Les dirigeants de Pfizer discutent d'une hausse de prix post-pandémie, pour leur vaccin-COVID

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cgelinas
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Dans un article au contenu explosif intitulé "Pfizer execs discuss hiking vaccine price after pandemic wanes", CBS News expose ce qu'envisagent les dirigeants de Pfizer, pour le lucratif avenir de leur vaccin-COVID.

Voici ce qu'explique l'article du 16 mars 2021 (en français, via une traduction libre):

Un haut dirigeant de Pfizer a suggéré aux investisseurs la semaine dernière que le prix de son vaccin COVID-19 pourrait augmenter après la pandémie. La suggestion soulève des questions quant à savoir si un médicament, mis au point à la demande du gouvernement fédéral pour répondre à une crise mondiale, pourrait faire des profits pour une entreprise.


Cette possibilité a été évoquée par Carter Lewis Gould, analyste principal chez Biopharma Equity Research chez Barclays, lors d’une conférence mondiale virtuelle sur les soins de santé organisée par la banque. Gould, faisant référence aux commentaires faits par les dirigeants de Pfizer au cours de l’été, a demandé comment la société pharmaceutique envisageait toujours de poursuivre des « prix plus élevés » alors que « nous passons d’une pandémie à une phase endémique », selon une transcription éditée de la conversation.

« Il est clair qu’on s’est beaucoup concentré sur la rue. Et en particulier, certains de vos commentaires sur la possibilité d’une hausse des prix », a déclaré Gould de la suggestion d’été de Pfizer. « Je pense que l’une des choses que les gens soulignent, c’est à la fois l’optique de cela ainsi qu’une partie de leur expérience avec le marché de la grippe. Maintenant, c’est absolument différent. Mais j’espérais que vous pourriez peut-être nous donner un peu plus de profondeur sur vos pensées ici et autour de la possibilité de poursuivre des prix plus élevés sur la route?

En réponse, Frank A. D’Amelio, directeur financier et vice-président exécutif de l’approvisionnement mondial de Pfizer, a déclaré que l’entreprise prévoit une « opportunité significative » pour son vaccin « du point de vue des prix » alors que nous passons « d’une situation pandémique à une situation endémique ».

« Donc, si vous regardez comment la demande actuelle et les prix actuels sont entraînés, il est clair qu’elle n’est pas dictée par ce que j’appellerai des conditions normales du marché, des forces normales du marché. Cela a vraiment été motivé par une sorte d’état pandémique dans laquelle nous nous sommes produits et par les besoins des gouvernements pour obtenir des doses des différents fournisseurs de vaccins », a expliqué M. D’Amelio. « Donc, ce que nous croyons, ce que je crois, c’est que nous passons d’un État pandémique, d’une situation pandémique à une situation endémique, les forces normales du marché, les conditions normales du marché vont commencer à entrer en jeu. Et des facteurs comme l’efficacité, la capacité de rappel, l’utilité clinique deviendront fondamentalement très importants, et nous considérons que, très franchement, une occasion importante pour notre vaccin du point de vue de la demande, du point de vue des prix, compte tenu du profil clinique de notre vaccin », a-t-il dit. « Si clairement, plus à venir ici. Mais nous pensons qu’à mesure que cela passe de la pandémie à l’endémie, nous pensons qu’il y a une opportunité pour nous.

En juillet, Pfizer a signé un pacte de 1,95 milliard de dollars pour fournir au gouvernement américain 100 millions de doses de son vaccin COVID-19. Cette commande a été doublée en décembre lorsque l’entreprise a signé un autre contrat de 2 milliards de dollars avec l’administration de l’ancien président Trump.

« Les résidents admissibles des États-Unis continueront de recevoir le vaccin gratuitement, conformément à l’engagement du gouvernement des États-Unis de fournir un accès gratuit aux vaccins COVID-19 et selon les recommandations du Comité consultatif sur les pratiques de vaccination (ACIP) des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis pour le déploiement progressive du vaccin », peut-on lire dans un communiqué de presse de Pfizer après le deuxième accord.

La relation public-privé a permis aux Américains de recevoir le vaccin gratuitement, mais, selon Pfizer, ne signifie pas que le gouvernement fédéral a aidé à financer sa création. Kathrin Jansen, vice-présidente principale et responsable de la recherche et du développement des vaccins chez Pfizer, a fait remarquer en novembre que l’entreprise n’avait pas pris d’argent fédéral pour aider à payer la recherche et le développement.

Selon le New York Times, Jansen a déclaré Pfizer n’a « jamais fait partie de la vitesse warp » et n’ont « jamais pris d’argent du gouvernement américain, ou de quiconque. »

Un porte-parole de Pfizer a plus tard précisé que Pfizer faisait partie de l’opération Warp Speed, mais que l’investissement du gouvernement fédéral n’était pas allé à la recherche ou au développement de vaccins.

« Bien que Pfizer ait conclu un accord d’achat avancé avec le gouvernement américain, l’entreprise n’a pas accepté le financement de BARDA pour le processus de recherche et développement », peut-on lire dans le communiqué dePfizer. « Tous les investissements en R-D ont été réalisés par Pfizer à risque. Le Dr Jansen insistait sur ce dernier point.

Cette condition de l’accord de Pfizer - qui n’est pas partagée par les deux autres sociétés pharmaceutiques qui ont mis au point des vaccins COVID approuvés pour la distribution - pourrait compliquer les choses une fois la pandémie apaisé, selon Jordan Paradise, professeur à la Loyola University Chicago School of Law qui a écrit sur les « coûts éventuels » des « produits approuvés » associés à COVID-19 en Septembre.

L’article de Paradise s’est penché sur le pouvoir du gouvernement fédéral de réglementer le prix des produits créés à l’aide d’un financement fédéral. Ce pouvoir provient de la Loi Bayh-Dole, un ensemble de règlements adoptés en 1980 pour traiter des inventions découlant de la recherche financée par le gouvernement fédéral.

La clé de la loi est ce qu’on appelle les « droits de marche », qui permettent au gouvernement fédéral d'« intervenir et d’affirmer le titre juridique d’une invention », dans « certaines circonstances », écrit Paradise. Ces circonstances se s’entègent en deux catégories : « Lorsqu’il n’y a pas eu d’efforts de commercialisation dans un délai convenu » ou lorsque « des mesures sont nécessaires pour atténuer les besoins en matière de santé ou de sécurité ».

Paradise, cependant, souligne que « bien que ces droits de marche-in sonnent comme un moyen attrayant de garder les titulaires de brevets institutionnels sous contrôle, le gouvernement américain n’a jamais réellement utilisé cette autorité. » En fait, note-t-elle, les National Institutes of Health « ont rejeté les six pétitions visant à exercer leurs droits de marche ».

Le pouvoir n’a jamais été invoqué, a dit Paradise, parce qu’il est mal défini: « Ce n’est pas clair. Il n’est pas clair que le gouvernement n’a jamais exercé sa marche en droits.

Lorsqu’on lui a demandé si la Loi pouvait être utilisée pour empêcher les compagnies pharmaceutiques — si elles ont pris ou non de l’argent du gouvernement fédéral et dans quelle mesure — d’augmenter les prix des vaccins COVID-19, M. Paradise a déclaré qu’une toute nouvelle loi pourrait être nécessaire. Elle a indiqué que les lois sur le plafonnement des prix de l’insuline, dans plusieurs États, étaient des modèles potentiels, mais elle a fait remarquer qu'« au niveau fédéral, c’est un marché libre ».

Une autre inconnue est quand la pandémie se termine officiellement, ou, devient endémique, comme les dirigeants de Pfizer ont fait allusion à la semaine dernière. Paradise a déclaré que l’appel est à la tête de la santé et des services sociaux, actuellement dirigé par le secrétaire par intérim Norris Cochran. Le président Joe Biden a nommé Xavier Becerra à la tête du département, même si sa confirmation était dans l’impasse jusqu’à la semaine dernière.

« Je pense que ce sera un changement, dit-elle. « À quel moment la pandémie prend-elle fin et le gouvernement cesse-t-il de payer pour les vaccins? »

Sur ce même thème, visionnez ce vidéo qui souligne l'arrogance de Pfizer.



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Le jeudi, 11 mars 2021, un haut dirigeant de Pfizer a suggéré aux investisseurs que le prix de son vaccin COVID-19 pourrait augmenter, après la pandémie.

https://forum.chaudiere.ca/viewtopic.php?f=19&t=2384

En fait, selon Pfizer, après la pandémie, ce serait la période d'endémie dans le sens d'une "présence habituelle d'une maladie dans une région ou une population déterminée".

Voilà qui explique peut-être pourquoi les "partenaires locaux" des mondialistes font l'impossible pour maintenir divers niveaux de gouverne via des décrets sanitaires.

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Imaginez, Pfizer anticipe déjà de profiter de son vaccin-COVID après la "pandémie" (telle que déclarée par l'OMS).

Ça vous rassure?

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Mais ce n'est pas tout.

Il y a plus.

Ceux qui ont traité cette nouvelle ont oublié de lire la page 7 de cette transcription de la rencontre du 11 mars 2021 de Pfizer qui était reçue par la Biopharma Equity Research de la banque Barclays.

https://www.documentcloud.org/documents ... 2021-03-11

À a page 7, il est question pour Pfizer de lancer jusqu'à 25 vaccins, d'ici 2025 dont 9 d'entre-eux seraient des "vedettes" (ma traduction libre du terme anglais "blockbusters").

Vous avez bien lu, Pfizer présente 9 vaccins parmi son potentiel évalué à 25 comme étant des "vedettes".

Le mot "blockbusters" va même davantage dans le sens de "casser la baraque", commercialement parlant alors c'est dire à quel point Pfizer n'a qu'une idée en tête: faire de l'argent... des montages d'argent.

Pour la sécurité des "produits vaccinaux" ou la "santé" des receveurs de ceux-ci, c'est très mince. Ça n'a pas l'air d'avoir beaucoup d'importance, dans la proverbiale stratosphère des dirigeants de Pfizer.

Êtes-vous surpris?

Autrement dit, même si la COVID aura ajouté quelques dizaines de milliards de dollars dans les coffres de Pfizer, ce porte-étendard de "big pharma" voit bien plus grand.

Pour Pfizer, l'avenir est vaccinal.

Et à la page 5 de ce même document, Pfizer explique clairement que l'avenir de ces vaccins pourrait passer par l'ARN messager.

Alors pour ceux qui croyait qu'il ne faudrait prendre "qu'un petit vaccin", vous pourriez être surpris parce que Pfizer n'est qu'un manufacturier de vaccins parmi des dizaines d'autres qui vont tous vouloir convaincre des peuples entiers de se laisser injecter.

Ça va se passer d'ici la fin de la "pandémie" mais déjà, "big pharma" se lèche les lèvres avec appétit en anticipant la période de normalité qui suivra qui est déjà prévue pour être affublée de la désignation "endémie" pour maintenir les peuples dans la peur.

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Quiconque lit ce document et tout ce qu'il projette de désinvolture, d'arrogance et d'irrespect total pour la vie humaine et sa santé naturelle divine, réparatrice et à large spectre ne voudra JAMAIS se faire injecter.

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Soyez la lumière, l'ombre est en train de préparer le prochain piège.




Source: Ma publication, dans Facebook




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