Si vous saviez à quel point vous êtes infinis, plus rien ne vous ferait peur

[cgelinas]

En ce moment-même, l'humanité entière est testée et les Québécois le sont aussi.

Le test qui a cours pousse à la polarisation, à savoir qu'il faut nécessairement se positionner pour ou contre un enjeu, en ligne avec un agenda ouvertement aligné sur d'infinies dualités.

Or, même si diverses fictions se bousculent au quotidien, la réalité existe par-delà ces dualités.

Il devient important de rappeler ce fondement, à savoir que la réalité dépasse la simple matérialité. Si vous en doutez, faites l'inventaire de vos émotions et vous comprendrez vite leur impact dans ce qu'il convient de désigner comme votre réalité qui, nécessairement, coexiste à même des réalités illimitées ou alors, limitées [dans notre potentiel d'observance ou de conscience de celles-ci] par les outils à notre disposition pour les apprécier.

Ainsi, devant l'évidence que le test mondial qui a cours puisse être plus complexe qu'il n'y parait, les créateurs que nous sommes réalisent leur propre pouvoir.

Pour prendre la mesure de la complexité du test mondial, présentement dévoilé via un théâtre politico-sanitaire, on peut faire un inventaire des fils de presse qui font l'objet de manipulations pour appuyer les propagandes d'État quasi-unilatéralement alignées sur les intérêts d'une oligarchie mondialisante.

Le barrage de propagande médiatico-gouvernementale nous force à faire le point sur notre propre subservience potentielle à celle-ci. En fait, dès qu'on est trop pour ou trop contre, qu'importe le thème, on perd de vue les subtilités.

Au fond, notre pouvoir, ce pouvoir infini de création qui confirme notre existence-même dans l'instant présent est le joyau tant convoité par ce qui travaille à gagner notre "collaboration".

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L'humain est animé de lumière divine, c'est l'évidence.

Quiconque a déjà tenu un bébé dans ses bras le sait. Ça explique l'obsession des "structures de contrôle" destinées à l'enfance. Présentées pour "le meilleur intérêt de l'enfant", ces structures ne sont pas forcément animées par cette lumière divine et ça mène à des zones d"ombre que l'ombre, sans surprise, ambitionne de normaliser, pour son propre bénéfice, sans aucun égard pour la lumière divine qu'elle combat.

Le test qui a cours à l'encontre du fait humain cherche à instaurer mille saveurs de transhumanisme.

À savoir d'éteindre l'humain qui brille, vibre et illumine ce qu'il conscientise pour le remplacer, graduellement, par tout ce qui fait obstacle à cette lumière divine.

Les religions, limitatives et trompeuses, ont le même objectif que les gouvernements, à savoir d'exercer du contrôle sur autant de "cheptels humains" que possible parce qu'aucun tenant de ces structures n'oserait désigner ses sujets soumis comme étant, de fait, des humains connectés à leur lumière divine parce que leur fiction serait immédiatement pulvérisée par tant de puissance reconnue, entre des mains autres que les leurs.

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L'ombre sait plaire.

Elle est habile, subtile, manipulatrice, patiente et subversive.

Sous autant de formes qu'il y a de situations (ou de potentialités), l'ombre se décline sous sa forme la plus attrayante possible pour des humains-créateurs qui pourraient, au hasard de chaque moment, délaisser leur propre connexion lumineuse pour se contenter de moins, de bien moins, avec l'ombre qui manifeste sa fiction via la passivité, le consentement tacite ou explicite et l'embrigadement d'humains-créateurs qui se trouvent alors à créer, au sens large, contre leur propre nature.

L'ombre agit tel un parasite.

Au moment de notre existence dans la matière, nous faisons tous l'expérience de l'ombre. Ça fait partie de l'expérience de la matérialité. Mais voilà, il faut éviter le piège de "devenir l'ombre". Et bien entendu, c'est-là l'objectif de l'ombre, à savoir d'étendre son emprise.

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Le test à saveur covidienne va se poursuivre tant que des milliards d'humains choisiront le confort de la peur, de la soumission et de l'immobilisme, niant, à chaque tournant, leur propre potentiel infini d'humain-créateur, lumineux et de nature divine.

Le gros test étant manifestement constitué d'autant de sous-tests qu'il y a de choix devant lesquels nous sommes tous confrontés.

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Les emprises de l'ombre sur l'humain ont cours via diverses faiblesses, physiques et spirituelles.

Soigner son corps, sa psychée, sa spiritualité et ses connexions revient à trouver notre propre équilibre, dans ce que notre lumière divine nous offre.

Ceux qui font l'expérience de l'accueil pour interpréter au mieux ce qu'ils vivent doivent aussi lâcher-prise sur tout ce qui ne leur "appartient pas" (dans le sens de "ne leur apporte rien de bon ou d'utile") afin de ne jamais vivre en déséquilibre ce qui, en tant que faiblesse, devant un ancrage potentiel pour l'ombre.

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La lumière divine qui nous habite, nous anime et nous constitue est si forte, si pure et si rayonnante que l'ombre n'aurait aucune opportunité d'y exercer quelqu'emprise que ce soit si nous, oui, nous ne succombions pas aux infinies tentations de celle-ci.

Mais voilà, vient un moment où certains humains tombent si profondément dans les griffes de l'ombre qu'ils croient, à tort, en faire partie et là, ils se mettent à créer sous divers prétextes (comme un "artiste" qui glorifie l'ombre en prétextant que c'est "juste de l'art" ou un politicien qui tourne le dos à ses élus pour paver une route d'or à des lobbys d'intérêts privés, en prétextant le faux argumentaire du "bien commun").

Ces humains ayant un pouvoir créateur infini deviennent donc leur pire ennemi et par extension, l'ennemi aussi de quiconque refuse l'ombre.

C'est un peu là où nous en sommes avec le test qui est présentement imposé aux humains.

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Si nous avons bel et bien des leçons à apprendre de l'ombre, il ne nous appartient pas d'être l'ombre. L'ombre n'a qu'à s'en occuper.

Après tout, c'est dans sa nature, pas la nôtre.

Cessons, individuellement et collectivement, de se salir inutilement pour l'avancement de l'ombre. Revenons à notre nature humaine divine et lumineuse pour y créer le monde dans lequel nous voulons vraiment vivre.




Source: Ma publication, dans Facebook




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[cgelinas]

Notre nature divine et lumineuse qui empêche toute avancée de l'ombre fonctionne admirablement bien, en autant que nous demeurions "en conscience" de ce fait.

https://forum.chaudiere.ca/viewtopic.php?f=2&t=2169

Nous sommes présentement testés. Saurons-nous choisir notre propre nature originelle ou celle que l'ombre tente d'imposer à titre de "nouvelle normale"?




Source: Ma publication, dans VK




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