OPINION - Le Dr Denis Agret, médecin spécialiste de santé publique, revient sur la vaccination avec son analyse en vidéo sur les chiffres de la vaccination.
Dans une vidéo de 14 minutes, Denis Agret passe en revue les données publiées par Santé publique France et l’ANSM sur la vaccination.
Ces données ne sont pas commentées ou analysées comme telles sur le site de Santé publique France.Sa conclusion est sans appel et d'après lui la vaccination entraînerait:
- 5 décès pour 100 000 vaccinés,
- 17 effets indésirables graves pour 10 000 vaccinés !
- "Plus de chance que de gagner au loto ! Et partir plus vite sans passer par la case départ, sans touchez 20 000 balles."
Le Dr Denis Agret alerte donc l'opinion sur ces données et sur les effets de la vaccination.
Samedi dernier c'était au tour du Dr Reliquet de la Coordination Santé Libre d'alerter sur des données identiques alors que le Dr Seligmann et l'ingénieur Haim Yativ débunkaient une étude israëlienne sur les effets du vaccins.
Source: FranceSoir
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Maintenant, ma lecture de cette nouvelle
Après avoir écouté ce vidéo intitulé "216 décès post vaccins, c'est GRAVE et c'est l'ANSM qui l'écrit" dans Facebook, j'ai été consulter la page intitulée "Point de situation sur la surveillance des vaccins contre la COVID-19" dans le site web de l'ANSM, en France.
C'est depuis cette page que j'ai pu télécharger le document en suivant le lien intitulé "Consulter la synthèse et les faits marquants (05/03/2021) application/pdf (172 ko)" que j'ai aussi ajouté en attachement, plus bas.
Dans ce document, on retrouve des statistiques sur les décès post vaccinaux, en France et là, on parle principalement du vaccin BNT162b2 de Pfizer-BioNTech.
Et c'est vraiment inquiétant puisqu'il est écrit, noir sur blanc, qu'il y a déjà eu 217 décès suite à la vaccination-COVID.
Évidemment impossible de savoir si la mort est due à la vaccination mais celle-ci est bel et bien survenue APRÈS la vaccination-COVID.
Normalement, Olivier Véran, l'actuel ministre de la Santé, en France, devrait ARRÊTER toute vaccination-COVID, le temps de comprendre ce qui a réellement causé la mort de ces centaines de Français mais aucun avis en ce sens n'a encore été publié. La vaccination-COVID se poursuit, en France. Et elle se poursuivra vraisemblablement tant que des Français feront la file pour se faire injecter, probablement inconscients de l'existence de ces statistiques pourtant publiques.
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Même si la situation pourrait varier légèrement au Québec, le simple fait qu'il s'agisse ici très exactement du même vaccin-COVID qu'en France devrait conduire Christian Dubé, le ministre de la santé du Québec, à ARRÊTER toute vaccination, au Québec, le temps qu'une enquête soit conduite, en France, pour analyser les décès post-vaccinaux, là-bas.
Mais au Québec, comme en France, rien n'indique que le gouvernement caquiste de François Legault priorise la voie de la précaution. La "campagne de vaccination-COVID" continue donc, sans pause, au Québec.
Qu'importe le nombre de morts, il semble que la vaccination-COVID peut tuer sans soulever d'inquiétudes chez ceux qui se font injecter.
Si on appliquait ces morts à une autre cause, comme un accident de la route, avec 217 morts, là, il y aurait une enquête mais dans le cas de la vaccination-COVID, les morts s'accumulent et le gouvernement français n'en fait aucun cas.
C'est spécial, non?
Alors il revient aux Français et aux Québécois de considérer ces chiffres alarmants AVANT de tomber dans le piège parfois mortel de la vaccination-COVID avec le vaccin BNT162b2 de Pfizer-BioNTech.
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