La Commission européenne et son IA Watch qui parle de ce qui facilite l'arrivée de l'IA
Posté : 15 octobre 2020, 16:40
La montée de l'intelligence artificielle (IA) a lieu sous notre nez, habituellement via diverses géométries d'usages des fonds publics sous forme, par exemple, d'accommodements aux entreprises du domaine de l'IA ou encore, de "Partenariats Privés-Publics (PPP)" qui, là aussi, font usage des fonds publics, pouvant aller jusqu'à contracter de nouvelles dettes publiques pour demeurer dans la course mondiale de l'IA.
Pour mieux cadrer l'IA dans l'écosystème technologique bouillonnant que nous observons, considérons l'exemple de la Commission européenne qui finance son propre "AI Watch", une organisation de veille dédiée à l'IA qui explique ce dont l'IA a besoin pour vraiment prendre pied, dans le monde:
"La mise en œuvre effective de l’IA nécessitera l’achèvement du marché unique numérique et de son cadre réglementaire, y compris l’adoption rapide de la proposition de la Commission pour une cybersécurité européenne, le renforcement de la connectivité par la coordination du spectre, les réseaux mobiles 5G très rapides et les fibres optiques, les nuages de prochaine génération, ainsi que les technologies satellitaires"
https://ec.europa.eu/knowledge4policy/a ... nablers_en
https://ec.europa.eu/digital-single-mar ... ooperation
L'IA Watch européen ne le dit pas nommément dans cet extrait mais ce qu'on va voir de plus concret, en lien avec la montée de l'IA, c'est l'Internet des Objets (IdO ou "IoT", en anglais).
Absolument TOUS les produits et gadgets électroniques, aussi bien ceux avec lesquels vous êtes familiers que ceux que vous découvrirez, au fil des prochaines années, utiliseront un élément (ou plusieurs) d'IA.
Et naturellement, le recours au réseau 5G et à l'infonuagique derrière, pour stocker des quantités délirantes de données et de méta-données modifiera en profondeur des pans entiers de nos sociétés... et de nos vies.
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Par exemple, est-ce que les conseils-santé de grand-maman seront toujours aussi pertinents, au yeux d'un ado qui via son iPhone, se fait recommander, en lien avec diverses données de santé cumulées depuis un capteurs (probablement intégré à une montre iWatch) de prendre action "pour sa santé"?
Aussi, cet ado, dans cet exemple, saura-t-il reconnaître que dans le conseil prodigué par une IA-santé via son iPhone se trouvent des recommandations pro-complexe-médico-pharmaceutique?
Par exemple, cet ado saura-t-il comprendre la réelle différence entre une Gravol et du gingembre, à savoir une formule brevetés par opposition à une phytothérapie naturelle? Si l'iPhone de l'ado ne mentionne JAMAIS le gingembre, sa grand-mère arrivera-t-elle toujours à trouver les bons mots pour être capable de lui expliquer les bienfaits de la santé naturelle quand l'IA n'existera que pour demeurer aligné sur les "directives de l'OMS" qui sont, par définition, invariablement pro-médecine allopathique, pro-vaccins et pro-peur (à la limite du réflexe hypocondriaque)?
Il faut se poser ces questions maintenant parce qu'il n'y a pas que la Commission européenne qui fonce, tête baissée, dans un monde imprégné de milles variantes d'IA, c'est le monde du "grand capital" au complet qui se précipite, tête baissée, dans cette direction... sans consultation des populations qui ressentent déjà les impacts de leur impulsivité mais aussi, de leur opportunisme économique qui trahit leur peur de se faire dépasser par leur voisin qui aurait réussi à maîtriser l'IA, mieux qu'eux.
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Alors quand vous entendez parler d'IA, d'IdO, de 5G, de fibre (qui supporte le réseau 5G), de surveillance, de "sécurité", d'infonuagique, de réseau satellitaire et de "standardisation" (pour que toute cette quincaillerie puisse interagir), dites-vous que les gouvernements et leurs "partenaires" (presque tous privés ou liés au "privé" via diverses "initiatives" et "fondations") parlent d'une seule et même avancée technocratique CONTRE le bien commun puisque l'essentiel de ce que je vois, jusqu'à présent, c'est une nébuleuse de "solutions" qui socialisent les coûts mais qui privatisent les bénéfices... ou les profits, purement et simplement.
Il arrive que certaines IA aident au bien commun. Et ça permettra à l'homme de se libérer de certaines tâches redondantes mais voilà, là encore, aucun débat public sur l'IA n'a encore eu lieu.
Les peuples du monde réalisent que les usages de l'IA, comme dans les applications de surveillance-COVID qui vont "virer au jaune ou au rouge" si la dernière dose de vaccin n'est plus considérée faire effet et qu'il faut retourner se faire injecter pour avoir le droit d'exister, socialement et économiquement, tout ça pourrait avoir des effets catastrophiques sur des milliards d'humains pendant que la propagande martèlera que cette "surveillance" a lieu pour la "sécurité" de "tous" alors qu'au fond, ce ne sera rien de plus que l'imposition d'un plan largement idéologique bénéficiant à une poignée de gens mais imposé par la coercition technologique de l'IA à des peuples entiers.
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Même si nos gouvernements municipaux, provinciaux et fédéraux (sans oublier les non-élus illégitimes qui représentent le privée en prétendant pernicieusement représenter les "nations") nous baratinent avec leurs "immenses avantages" liés à l'IA (et il arrive que ce soit vrai, ce qui donne de la force à leur propagande), nous devons REFUSER ce qui ne nous permet pas d'exister et de co-exister en liberté.
Même si les proverbiales et potentielles chaînes de l'IA sont largement invisibles, elles demeurent des chaînes.
Et s'il y a bien une chose dont l'humanité n'a pas besoin, en ce moment, c'est bien d'une série de chaînes supplémentaires.
Alors chers Amis, n'attendez pas que la Commission européenne aille jusqu'au bout de son plan, tout comme ses homologues, ailleurs dans le monde (incluant à Montréal), qui plongent dans l'IA en nous entrainant avec eux parce qu'on a pas eu le réflexe de REFUSER leur plan.
Nous avons des plans, nous aussi. Et ces derniers peuvent faire usage d'IA, aussi mais si c'est le peuple qui finance, c'est le peuple qui doit à la fois garder 100% du contrôle -et- des bénéfices, quitte à compenser des sous-traitants pour des fournitures spécifiques.
Si l'IA doit faire partie de notre réalité, ça doit être selon ce que NOUS voulons et non-pas comme en ce moment, ce que d'habiles lobbys privés (souvent mal connus du public) ont concocté pour mieux asseoir leur domination sur des peuples entiers.
Nous sommes à une croisée des chemins et ce sont tous les peuples qui doivent reprendre leur place et exister en conscience. Pas pour les quatre caprices d'une IA mais pour pouvoir réaliser leur plein potentiel.
Nos enfants doivent rester humains.
Le transhumanisme n'est qu'un outil de plus pour une technocratie d'entêtement, de peur, d'avarice... et d'inhumanité.
Pensez juste à la folie de la "standardisation" dans les écoles ou dans les hôpitaux et les infinies dérives inhumaines qui en découlent et vous comprendrez encore mieux les périls sans fin de l'IA contrôlée par les mêmes tenants qui insistent pour l'imposition intégrale des "standards" (protocoles, procédures et autres "méthodes" présentées comme "indiscutables" et "obligatoires").
Notre humanité est plus forte que l'IA, pour l'instant mais il faut la faire rayonner car en ce moment, différentes IA s'alimentent de ce qu'il nous reste d'humanité pour devenir ce qui contribuera à nous déshumaniser... pour notre "sécurité" ou pour notre prétendu "bonheur" dans la réalité dystopique que l'IA présentera comme étant, à tout moment, notre "nouvelle normale".
Que faire, concrètement?
Soyez en cohérence et vous comprendrez ce que vous devez faire, très exactement quand ce sera le temps de le faire et si vous agissez en cohérence avec la plus haute version réalisée ou réalisable de vous-même, vous saurez que vous avancez dans une direction qui augmente votre réalisation -et- votre potentiel, presque toujours de manière bénéfique pour les autres.
Au fond, prenez rendez-vous avec vous-même, fermez les yeux, posez-vous des questions et écoutez attentivement vos propres réponses. Vous apprendrez à vous connaître et à apprécier le potentiel infini de votre humanité.
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Source: Ma publication, dans Facebook
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Pour mieux cadrer l'IA dans l'écosystème technologique bouillonnant que nous observons, considérons l'exemple de la Commission européenne qui finance son propre "AI Watch", une organisation de veille dédiée à l'IA qui explique ce dont l'IA a besoin pour vraiment prendre pied, dans le monde:
"La mise en œuvre effective de l’IA nécessitera l’achèvement du marché unique numérique et de son cadre réglementaire, y compris l’adoption rapide de la proposition de la Commission pour une cybersécurité européenne, le renforcement de la connectivité par la coordination du spectre, les réseaux mobiles 5G très rapides et les fibres optiques, les nuages de prochaine génération, ainsi que les technologies satellitaires"
https://ec.europa.eu/knowledge4policy/a ... nablers_en
https://ec.europa.eu/digital-single-mar ... ooperation
L'IA Watch européen ne le dit pas nommément dans cet extrait mais ce qu'on va voir de plus concret, en lien avec la montée de l'IA, c'est l'Internet des Objets (IdO ou "IoT", en anglais).
Absolument TOUS les produits et gadgets électroniques, aussi bien ceux avec lesquels vous êtes familiers que ceux que vous découvrirez, au fil des prochaines années, utiliseront un élément (ou plusieurs) d'IA.
Et naturellement, le recours au réseau 5G et à l'infonuagique derrière, pour stocker des quantités délirantes de données et de méta-données modifiera en profondeur des pans entiers de nos sociétés... et de nos vies.
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Par exemple, est-ce que les conseils-santé de grand-maman seront toujours aussi pertinents, au yeux d'un ado qui via son iPhone, se fait recommander, en lien avec diverses données de santé cumulées depuis un capteurs (probablement intégré à une montre iWatch) de prendre action "pour sa santé"?
Aussi, cet ado, dans cet exemple, saura-t-il reconnaître que dans le conseil prodigué par une IA-santé via son iPhone se trouvent des recommandations pro-complexe-médico-pharmaceutique?
Par exemple, cet ado saura-t-il comprendre la réelle différence entre une Gravol et du gingembre, à savoir une formule brevetés par opposition à une phytothérapie naturelle? Si l'iPhone de l'ado ne mentionne JAMAIS le gingembre, sa grand-mère arrivera-t-elle toujours à trouver les bons mots pour être capable de lui expliquer les bienfaits de la santé naturelle quand l'IA n'existera que pour demeurer aligné sur les "directives de l'OMS" qui sont, par définition, invariablement pro-médecine allopathique, pro-vaccins et pro-peur (à la limite du réflexe hypocondriaque)?
Il faut se poser ces questions maintenant parce qu'il n'y a pas que la Commission européenne qui fonce, tête baissée, dans un monde imprégné de milles variantes d'IA, c'est le monde du "grand capital" au complet qui se précipite, tête baissée, dans cette direction... sans consultation des populations qui ressentent déjà les impacts de leur impulsivité mais aussi, de leur opportunisme économique qui trahit leur peur de se faire dépasser par leur voisin qui aurait réussi à maîtriser l'IA, mieux qu'eux.
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Alors quand vous entendez parler d'IA, d'IdO, de 5G, de fibre (qui supporte le réseau 5G), de surveillance, de "sécurité", d'infonuagique, de réseau satellitaire et de "standardisation" (pour que toute cette quincaillerie puisse interagir), dites-vous que les gouvernements et leurs "partenaires" (presque tous privés ou liés au "privé" via diverses "initiatives" et "fondations") parlent d'une seule et même avancée technocratique CONTRE le bien commun puisque l'essentiel de ce que je vois, jusqu'à présent, c'est une nébuleuse de "solutions" qui socialisent les coûts mais qui privatisent les bénéfices... ou les profits, purement et simplement.
Il arrive que certaines IA aident au bien commun. Et ça permettra à l'homme de se libérer de certaines tâches redondantes mais voilà, là encore, aucun débat public sur l'IA n'a encore eu lieu.
Les peuples du monde réalisent que les usages de l'IA, comme dans les applications de surveillance-COVID qui vont "virer au jaune ou au rouge" si la dernière dose de vaccin n'est plus considérée faire effet et qu'il faut retourner se faire injecter pour avoir le droit d'exister, socialement et économiquement, tout ça pourrait avoir des effets catastrophiques sur des milliards d'humains pendant que la propagande martèlera que cette "surveillance" a lieu pour la "sécurité" de "tous" alors qu'au fond, ce ne sera rien de plus que l'imposition d'un plan largement idéologique bénéficiant à une poignée de gens mais imposé par la coercition technologique de l'IA à des peuples entiers.
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Même si nos gouvernements municipaux, provinciaux et fédéraux (sans oublier les non-élus illégitimes qui représentent le privée en prétendant pernicieusement représenter les "nations") nous baratinent avec leurs "immenses avantages" liés à l'IA (et il arrive que ce soit vrai, ce qui donne de la force à leur propagande), nous devons REFUSER ce qui ne nous permet pas d'exister et de co-exister en liberté.
Même si les proverbiales et potentielles chaînes de l'IA sont largement invisibles, elles demeurent des chaînes.
Et s'il y a bien une chose dont l'humanité n'a pas besoin, en ce moment, c'est bien d'une série de chaînes supplémentaires.
Alors chers Amis, n'attendez pas que la Commission européenne aille jusqu'au bout de son plan, tout comme ses homologues, ailleurs dans le monde (incluant à Montréal), qui plongent dans l'IA en nous entrainant avec eux parce qu'on a pas eu le réflexe de REFUSER leur plan.
Nous avons des plans, nous aussi. Et ces derniers peuvent faire usage d'IA, aussi mais si c'est le peuple qui finance, c'est le peuple qui doit à la fois garder 100% du contrôle -et- des bénéfices, quitte à compenser des sous-traitants pour des fournitures spécifiques.
Si l'IA doit faire partie de notre réalité, ça doit être selon ce que NOUS voulons et non-pas comme en ce moment, ce que d'habiles lobbys privés (souvent mal connus du public) ont concocté pour mieux asseoir leur domination sur des peuples entiers.
Nous sommes à une croisée des chemins et ce sont tous les peuples qui doivent reprendre leur place et exister en conscience. Pas pour les quatre caprices d'une IA mais pour pouvoir réaliser leur plein potentiel.
Nos enfants doivent rester humains.
Le transhumanisme n'est qu'un outil de plus pour une technocratie d'entêtement, de peur, d'avarice... et d'inhumanité.
Pensez juste à la folie de la "standardisation" dans les écoles ou dans les hôpitaux et les infinies dérives inhumaines qui en découlent et vous comprendrez encore mieux les périls sans fin de l'IA contrôlée par les mêmes tenants qui insistent pour l'imposition intégrale des "standards" (protocoles, procédures et autres "méthodes" présentées comme "indiscutables" et "obligatoires").
Notre humanité est plus forte que l'IA, pour l'instant mais il faut la faire rayonner car en ce moment, différentes IA s'alimentent de ce qu'il nous reste d'humanité pour devenir ce qui contribuera à nous déshumaniser... pour notre "sécurité" ou pour notre prétendu "bonheur" dans la réalité dystopique que l'IA présentera comme étant, à tout moment, notre "nouvelle normale".
Que faire, concrètement?
Soyez en cohérence et vous comprendrez ce que vous devez faire, très exactement quand ce sera le temps de le faire et si vous agissez en cohérence avec la plus haute version réalisée ou réalisable de vous-même, vous saurez que vous avancez dans une direction qui augmente votre réalisation -et- votre potentiel, presque toujours de manière bénéfique pour les autres.
Au fond, prenez rendez-vous avec vous-même, fermez les yeux, posez-vous des questions et écoutez attentivement vos propres réponses. Vous apprendrez à vous connaître et à apprécier le potentiel infini de votre humanité.
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Source: Ma publication, dans Facebook
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