Pacte des migrations de l'ONU, signé à Marrakech: Je refuse!
Posté : 13 janvier 2019, 12:52
En décembre dernier (en 2018), Justin Trudeau signait le Pacte mondial sur les migrations de l’ONU. J’avais alors souligné le caractère liberticide de cet infâme document en matière de gestion des frontières. Il importe maintenant d’en dénoncer l’objectif 17, destiné à « encadrer » tout discours autour de l’immigration.
Intempestif
Maladroitement camouflé derrière une phraséologie fumeuse, cet objectif est plus qu’une invitation à édulcorer le discours médiatique. Déjà là, ce serait intempestif. Mais la réalité est pire. Essentiellement, il vise à inhiber la pensée critique des leaders d’opinion. Sous couvert de défendre les « droits humains », il coule les fondations d’un vaste édifice de censure de la presse. Justin Trudeau l’a d’ailleurs prouvé en déclarant en entrevue qu’il « surveillerait » les voix discordantes.
C’est donc officiel. Sous la gouverne de Justin Trudeau, l’opinion est devenue un objet de détestation qu’il faut museler. Nous glissons dans l’ère de la désinformation de masse. Qu’importe que la liberté de la presse constitue un contre-pouvoir essentiel à toute démocratie et à l’équilibre des sociétés, le premier ministre veut étouffer les positions dissidentes et imposer un conformisme de la pensée.
Intentions
Puisque M. Trudeau a annoncé ses intentions, à mon tour de l’informer, avec tout le respect que son titre exige, que je refuse de satisfaire ses visées d’inspiration soviétique.
Je refuse d’abdiquer ma liberté d’expression pour lui permettre de se livrer en toute discrétion à des actes de gouvernance potentiellement discutables !
Je refuse de devenir un outil destiné à véhiculer la propagande idéologique du pouvoir en place !
Je refuse de me taire sur la médiocrité des décisions politiques du premier ministre ou sur son manque récurrent de jugement !
Je refuse de me soumettre à la police de la pensée, aussi antagonistes que mes opinions puissent sembler !
Jadis, les progressistes se battaient pour la liberté d’expression. M. Trudeau veut plutôt l’assassiner. Voilà qui fait de lui un régressiste !
Source: Journal de Montréal
Intempestif
Maladroitement camouflé derrière une phraséologie fumeuse, cet objectif est plus qu’une invitation à édulcorer le discours médiatique. Déjà là, ce serait intempestif. Mais la réalité est pire. Essentiellement, il vise à inhiber la pensée critique des leaders d’opinion. Sous couvert de défendre les « droits humains », il coule les fondations d’un vaste édifice de censure de la presse. Justin Trudeau l’a d’ailleurs prouvé en déclarant en entrevue qu’il « surveillerait » les voix discordantes.
C’est donc officiel. Sous la gouverne de Justin Trudeau, l’opinion est devenue un objet de détestation qu’il faut museler. Nous glissons dans l’ère de la désinformation de masse. Qu’importe que la liberté de la presse constitue un contre-pouvoir essentiel à toute démocratie et à l’équilibre des sociétés, le premier ministre veut étouffer les positions dissidentes et imposer un conformisme de la pensée.
Intentions
Puisque M. Trudeau a annoncé ses intentions, à mon tour de l’informer, avec tout le respect que son titre exige, que je refuse de satisfaire ses visées d’inspiration soviétique.
Je refuse d’abdiquer ma liberté d’expression pour lui permettre de se livrer en toute discrétion à des actes de gouvernance potentiellement discutables !
Je refuse de devenir un outil destiné à véhiculer la propagande idéologique du pouvoir en place !
Je refuse de me taire sur la médiocrité des décisions politiques du premier ministre ou sur son manque récurrent de jugement !
Je refuse de me soumettre à la police de la pensée, aussi antagonistes que mes opinions puissent sembler !
Jadis, les progressistes se battaient pour la liberté d’expression. M. Trudeau veut plutôt l’assassiner. Voilà qui fait de lui un régressiste !
Source: Journal de Montréal