Selon un média arabe, le terroriste de Nouvelle Zélande est musulman

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cgelinas
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« L’auteur du massacre en Nouvelle Zélande est un musulman daeshite erdoganiste » : c’est le titre d’un article signé par Sarsbindar al-Sindy, un auteur arabophone connu pour ses analyses du phénomène de l’islamisme et sa critique de la pensée religieuse. Ce texte est publié sur le site arabophone ahewar.org le 18 mars 2019.

L’original se trouve dans le lien suivant : http://www.ahewar.org/debat/show.art.asp?aid=631498

Nous le reproduisons ici en français sans commentaire ni modification.

Introduction :

La première entrée en matière en science de criminologie, c’est la question suivante : « Qui est le bénéficiaire…et pourquoi maintenant ? »

Entrée en matière :

Aucun musulman sage et juste ne se demande :

« Pourquoi [l’assassin] a voulu tuer Recep Erdoğan et pas l’ayatollah Ali Khamenei, ni Abou Bakr al-Baghdadi [le « calife » autoproclamé de l’organisation terroriste État islamique] ? Pourquoi a-t-il gravé sur son arme la date des défaites de l’État ottoman, comment et où les a-t-il connues ? »

Le sujet :

Les investigations effectuées à propos de l’auteur du massacre en Nouvelle-Zélande confirment qu’il est athée, qu’il avait adhéré à Daesh en Turquie après sa conversion à l’islam grâce à un membre de Daesh de nationalité turque (certes, un agent de renseignement) après avoir été endoctriné par l’idéologie islamiste terroriste.

La grande surprise pour les musulmans et le monde entier réside dans le fait que le massacre en question a été planifié et exécuté par Daesh contre le groupe d’al-Ahmadiyya dont le leader est Mirza Ghulam Ahmad[1].

Celui-ci avait prétendu qu’il était à la fois le Mahdi[2] attendu par les chiites, ou le Christ que les chrétiens croient à son retour sur terre. Il avait également prétendu être un prophète et le véritable sceau des prophètes. Les deux mosquées ciblées dans la ville du Christchurch appartiennent aux adeptes du mouvement d’al-Ahmadiyya.

Ce qui est encore plus curieux dans l’enquête est que les services de renseignements occidentaux ont diffusé une photo du criminel avec des cadres de Daesh en Turquie et sous le drapeau turc. Dès la diffusion de cette information surprenante, Recep Tayyip Erdoğan tente par tous les moyens possibles de l’occulter et d’attribuer toute la responsabilité au gouvernement néozélandais.

Il qualifie de Fake news l’investigation concernant la raison de la présence de ce criminel daeshite en Turquie. C’est sa manière de ruser et de manigancer. Il est maître et bon connaisseur du principe stratégique qui dit : Le meilleur moyen de se défendre c’est l’offensive.

Le plus étrange est que l’attentat a ciblé une mosquée nommée « Masjid al-Nour » [Mosquée « La Lumière »]. C’est le même nom de la mosquée au Pakistan qui a été visée en 2010. Les deux attentats ont eu lieu un jour de vendredi et de la même manière. La seule différence est le nombre des victimes : une centaine au Pakistan et une cinquantaine en Nouvelle Zélande. Au Pakistan, les criminels ont utilisé les bombes et les mitraillettes que celui de la Nouvelle Zélande n’a pas pu les utiliser.

Quant à la réaction dans la rue islamique, tout le monde condamne et dénonce cet acte lâche et réclame vengeance pour cet attentat qui a eu lieu dans un pays occidental. Par contre, lorsqu’un acte similaire s’est déroulé avec une barbarie inouïe contre la plus grande mosquée d’al-Ahmadiyya au Pakistan en 2010, la réaction hypocrite de la rue islamique n’était rien d’autre que la satisfaction, l’approbation et l’agrément en général, et très souvent l’indifférence.

En 2010, de grands médias arabes, également hypocrites, se sont contentés de qualifier l’attentat au Pakistan « d’attaque contre un temple d’al-Qadiyaniyya » au Pakistan ayant fait 100 victimes, sans jamais prononcer le mot « musulman ».

Or ces médias, de façon étrange, ont utilisé le mot « masjid » [mosquée], comme ce fut le cas dans la version anglaise de la télévision Aljazeera, alors que dans la version arabe de cette même chaine, c’est le mot « temple » qui a été utilisé [sous-entendre : non musulman, d’infidèles].

Conclusion :

Il faut savoir que le terrorisme islamique demeure le mal et son traitement doit être l’électrochoc, car toutes ses victimes sont des innocents.


Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de
Maurice Saliba pour Dreuz.info.
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Voici ce que l'on sait de ce qui s'est passé à Christchurch, en Nouvelle-Zélande, si l'on se fie aux "grands médias".

Ce que l'on sait de l'horrible massacre pour l'instant : 49 personnes ont été tuées et 48 autres blessées. Selon les dernières informations, 41 personnes sont mortes à la mosquée Masjid Al Noor, sur l'avenue Deans, et les autres, dans une autre mosquée située tout près de là. Un homme d'une vingtaine d'années a été arrêté et accusé de meurtre.

Un homme qui s'identifie comme étant Brenton Tarrant, un Australien de 28 ans, a diffusé en direct sur Facebook des images le montrant en train de se rendre dans une mosquée, entrant et tirant au hasard sur des personnes à l'intérieur. Dans les heures qui ont suivi les attentats, la Première ministre néo-zélandaise, Jacinda Ardern, a clairement indiqué qu'il s'agissait d'un attentat terroriste d'une « violence extraordinaire et sans précédent » qui n'avait pas sa place en Nouvelle-Zélande.

Elle a déclaré que les opinions extrémistes n'étaient pas les bienvenues et contraires aux valeurs néo-zélandaises, et ne reflétaient pas la Nouvelle-Zélande en tant que nation. « C'est l'un des jours les plus sombres de la Nouvelle-Zélande. Bon nombre des personnes touchées par cet acte de violence extrême proviendront de nos communautés de réfugiés et de migrants. La Nouvelle-Zélande est leur patrie. Ils sont nous. »

Le reste de cet article se trouve dans Le Point.
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