Une fois la séparation avalisée, la question du partage de la garde des enfants peut faire l'objet de débats mais pour vous faciliter la vie, voici les trois modèles de partage de la garde des enfants que l'on retrouve le plus fréquemment, au Québec:
- 3 jours et demie
Chaque ex-conjoint bénéficie de 3 jours et demie de garde et peut ainsi demeurer plus présent dans la vie de l'enfant.
C'est le modèle idéal puisqu'il permet à chaque parent de ne rien manquer d'important, dans la vie de l'enfant. - 1 semaine
Second meilleur choix pour le partage de la garde des enfants, chaque ex-conjoint bénéficie de la garde une semaine complète.
Ce faisant, chaque conjoint peut organiser un horaire "temps plein au travail" pour la semaine "libre" et "temps partiel" la semaine de garde. Pour plusieurs ex-conjoints, ce modèle facilite la conciliation travail-famille. - 1 week-end aux 2 semaines
Pour différentes raisons propres à chaque rupture, il arrive qu'un des deux ex-conjoints ne soit pas en mesure d'avoir ses enfants aussi souvent que dans l'un ou l'autre des modèles précédents.
Lorsque ça se produit, le modèle où l'un des ex-conjoints prends les enfants 1 fin de semaine aux 2 semaines peut s'avérer préférable.
Les pensions alimentaires sont alors divisées en conséquence pour permettre au conjoint qui a les enfants le plus souvent de subvenir aux besoins de ceux-ci.
Les séparations où des enfants sont impliqués explosent, au Québec.
Les sites de rencontres libertines et la disparition des valeurs profondes de partage auprès d'un nombre de gens mariés contribuent à accélérer les séparation de couples qui ne résistent pas assauts contre les familles.
Il ne fait aucun doute que les familles sont l'objet d'attaques subversives et vicieuses de la part d'une élite qui veut s'arroger tout le pouvoir... et l'argent. La concentration des richesses n'aide pas la cause des familles et les heures de plus en plus longues pour des salaires de plus en plus ridicules ont des effets catastrophiques sur la capacité des familles à maintenir leur ménage dans "le vert"!
Les conjoints qui ne sont pas encore divorcés doivent choisir leur famille, aussi souvent que possible pour éviter aux désastres extra-familiaux qui surviennent trop souvent après des séparations.
Ce serait génial si les "ex" du Québec se remettaient à choisir le bonheur de leurs enfants au lieu du leur. L'égoïsme ne sert pas bien les familles de notre coin du monde. Il y a de belles histoires à la suite de séparations, certes mais c'est loin d'être rose-bonbon dans la majorité des cas.
Ce serait important, un jour, de comprendre l'ampleur du drame sociétal qui se déroule, sous nos yeux... ça nous permettrait de mieux apprécier la portée individuelle et collective du tsunami de séparations qui brisent nos familles.