil et aucun médecin "mainstream" ne semble prendre ça au sérieux... et le fabricant, encore moins.

C'est la raison pour laquelle j'explique ce qui a cours.


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Voici ma réponse, plus bas, au commentaire de Sabrina Chenard, dans Facebook.

Paraît-il que ceux qui ont eu le covid ils auraient pas besoin de ce vaccin 💉.... car les docteurs disent que l’immunité est mieux qu’un vaccin ... jai de la misère à croire que le canada va dire ok toute ceux qui ont eu le covid pas de vaccin 😂 surtout qu’ils pourraient dire on vaccine quand même vu qu’il a eu beaucoup de test faux positifs 😂

Et ma réponse:

Sabrina Chenard Bon point que tu amènes, Sabrina.

Le danger pour quelqu'un qui a eu la COVID (ou croit l'avoir eu parce que le prouver demeure difficile à établir, hors de tout doute) c'est que son système immunitaire a DÉJÀ la formule pour s'en défendre.

Or, en insérant DE FORCE de l'ARN messager dans les cellules saines du corps de la personne qui se laisse injecter, là, ça devient conflictuel pour la cellule.

Entre l'immunité naturelle acquise de manière usuelle et l'introduction de force d'ARN messager, qu'est-ce que la cellule "choisira"?

Là se trouve une question qui demeure entière, malgré les réassurances du fabricant qui pointe vers ses "études cliniques" mais cette science est si nouvelle (dans le sens de "garochée" sur le marché mondial) qu'il me semble assister à une forme de précipitation qui ne sert pas la santé mais bien une "urgence-COVID" qui n'existe que par l'entretien d'une fiction chiffrée grâce à des statistiques douteuses, incluant au Québec avec l'INSPQ qui revient sur ses propres chiffres, des mois après avoir prétendu qu'ils étaient fiables... alors qu'ils ne l'étaient pas.

https://forum.chaudiere.ca/viewtopic.php?t=1917

Comme lorsque l'INSPQ a fini par avouer que 97% des victimes de la première vague avaient une comorbidité.

Avec la 2e vague, c'est la même déviance chiffrée.

Exactement pareil.

Ce sont ces gens qui vantent la "vaccination" alors tirez-en vos propres conclusions.


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