L’Association médicale sud-africaine affirme que le variant Omicron provoque une « maladie bénigne »

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28 novembre 2021


JOHANNESBURG (Reuters) – Le nouveau variant Omicron du covid entraîne une maladie bénigne, sans syndromes importants, a déclaré samedi à Sputnik Angelique Coetzee, présidente de l’Association médicale sud-africaine.

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a identifié vendredi la nouvelle souche sud-africaine comme préoccupante, car elle serait porteuse d’un nombre élevé de mutations — 32 —, ce qui la rend peut-être plus transmissible et dangereuse. L’OMS l’a surnommé Omicron, la 15e lettre de l’alphabet grec.

« Il présente une maladie bénigne avec des symptômes tels que des muscles endoloris et une fatigue pendant un jour ou deux, pendant lesquels on ne se sent pas bien. Jusqu’à présent, nous avons détecté que les personnes infectées ne souffrent pas de perte de goût ou d’odorat. Elles peuvent avoir une légère toux. Parmi les personnes infectées, certaines sont actuellement traitées à domicile », a déclaré Angelique Coetzee

La responsable a noté que les hôpitaux n’ont pas été surchargés par les patients Omicron et que la nouvelle souche n’a pas été détectée chez les personnes vaccinées. La situation pourrait être différente pour les personnes non vaccinées.

« Oui, c’est transmissible, mais pour l’instant, en tant que médecins, nous ne savons pas pourquoi tant de battage médiatique est suscité, alors que nous l’examinons toujours. Nous ne le saurons qu’après deux à trois semaines, car il y a des patients admis et ce sont des jeunes de quarante ans et moins », a ajouté le Dr Coetzee.

La présidente de l’association a également critiqué la décision de certains pays d’interdire les vols en provenance d’Afrique du Sud. C’est prématuré, car il n’y a pas suffisamment d’informations sur la dangerosité.

À la suite des rapports sur le nouveau variant, les États-Unis, l’Union européenne, le Canada, Israël, l’Australie et d’autres pays ont restreint les voyages en provenance de plusieurs pays d’Afrique australe en raison de problèmes sanitaires.




Source: Le Média en 442 / RT / Article original: South African medical association says Omicron variant causes ‘mild disease’




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Voici ce que Black Bond Patriot TV a publié dans Telegram, via l'article intitulé "Did Pfizer collaborate with the WHO".

La naissance d'Omicron

24 novembre 2021: L'Afrique du Sud dit à Pfizer qu'elle ne veut plus de livraisons du vaccin.

26 novembre 2021: L'OMS déclare que le variant Omicron a été découverte en Afrique du Sud le 24 novembre 2021.

À partir du 26 novembre 2021: De nombreux pays se précipitent pour interdire les vols et l'immigration en provenance d'Afrique du Sud.

Pfizer a-t-il collaboré avec l'OMS pour punir l'Afrique du Sud d'avoir refusé de nouvelles livraisons du vaccin?



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Ce qui suit est un exemple additionnel de propagande d'État destiné à entretenir la peur.

Cette même peur qui facilite la soumission des peuples, devant l'assaut mondialo-covidiste.

Analysez comment ce message est conçu pour prendre le variant Omicron et le montrer sous un jour menaçant afin de donner l'impression que la "surveillance" fonctionne.

C'est un jeu psychologique gradué qui se déploie telle une arme de division sociale massive.

Le ministre de la Santé du Canada, Jean-Yves Duclos agit en vendu aux mondialistes et à leurs intérêts de coup d'État contre notre pays.


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28 novembre 2021


« L’Agence de la santé publique du Canada m’a informé aujourd’hui que deux cas du variant préoccupant Omicron ont été confirmés en Ontario par le dépistage et la surveillance des cas de COVID-19.

[Éditeur: ça ne préoccupe personne... sauf ceux qui se cherchent un nouvel épouvantail à agiter pendant la période des Fêtes 2021 afin de maintenir le peuple dans la peur, pour les contrôler.]

Cette situation nous démontre l’efficacité de notre système de surveillance.

J’ai échangé avec mon homologue provincial en Ontario, et ses représentants de la santé publique s’occupent de communiquer avec les personnes infectées du variant et de faire le suivi des contacts à l’échelle locale et provinciale.

Au fur et à mesure que la surveillance se poursuit, on peut s’attendre à ce que d’autres cas de ce variant soient découverts au Canada et dans d’autres pays.

Je comprends que ce nouveau variant peut être préoccupant, mais je tiens à rappeler à la population canadienne que la vaccination, de concert avec les mesures de santé publique et de protection personnelle, est efficace pour réduire la transmission de la COVID-19 et de ses variants dans les collectivités.

Le 26 novembre, en réponse au variant préoccupant Omicron, j’ai annoncé que le gouvernement du Canada a mis en place des mesures de sécurité accrues aux frontières pour tous les voyageurs qui ont séjourné dans la région de l’Afrique du Sud, notamment l’Afrique du Sud, l’Ewsatini, le Lesotho, le Botswana, le Zimbabwe, le Mozambique et la Namibie au cours des 14 derniers jours avant d’arriver du Canada, et ce, jusqu’au 31 janvier 2022.

Des mesures sont actuellement mises en œuvre aux frontières alors que les communautés médicales et de santé publique au Canada et ailleurs examinent de plus près ce variant, tout comme elles l’ont fait pour les autres variants antérieurs, afin de comprendre les ramifications potentielles en matière de transmission, de présentation clinique et d’efficacité des vaccins.

Le gouvernement du Canada continue d’évaluer la situation en constante évolution et fera le point dès que de nouveaux renseignements sont disponibles. »




Source: Canada




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La propagande d'État qui s'impose dans l'actualité afin de donner l'impression d'une menace via le variant Omicron.

Ça respire la mauvaise foi et la tromperie.

Des mesures qui vont servir à limiter les Canadiens et pénaliser nos perspectives économiques.

C'est simplement la suite d'un plan mortifère mondialisto-sanitariste contre les Canadiens, sur fond de plandémie covidiste.


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26 novembre 2021


Les autorités de la santé publique de L’Afrique du Sud ont confirmé qu’un nouveau variant préoccupant de la COVID-19, soit le B.1.1.529, a été détecté au pays. Au cours des dernières 48 heures, ce variant, nommé Omicron par l’Organisation mondiale de la santé, a également été détecté dans d’autres pays.

Pour le moment, ce variant n’a pas encore été détecté au Canada.

[Éditeur: quand même impressionnant comme branle-bas de combat, en anticipation de ce nouveau variant de la peur qui arrive juste à temps pour les Fêtes de 2021, non?]

Depuis le début de la pandémie, le gouvernement du Canada a mis des mesures en place aux frontières afin de réduire le risque d’importation et de transmission de COVID-19 et ses variants au Canada, par l’entremise des voyages internationaux. Aujourd’hui, le ministre des Transports, l’honorable Omar Alghabra et le ministre de la Santé, l’honorable Jean-Yves Duclos, ont annoncé de nouvelles mesures frontalières afin de protéger la santé et la sécurité des Canadiens et des Canadiennes.

À titre de mesure préventive, jusqu’au 31 janvier 2022, les mesures frontalières mises en place par le gouvernement du Canada seront solidifiées pour tous les voyageurs qui auront séjourné dans la région de l’Afrique du Sud, dont l’Afrique du Sud, l’Eswatini, le Lesotho, le Botswana, le Zimbabwe, le Mozambique, la Namibie dans les 14 jours avant leur arrivée au Canada.

[Éditeur: plus de 2 mois de répression sauvage contre le peuple Canadien et ceux qui voudraient leur rendre visite... tout pour diviser.]

Les ressortissants étrangers qui ont voyagé dans l’un ou l’autre de ces pays au cours des 14 jours précédents ne seront pas autorisés d’entrer au pays.

Peu importe leur statut vaccinal ou leur historique de résultat de dépistage positif de COVID-19, les citoyens canadiens, les résidents permanents et les personnes inscrites aux termes de la Loi sur les Indiens qui ont visité l’un de ces pays dans les 14 jours précédents seront soumis à des mesures de dépistage et de quarantaine renforcées.

[Éditeur: peu importe le statut vaccinal... j'espère que vous voyez l'arnaque pour vous pousser à consentir à de nouvelles injections, sans fin. Chaque variant annoncera potentiellement une nouvelle injection.]

Dans les 72 heures avant leur départ, ces individus devront obtenir dans un pays tiers un résultat négatif à un test moléculaire de dépistage de la COVID-19 avant de poursuivre leur voyage à destination du Canada. Dès l’arrivée au Canada, ils devront subir un test de dépistage immédiatement et demeurer dans un lieu de quarantaine désigné, jusqu’à ce qu’ils reçoivent un résultat négatif, peu importe leur statut vaccinal ou leur historique de résultat de dépistage positif, de COVID-19. Les voyageurs devront également subir un test de dépistage au huitième jour après l’arrivée, et demeurer en quarantaine pour 14 jours.

[Éditeur: "devront subir"... vous croyez qu'il y a de l'amour, dans tout ça?]

Tous les voyageurs seront dirigés vers un représentant de l’Agence de la santé publique (ASPC) pour veiller à ce que leur plan de mise en quarantaine soit approprié. Ceux qui arrivent par voie aérienne devront demeurer dans une installation de quarantaine désignée en attendant le résultat du test de dépistage. Ils ne pourront pas poursuivre leur déplacement de voyage avant l’obtention d’un résultat de test négatif.

Ceux qui arrivent par voie terrestre pourraient procéder directement à leur endroit convenable pour s’isoler. S’ils n’ont pas un plan convenable pour s’isoler là où ils ne seront pas en contact avec des personnes avec lesquelles ils n’ont pas voyagé, ou s’ils n’ont pas de moyen de transport privé pour se déplacer vers leur lieu de quarantaine, ils seront dirigés vers une installation de quarantaine désignée.

[Éditeur: bingo! Une installation de quarantaine désignée... on peut appeler ça un camp-COVID ou non?]

Les plans de quarantaine pour les voyageurs en provenance de ces pays feront l’objet d’un examen plus approfondi et d’une surveillance rigoureuse dans le but de s’assurer que les voyageurs respectent les mesures de quarantaine. De plus, peu importe leur statut vaccinal ou leur historique de résultat de dépistage positif de COVID-19, les voyageurs qui sont entrés au Canada en provenance de ces pays au cours des 14 derniers jours seront contactés et avisés d’effectuer des tests et à se mettre en quarantaine en attendant les résultats de ces tests, peu importe leur statut de vaccination et leurs antécédents de COVID-19. Il n’y a aucune exemption explicite à ces exigences.

[Éditeur: donc, tout le monde est monitoré et leurs déplacements sont bel et bien conservés dans des bases de données pouvant être utilisées, à tout moment. Comme là.]

Le gouvernement du Canada recommande aux Canadiens d'éviter de se rendre dans les pays de cette région et continuera de surveiller la situation afin de prendre des mesures, dans l'immédiat ou dans le futur.

Le Canada continue de maintenir les tests moléculaires avant l'entrée au pays pour les voyageurs internationaux vaccinés et non vaccinés arrivant de n'importe quel pays afin de réduire le risque d'importation de la COVID-19 et de ses variants. L'ASPC surveille également les données sur les cas, au moyen de tests aléatoires obligatoires à l'entrée au Canada.

[Éditeur: les mêmes tests qui ne fonctionnent pas alors le cirque-COVID continue.]

Le gouvernement du Canada continuera d'évaluer l'évolution de la situation et d'ajuster les mesures aux frontières, si nécessaire. Bien que les répercussions de tous les variants continuent d'être surveillées au Canada, la vaccination, en combinaison avec les mesures de santé publique et individuelles, permet de réduire la propagation de la COVID-19 et de ses variants.


Citations

« Notre gouvernement continue de prendre des mesures décisives et sans précédent pour protéger la santé et la sécurité des Canadiens. Les mesures prises aujourd’hui, y compris les nouvelles exigences relatives aux tests de dépistage avant le départ des voyageurs en provenance de certains pays d’Afrique australe, sont mises en place pour empêcher l’introduction et la propagation de nouveaux variants du virus de la COVID-19 au Canada. »

L’honorable Omar Alghabra
Ministre des Transports
« Les mesures rigoureuses de dépistage et de quarantaine du Canada sont en place pour réduire le risque d’importation et de propagation de la COVID-19 et de ses variants. Ces mesures se sont avérées efficaces pour identifier les cas importés de COVID-19 et prévenir la propagation au sein de la communauté. Ces nouvelles mesures sont mises en place par excès de prudence. Nous continuerons à faire ce qui est nécessaire pour protéger la santé des Canadiens. »

L’honorable Jean-Yves Duclos
Ministre de la Santé

Faits intéressants

  • Il n'y a pas de vols réguliers directs entre le Canada et les pays d’Afrique australe.
  • Le gouvernement du Canada travaille avec les provinces et les territoires et le Réseau canadien de génomique COVID-19 pour détecter les variants connus et potentiellement émergents du virus de la COVID-19, y compris ce nouveau variant en provenance d'Afrique du Sud.
  • En février 2021, le gouvernement du Canada a augmenté sa capacité à dépister et à tracer les variants préoccupants au Canada en investissant 53 millions de dollars dans sa Stratégie intégrée de lutte contre les variants préoccupants. Le gouvernement du Canada travaille avec les provinces et les territoires et le Réseau canadien de génomique COVID-19 pour intensifier rapidement la surveillance, le séquençage et les efforts scientifiques visant à détecter les variants préoccupants connus et potentiellement émergents du virus de la COVID-19.
  • Le Royaume-Uni, l'Union européenne et les États-Unis ont imposé des restrictions similaires afin d'atténuer le risque d'introduction de ce variant en provenance de l'Afrique australe.

Liens connexes




Source: Canada




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Le texte qui suit provient de Fearless Canada, via la plume anonymisée de Richard G.


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En supposant que le nouveau variant tape-à-l’œil « Omicron » soit réellement détectable de manière plausible et scientifique, il ne semble pas que les médias grand public ni nos organismes de santé publique internationaux soient impatients de révéler que leur nouvelle désignation aurait émergé parmi des individus « complètement vaccinés » en Afrique. (1)

L'OMS explique comment le nouveau variant préoccupant est détecté (2) (traduit par Richard G):

« Plusieurs laboratoires ont indiqué que pour un test PCR largement utilisé, l'un des trois gènes cibles n'est pas détecté (nommé l’abandon du gène S ou l’échec de la cible du gène S) et ce test peut donc être utilisé comme marqueur pour ce variant, en attendant la confirmation du séquençage. En utilisant cette approche, ce variant a été détecté à des taux plus rapides que les poussées d'infection précédentes, ce qui suggère que ce variant peut avoir un avantage de croissance.

Plusieurs études sont en cours et le TAG-VE continuera d'évaluer ce variant. L'OMS communiquera les nouvelles découvertes aux États membres et au public selon les besoins.

Sur la base des preuves présentées indiquant un changement préjudiciable dans l'épidémiologie du COVID-19, le TAG-VE a informé l'OMS que ce variant devrait être désigné comme un variant préoccupant, et l'OMS a désigné B.1.1.529 comme un variant préoccupant, nommé Omicron. »

Comme les tests PCR constituent déjà une méthode inexacte de détection de tout virus complet, infectieux ou potentiellement transmissible, il semble plutôt présomptueux de soutenir qu'un échec de la cible d'un seul gène est révélateur d'un nouveau variant préoccupant et dangereux avec un avantage de croissance appréciable. En tout cas, rien n'a encore été confirmé concernant la validité de ces hypothèses, pourtant la planète est déjà en train de se retourner dans un regain de panique, de peur et d'hystérie. Plusieurs pays restreignent davantage les voyages vers/depuis certaines destinations tandis que d'autres ont déjà complètement fermé leurs frontières. (3)

Si nous continuons à supposer que l'OMS est correcte dans ses hypothèses sur leur nouveau variant préoccupant, et s'il est vraiment apparu pour la première fois chez des individus « entièrement vaccinés », qu'est-ce que cela suggérerait sur les pressions évolutives qui provoquent l'émergence de variants en premier lieu ? Plusieurs des plus grands scientifiques du monde, dont les épidémiologistes et virologues de l'Ivy League, ont averti depuis longtemps que la vaccination pendant une épidémie n'est pas scientifiquement fondée car elle exerce une pression évolutive sur les virus pour qu'ils échappent à l'immunité conférée par le vaccin. (4,5) Non seulement les vaccins « fuyants » actuellement proposés favorisent les infections révolutionnaires, ou l'évasion immunitaire, mais ils ne semblent pas non plus être efficaces pour prévenir la transmission ni l'infection. Dans le meilleur des cas, ils offrent une protection marginale contre une maladie grave pendant de très courtes durées (par exemple 3-6 mois), mais présentent également des risques d'effets indésirables graves comme l'inflammation endothéliale, la myocardite, la péricardite, la thrombose, la micro-coagulation, l'anaphylaxie, les problèmes de fertilité chez les femmes, etc. (6,7,8,9,10,11)

Sans se noyer dans la science, le bon sens nous dit que le programme expérimental d'injection d'ARNm qui s'est largement déployé dans la plupart des pays occidentaux est un échec lamentable. Près d'un an après le déploiement de ces nouvelles injections, les pays hautement vaccinés sont à peu près dans la même position que l'année dernière sans les injections. Il est assez facile de conclure que, si les injections étaient réellement sûres et efficaces dans la mesure promise, nous ne parlerions pas toujours de COVID-19, encore moins de fermer les frontières, de rendre obligatoires les injections dans les populations qui ont déjà atteint des taux de vaccination supérieurs à 90 %, ou de mener de nouvelles guerres contre de nouveaux variants de préoccupation hautement politisées. On n’aurait surtout pas déjà fait la commande de plusieurs millions de doses de vaccins pour les années à suivre.

Au milieu de cette frénésie de variants fabriquée et renouvelée, les pays occidentaux, y compris le Canada, ont maintenant commencé à imposer de nouvelles injections aux enfants. Les politiques, comme dans les écoles, favorisent les enfants entièrement vaccinés et défavorisent les enfants et les parents d'enfants non vaccinés. Alors que plusieurs gouvernements provinciaux affirment qu'ils ne souhaitent pas exercer de pression indue sur les parents pour qu'ils fassent vacciner leurs enfants contre la COVID-19, leurs politiques ne reflètent pas ce message. Dans de nombreuses juridictions, les enfants non vaccinés (et leurs parents) continueront d'être soumis à des restrictions non imposées aux vaccinés. La ségrégation de notre société prend une toute nouvelle vie car elle a déjà commencé à séparer les enfants les uns des autres. Je ne peux rien imaginer de plus méprisable que d'enseigner aux enfants qu'il est normal de se marginaliser et de se séparer les uns des autres en fonction des choix médicaux privés de leurs parents.

Pire encore, il n'y a aucun avantage démontrable à injecter des enfants, mais toute une série d'effets secondaires potentiels.

Comme le déclare PANDA – Data and Analytics: (traduit par Richard G)

« La FDA a publié son raisonnement justifiant la vaccination des enfants âgés de 5 à 11 ans. Ils fournissent des estimations du risque d'admissions en soins intensifs et de décès, dans les futures vagues hypothétiques de Covid, contre le risque garanti de myocardite si la vaccination est effectuée.

La FDA prétend que la vaccination permettrait d'éviter entre 60 et 80 admissions en unité de soins intensifs par million d'enfants âgés de 5 à 11 ans en seulement 6 mois. C'est 6 à 8 fois le taux d'admission observé au Royaume-Uni.

Pourtant, parmi ces admissions en soins intensifs, seulement 30 % avaient un test positif avant d'arriver en soins intensifs. Une autre moitié avait des comorbidités sévères. Le réseau d'audit des soins intensifs pédiatriques (PICANet) a déclaré: « Ces enfants ne sont peut-être pas principalement en soins intensifs à cause de Covid-19, mais tous ont été testés positifs au virus avant ou pendant leur admission en soins intensifs. »

Pour que la FDA parvienne à cette conclusion en recommandant des vaccins aux enfants, les hypothèses suivantes doivent avoir été formulées:

  1. L'immunité naturelle chez les enfants infectés n'existe pas
  2. Il n'existe pas de transmission hospitalière à des enfants déjà malades pour une autre raison
  3. Les enfants présentant des comorbidités ne courent pas plus de risques que les enfants en bonne santé
  4. La vaccination peut empêcher la grande majorité des admissions aux soins intensifs
  5. Il n'y a pas de décroissance de l’efficacité du vaccin chez les enfants

Ces hypothèses sont si extrêmes que présenter les données de cette manière pour justifier la vaccination d'enfants en bonne santé équivaut à de la négligence, voire à une fraude pure et simple. » (12,13)

La rhétorique entourant le nouveau variant (présumé) comprend la suggestion que les enfants sont soudainement plus à risque d'infection, une suggestion qui coïncide précisément avec l'autorisation (ou l'approbation) presque mondiale des injections pédiatriques chez les enfants âgés de 5 à 11 ans. Pourtant, aucun enfant n'est encore tombé gravement malade ou n'est mort d'« Omicron », un variant présumé que nous n'avons même pas encore confirmé scientifiquement!

À un moment donné, les motivations politiques et de profit derrière les mesures totalitaires de COVID-19 devront passer au second plan par une science authentique et non conflictuelle – et non par une « sCiEnCe » axée sur les ventes et sponsorisée par big pharma.

Il est devenu impératif que les citoyens aveuglément obéissants de ce monde sortent de leur stupeur hystérique et zombifiée et commencent à voir à travers cette prise de contrôle corporatiste et fasciste de la politique publique. Nos responsables de la santé publique n'ont même pas besoin d'offrir un seul fil de science solide et éprouvée avant de précipiter la population dans une autre frénésie de peur et de paranoïa. Ce n'est plus entièrement de leur faute.

Tout cela est perpétué par la complaisance et l'ignorance totalement volontaire de la population dans son ensemble.

Au moment où nous abandonnerons collectivement le train fou, l'influence des grandes sociétés pharmaceutiques, des grands gouvernements et de leurs grands alliés technologiques cessera d’exercer une influence significative.

Restez courageux, Canadiens, et continuez à vous battre!


Références:

  1. Classification de l'Omicron, par l'OMS
  2. Tweet du gouvernement du Botswana à propos de l'Omicron
  3. WSJ: Israël ferme ses frontières
  4. PLOS: les protéines Spike
  5. PLOS: vaccins qui peuvent augmenter la transmission
  6. Effets secondaires du BNT162b2 de Pfizer-BioNTech
  7. Circulation: vaccins à ARNm et inflammation
  8. De plus en plus de problèmes post-vaccinaux
  9. Altérations suite à la vaccination
  10. La protéine Spike qui empêche la réparation cellulaire
  11. Fertilité endommagée, chez les femmes
  12. Chiffres à propos de l'Omicron
  13. FDA: rencontre du 26 octobre 2021, pour le vaccin-COVID de Pfizer-BioNTech



Source: Richard G, de Fearless Canada




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