Pacte d'immigration: un danger pour le Canada
Posté : 03 décembre 2018, 08:17
Le premier ministre canadien Justin Trudeau, semble-t-il, adhère au principe du globalisme selon lequel le monde est sans frontières et l'idée des États-nations souverains est à la fois réactionnaire et obsolète.
Dans ce monde sans frontières, l'organe directeur est l'Organisation des Nations Unies et ses agences, non élues, non transparentes, irresponsables et profondément corrompues, qui ont le pouvoir de légiférer en matière de droit international puis appliquées par les États membres.
Le Pacte mondial pour une migration sûre, ordonnée et régulière est un document détaillant les exigences que les États membres de l'ONU doivent adopter en tant que politique qui s'apparente à une migration mondiale sans entrave. Trudeau a adhéré à ce programme des Nations Unies et a décidé de l'imposer aux Canadiens sans leur consentement préalable.
Le Pacte mondial exige des organes de presse des États membres qu'ils adhèrent aux objectifs et s'abstiennent de toute discussion critique de ceux-ci qui serait considérée comme non "éthique" et contraire aux normes ou standards de l'ONU conformes à l'idéologie du mondialisme.
Cela aide à expliquer la généreuse contribution du gouvernement Trudeau aux médias canadiens. Dans cette optique, les 600 millions de dollars peuvent être considérés comme une forme de contrôle discret et de censure discrète, garantissant que la presse canadienne respecte les exigences du Pacte mondial.
Dans ce monde sans frontières, l'organe directeur est l'Organisation des Nations Unies et ses agences, non élues, non transparentes, irresponsables et profondément corrompues, qui ont le pouvoir de légiférer en matière de droit international puis appliquées par les États membres.
Le Pacte mondial pour une migration sûre, ordonnée et régulière est un document détaillant les exigences que les États membres de l'ONU doivent adopter en tant que politique qui s'apparente à une migration mondiale sans entrave. Trudeau a adhéré à ce programme des Nations Unies et a décidé de l'imposer aux Canadiens sans leur consentement préalable.
Le Pacte mondial exige des organes de presse des États membres qu'ils adhèrent aux objectifs et s'abstiennent de toute discussion critique de ceux-ci qui serait considérée comme non "éthique" et contraire aux normes ou standards de l'ONU conformes à l'idéologie du mondialisme.
Cela aide à expliquer la généreuse contribution du gouvernement Trudeau aux médias canadiens. Dans cette optique, les 600 millions de dollars peuvent être considérés comme une forme de contrôle discret et de censure discrète, garantissant que la presse canadienne respecte les exigences du Pacte mondial.