Vers une première dose pour les 5 à 11 ans d’ici Noël

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Québec demande aux régions d’être prêtes à les vacciner à partir du 1er décembre 2021

Québec demande aux autorités régionales de santé de planifier la vaccination des enfants de 5 à 11 ans à partir du 1er décembre 2021, afin qu’ils aient reçu une première dose d’ici Noël.

C’est la directive qui a été récemment transmise aux régions par le ministère de la Santé, indique-t-on. Dans plusieurs d'entre elles, on affirme que les préparatifs vont bon train afin que cette consigne soit respectée.

Cet échéancier permettrait de compléter la vaccination des enfants «au début de 2022», comme l’a indiqué mardi le premier ministre François Legault, puisqu’un minimum de quatre semaines doit s’écouler entre les deux doses.

Mais tout dépendra de l’approbation à venir des autorités réglementaires. La décision de Santé Canada, attendue au cours des prochaines semaines, sera suivie des recommandations du Comité sur l’immunisation du Québec.

«La priorité, c’est toujours que le produit ait plus d’avantages que d’inconvénients pour la personne elle-même», affirme son président, le Dr Nicholas Brousseau.

«Mais on regarde aussi toujours l’ensemble du tableau et possiblement que oui, la vaccination des 5 à 11 ans pourrait avoir un impact très important sur l’ensemble de la population en freinant la propagation du virus», ajoute-t-il.

Formule hybride

Une fois le feu vert obtenu, le ministère de la Santé prévoit offrir une formule hybride, comme ce fut le cas lors de la vaccination des élèves du secondaire en juin 2021.

Des équipes de vaccination se déplaceront dans les écoles primaires, mais les parents qui le préfèrent seront aussi invités à se rendre avec leur enfant dans un centre de vaccination.

Dans la région de Québec, on prévoit même aménager deux lieux spécialement pour les familles, afin de rendre l’expérience «la plus agréable possible». «On veut en faire une sortie familiale, pour que ce soit une expérience positive», affirme Mélanie Otis, porte-parole du CIUSSS de la Capitale-Nationale.

Les détails restent à fignoler, mais un parcours thématique comprenant des surprises, de la zoothérapie et un film pendant la période d’attente qui suit l’injection sont dans les plans, ajoute-t-elle.

Au ministère de la Santé, on précise que des formations sont présentement offertes aux vaccinateurs «afin de les sensibiliser aux différentes techniques d’approche de cette clientèle qui requiert peut-être un peu plus d’attention que les plus grands», indique son porte-parole, Robert Maranda.

Dans le réseau scolaire, on attend aussi impatiemment l’arrivée du vaccin pour les enfants.

[Éditeur: quelle propagande... ouf! Tout pour injecter les enfants QUI NE SONT PAS MALADES.]

«Ça va vraiment donner la bouffée d’air que le primaire a besoin. On voit les effets de la vaccination au secondaire, il y a beaucoup beaucoup moins de cas, on a plus de temps pour travailler sur les retards de nos élèves», affirme Nicolas Prévost, président de la Fédération québécoise des directions d’établissement d’enseignement.

Le Québec compte environ 650 000 jeunes de 5 à 11 ans.




Source: Journal de Québec

La photo du Dr Jesse Papenburg, plus bas qui explique que la dose sera plus petite pour les enfants (duh) et produira moins d'effets secondaires (double-duh) mais c'est cousu de fil blanc... c'est ENCORE un produit génique EXPÉRIMENTAL... ce médecin est une honte.




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Un "grand média" a réussi à dénicher un "spécialiste en infectiologie pédiatrique" de l'Hôpital de Montréal pour enfants, du CUSM et il s'appelle Dr Jesse Papenburg.

Il se trouve que ce médecin qui devrait, en théorie, avoir la santé des enfants à coeur a, lui aussi, un faible pour les produits géniques expérimentaux.

Ce pro-pique-pique ne mentionne JAMAIS que les enfants de 5 à 11 ans, rendus à (au moins) plus de 18 mois après que le SRAS-CoV-2 soit "apparu" (ou pressenti) au Québec, ont eu tout le temps nécessaire pour...

1) attraper la COVID, vraisemblablement sans symptômes ou alors, très peu; et

2) développer des anticorps naturel, ayant un effet à LARGE SPECTRE et dont l'efficacité pourrait durer pour la vie entière.

Ce qui signifie que les quelques 650,000 "jeunes" (le mot utilisé par le "grand média" pour éviter de dire "enfants") n'ont PAS BESOIN d'un quelconque produit génique expérimental qui pourrait avoir pour effet de nuire à cette immunité naturelle à large spectre qu'ils ont vraisemblablement développé.

Au moins, pour une certaine part d'entre eux.

Probablement une part importante.

Il faudrait être bien mal informé pour vouloir troquer l'immunité naturelle d'un enfant typiquement EN SANTÉ pour un produit génique expérimental qui, chez les adultes, peine à offrir une protection (présumée) de plus de quelques mois.

--

Il va de soi que certains enfants aux prises avec des conditions médicales pourraient être plus vulnérables devant un coronavvirus, fusse-t-il de Wuhan ou d'une autre nature.

Ces enfants, ces êtres divins qu'un médecin comme le Dr Jesse Papenburg devrait, en principe, protéger, à commencer par leur IMMUNITÉ NATURELLE À LARGE SPECTRE semblent bien mal "conseillés" si la seule et unique voie vers l'immunité passe par un produit génique expérimental.

Comment les protéger?

Avec un saine alimentation, des habitudes de vie enviables et au besoin, une supplémentation comprenant de la vitamine C + D3 + du zinc et de la quercétine qui devraient être administrés, au quotidien, en prophylaxie (un processus actif de PRÉVENTION), peut-être?

Du coup, les enfants du Québec, de 5 à 11 ans cultiveraient un système immunitaire robuste et résilient.

Mais le Dr Jesse Papenburg ne fait aucune mention de ce genre d'approche, préférant jouer au représentant commercial pour Pfizer BioNTech. Dans la courte entrevue qu'il accorde au "grand média", le Dr Papenburg parle d'une plus petite dose pour les plus petits corps des injectés qui va, ô bonheur, produire "des niveaux d'anticorps aussi élevés" que chez les adultes et les ados.

Non, mais...

Il a quoi dans la tête, ce médecin?

Et si l'enfant a DÉJÀ une immunité, il va la scrapper avec un produit génique expérimental?

Va-t-il-même prendre le temps de faire une analyse de chacun des 650,000 enfants pour voir s'ils ONT DÉJÀ des anticorps? Évidemment que non, en tant que promoteur de la propagande d'État pro-vaccination, une telle approche prudente et respectueuse de la santé naturelle de l'enfant ne lui passerait apparemment jamais par la tête.

Misère...

Et ce genre de médecin collecte plusieurs centaines de milliers de dollars par année pour balancer ces approches aussi cavalières qu'irrespectueuses envers les enfants et tous ceux qui les aiment, pour vrai.

Pas comme lui parce qu'il a beau avoir une photo de bébé derrière lui (probablement pour signaler sa fausse vertu), il est peu probable qu'il aime les enfants s'il annonce, en plein télé...

"et quand on parle de doses plus petites, on parle --habituellement-- d'effets secondaires qui sont plus petits"

Quoi?

"Habituellement"???

Qu'est-ce qu'il en sait? Le produit génique expérimental de Pfizer BioNTech destiné aux 5 à 11 ans n'a JAMAIS été approuvé ou éprouvé... c'est un produit EXPÉRIMENTAL.

Et lui, il ne s'embête pas de ce genre de détail et y va de déclarations sans preuves, ni références.

Du vent.

Il s'entendrait bien avec le Dr François Marquis, le docteur des vents dominants qui aime ça, lui aussi, parler sans références.

--

Qui va éveiller les parents qui répondent (dans le petit vox pop de ce "grand média") qu'ils considèrent de faire injecter leur enfant "pour le bien de la santé publique"?

Et cette femme qui dit qu'elle "serait à l'aise" de faire injecter un enfant de 5 à 11 ans... est-elle-même une mère de famille? Elle ajoute que "les risques de COVID sont plus sérieux que la vaccination"... ouh! On sent qu'elle paie son abonnement au "câble" à chaque mois, elle. Beaucoup de vent et AUCUNE PREUVE.

C'est ce genre d'adulte qui va "consentir" à laisser injecter des enfants du Québec avec une mixture non-contre-expertisée et pour laquelle il n'y a que la parole du fabricant qui est prise en compte.

Un fabricant, d'ailleurs qui ne peut pas être poursuivi, incluant si l'enfant de 5 à 11 ans devait décéder mais il va de soi que les formulaires de 5 pages sont bien trop longs à remplir pour certains médecins alors la seule chose qui émanera d'un tel décès est qu'il s'agissait d'une banale... wait for it... d'une COÏNCIDENCE.

--

Votre ressenti est le bon.

La propagande vous manipule, vous trompe et vous ment.

--

Défendre la vérité a un prix. Heureusement, vous comprenez que si le mal est archi-financé (à vos frais, largement), ce serait une juste mesure que le bien soit aidé, aussi.

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Merci d'être là, avec moi.




Source: Ma publication, dans Facebook





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À peine revenu de mon précédent passage de 7 jours dans la prison-Facebook, me voilà frappé d'une nouvelle salve de censure.

Cette fois, c'est pour 30 longs jours.

Un mois entier de CENSURE facebookienne pour avoir publié LA VÉRITÉ, à savoir l'article ci-haut.

--

Quand on dit que la vérité dérange, c'est plus vrai que jamais, dans Facebook.

Haut-lieu du trolling et "fact checking", Facebook représente le modèle de CENSURE de la vérité que recherchent des "élus" malveillants, comme Steven Guilbault, du Parti libéral du Canada qui CONTINUE de chercher les moyens pour CENSURER, lui aussi, tout ce qui contredit sa propagande d'État mondialisto-corporato-oligopolistique de Davos et de Genève, en Suisse.

Ceux qui disent la vérité doivent être réduits au silence pour que l'emprise des tyrans soit efficace.

C'est une des raisons pour laquelle la censure de mon profil, pour un autre 30 jours, devrait interpeler toute personne qui est elle-même victime de censure ou a pris l'habitude de s'auto-censurer pour ne pas être frappée, par Facebook.

Ça devrait aussi intéresser tout membre de Facebook qui voit des éléments de vérité passer pour ensuite se demander "pourquoi cette personne ne publie plus" et c'est presque toujours la même raison, à savoir que c'est parce qu'elle a été sauvagement CENSURÉE, par Facebook, sans mécanisme d'appel digne de ce nom.

Autrement dit, Facebook se cache derrière ses "standards de la communauté" puants pour CENSURER... à volonté.

Dès que ça égratigne le faux-vernis de la propagande d'État, Facebook CENSURE.

Encore et encore... la guerre contre la vérité ne peut avoir lieu que parce que les gens la tolèrent et l'acceptent.

--

En ce sens, je vous invite à venir me rejoindre dans MES AUTRES PLATEFORMES.

Si Facebook travaille autant pour me censurer, soyez assurés qu'il travaille à en censurer d'autres aussi.

Et dès que vous oserez dire la vérité, dans Facebook, une lumière rouge s'allumera et vous serez vraisemblablement visés, vous aussi.

Parfois, ça passe mais personne ne peut prévoir quand la CENSURE frappera... ça ressemble à une sorte de gestapo numérique.

Merci d'être là, avec moi, malgré la censure.



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21 octobre 2021


En lien avec la nouvelle ci-haut, voici une transcription des points marquants de l'entrevue de Paul Arcand avec le Dr Jesse Papenburg qui revient à la charge avec une défense "de blouse blanche" de la propagande d'État.

Possiblement disponible au cours des prochaines semaines au Québec, la vaccination contre la COVID-19 pour les enfants peut être une source légitime d’inquiétude pour les parents.

Signe que cette vaccination est à nos portes, le premier ministre Justin Trudeau a annoncé jeudi lors d’un point de presse que le Canada a réservé trois millions de doses supplémentaires du vaccin Pfizer pour pouvoir éventuellement vacciner les enfants de 5 à 11 ans.

«La vaccination des enfants, c’est le début de la fin de cette crise sanitaire. Parce que les enfants participent à la transmission communautaire. Donc, en les vaccinant, il y aura moins de COVID-19 dans la communauté et des taux d’infections plus bas et ce sera plus sécuritaire pour la population en générale aussi»

Dr Jesse Papenburg, spécialiste en infectiologie pédiatrique et microbiologiste médicale à l’Hôpital de Montréal pour enfants

Vraiment nécessaire?

Pour plusieurs parents, la nécessité de faire vacciner leurs enfants contre la COVID-19 n’est pas urgente ou même nécessaire puisqu’ils sont la plupart du temps asymptomatiques quand il la contracte.

«C’est vrai que les enfants ont moins de complications et d’hospitalisations que les adultes. Mais malgré cela, ce qu’on voit actuellement pendant la quatrième vague au Québec, c’est que les enfants représentent une infection sur cinq. C’est une proportion grandissante et importante. Un bénéfice direct important pour les enfants, c’est de prévenir les hospitalisations. Et ensuite, c’est d’être capable de prévenir les autres infections et éviter les quarantaines»

Dr Jesse Papenburg, spécialiste en infectiologie pédiatrique et microbiologiste médicale à l’Hôpital de Montréal pour enfants

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«Des études ont démontré que certains enfants qui ont eu une infection de COVID-19 banale ont eu des séquelles à long terme. Il semble que ce soit moins fréquent que chez les adultes, mais c’est un phénomène qui est observé»

Dr Jesse Papenburg, spécialiste en infectiologie pédiatrique et microbiologiste médicale à l’Hôpital de Montréal pour enfants

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«Il y a aussi les enjeux secondaires d’être capable de rouvrir toutes les activités sociales, que ce soit à l’école, les sports, les arts d’une façon le plus normal possible et sécuritaire. Et pour le développement des enfants et leur bien-être psychologique, ces activités sont hyper importantes»

Dr Jesse Papenburg, spécialiste en infectiologie pédiatrique et microbiologiste médicale à l’Hôpital de Montréal pour enfants

Effets secondaires?

«Ce qu’on a vu chez les jeunes adultes et les adolescents, c’est que la deuxième dose comportait un risque accru d’inflammation cardiaque comme la myocardite. On parle de 1 sur 7000. Heureusement, c’est un effet secondaire passager et qui ne comporte pas de risque à long terme. On peut traiter avec des anti-inflammatoires et il n’y a aucune séquelle après»

Dr Jesse Papenburg, spécialiste en infectiologie pédiatrique et microbiologiste médicale à l’Hôpital de Montréal pour enfants

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«Mais honnêtement, je ne suis pas certain qu’on va voir ce même effet secondaire chez les jeunes enfants. Chez les enfants, on parle de la dose qui est du tiers de la dose de chez les ados et adultes. Donc, cette dose plus petite va faire en sorte qu’il y aura moins d’effets secondaires tels que la myocardite»

Dr Jesse Papenburg, spécialiste en infectiologie pédiatrique et microbiologiste médicale à l’Hôpital de Montréal pour enfants

Une des déclarations marquantes du Dr Papenburg est lorsqu'il dit que "La vaccination des enfants, c’est le début de la fin [...]" car même s'il parle de la "crise-COVID", ça peut aussi donner l'impression qu'il parle de la fin d'une partie d'un plan plus large qui, lui, se poursuivra.

À mon sens, il s'agit d'un rappel brutal que la protection de nos enfants ne passe pas par l'establishment étatico-médical mais bien par le fait humain d'être un parent aimant qui voit bien que les enfants ne devraient être visés par AUCUNE sorte de "vaccination"-COVID, tant ils sont capables de se relever d'un coronavirus (de Wuhan ou autre), souvent sans-même se rendre compte qu'ils l'ont eu.

Le Dr Jesse Papenburg est la coqueluche des "grands médias" qui se l'arrachent parce qu'il amplifie la propagande d'État.

Les Québécois sont appelés à exiger du Dr Papenburg qu'il fournisse TOUTES LES PREUVES de ce qu'il avance puisque jusqu'à présent, il ne semble pas l'avoir fait.



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