La mort par vaccin, signe évident qu'il s'agit d'une forme de culte mortifère

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cgelinas
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16 mars 2021


Une journaliste norvégienne dit qu’elle « ADORERAIT MOURIR » du vaccin d’AstraZeneca s’il aide à gagner la « guerre contre le coronavirus »

La présentatrice de télévision norvégienne Linn Wiik a proclamé qu’elle « adorerait mourir » du vaccin contre le Covid-19 d’AstraZeneca si son sacrifice aidait à apaiser les inquiétudes du public face à l’inoculation et à gagner la guerre de l’humanité contre la pandémie.

« Certains doivent être sacrifiés dans la guerre contre le coronavirus », Wiik a écrit lundi dans un article d’opinion pour la chaîne norvégienne TV 2. « C’est comme ça dans toutes les guerres. Cette fois, c’est peut-être moi. » Son titre disait sans pli :

« J’adorerais mourir du vaccin d’AstraZeneca. »

La spectaculaire prise de position de Wiik sur le vaccin est survenue dans un contexte d’inquiétudes croissantes concernant les effets secondaires peut-être graves du jab d’AstraZeneca. L’utilisation du produit a été suspendue ou restreinte dans une douzaine de pays européens après que certains destinataires ont souffert de conditions graves après avoir reçu l'injection.

En Norvège, un agent de santé est mort d’une hémorragie cérébrale et trois autres ont été hospitalisés avec des caillots sanguins – bien qu’il n’y ait aucune preuve solide d’un lien, et une enquête de l’Agence européenne des médicaments (EMA) est « en cours ».

En Corée du Sud, les autorités sanitaires ont enquêté sur 71 effets indésirables présumés graves, dont deux cas mortels qui sont toujours à l’étude.

Mais Wiik a déclaré que même s’il est prouvé que des effets secondaires potentiellement mortels sont liés au vaccin, elle le prendra volontiers de toute façon. Tous les médicaments ont des effets secondaires, a-t-elle dit, et les vaccins sont le seul « moyen de sortir des tranchées » dans la guerre contre le Covid-19. « Quelqu’un doit être sacrifié pour que le reste soit en sécurité », a-t-elle ajouté, notant que les vaccins offrent de grands avantages et des risques « extrêmement faibles » par habitant.

De plus, Wiik a déclaré qu’elle avait plus peur des effets secondaires de la pandémie que des effets secondaires des vaccins. La Norvège a été soumis aux « mesures les plus intrusives depuis la Seconde Guerre mondiale », et sa population a subi des pertes d’emploi accrues, de la solitude et une augmentation du nombre d’enfants et d’adolescents exposés à la violence et aux abus à la maison.

Wiik a peut-être le don de courtiser la controverse. TV 2 a été forcée de réviser un commentaire qu’elle a écrit en novembre [2020] et qui s’intitulait à l’origine : « Nous vivons dans une dictature ». L’article a exploré les restrictions draconiennes du gouvernement sur le COVID-19 et les effets de ces mesures sur le peuple norvégien.




Source: RT




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