COVID-19 dans les eaux usées: la recherche prend de l'ampleur en Nouvelle-Écosse
Posté : 11 janvier 2021, 17:09
J'archive cet article de RC ici pour illustrer comment ces analyses des eaux usées en Nouvelle-Écosse ont été élaborées dans notre dos, à nos frais et contre notre meilleur intérêt.
Si les "cas" de COVID sont moins élevés avec les écouvillons individuels, ils seront ÉNORMES avec ces analyses d'échantillons d'eaux usées qui viseront des populations entières, qu'il s'agisse d'un quartier, d'un aéroport ou d'une école.
Cette approche de "précrime sanitaire", pour ainsi dire, fera partie d'un avenir dystopique où les gens d'une zone "analysée" pourront être désignés comme étant "probablement positifs à la COVID" car l'analyse de leur zone fournira une preuve en ce sens [à la "santé" publique qui pourra ensuite opprimer sanitairement ces gens].
C'est un outil de contrôle oppressif.
Ça n'a RIEN à voir avec la santé, publique ou individuelle.
Les gouvernements se frottent les mains à l'idée de disposer d'un outil dont la fiabilité n'est absolument pas avérée pour faire gonfler leurs chiffres de "cas-COVID" et ainsi, augmenter l'oppression sanitaire contre leur population.
Ce test cherche la présence de traces génétiques (d'ARN) du coronavirus dans les eaux usées. Or, la vaccination-COVID injecte de l'ARN messager qui pourra, naturellement, se retrouver dans les eaux usées. Les laboratoires cherchent des traces, à savoir de minuscules quantités d'ARN alors il est probable que de très nombreux tests reviendront positifs-COVID lorsque les épisodes de vaccination auront eu lieu.
C'est un outil qui va alimenter des années sombres de "lutte au COVID" qui n'en finira pas.
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Quatre laboratoires en Nouvelle-Écosse analysent des échantillons d’eaux usées en espérant détecter de façon précoce des cas de COVID-19 dans les communautés.
Au cours des derniers mois, plusieurs municipalités au Canada ont entrepris d’analyser leurs eaux usées pour effectuer une détection précoce des cas de cette maladie.
Les chercheurs espèrent que leurs méthodes, une fois perfectionnées, serviront à dépister des foyers d'éclosion avant qu'ils ne se développent. L’outil servirait en quelque sorte de système d’alarme. [Éditeur: ce serait u système d'oppression des populations, ça n'a RIEN à voir avec la "santé publique"]
L'analyse en laboratoire des échantillons d’eau prélevés dans les égouts permettrait de déceler la présence de la COVID-19 dans une communauté avant l’apparition de symptômes chez ses résidents et les tests de dépistage effectués à l’aide d’écouvillons. [Éditeur: c'est comme le "précrime" dans Minority Report mais avec un coronavirus, c'est monstrueusement dystopique comme potentiel d'abus contre les citoyens]
Graham Gagnon, chercheur en chef au centre d’étude sur les ressources en eau de l’Université Dalhousie, dirige les travaux en Nouvelle-Écosse.
Cette méthode, explique-t-il, ne peut cibler une personne infectée en particulier. Mais, ajoute-t-il, si la Nouvelle-Écosse peut disposer d’une base de référence pendant que les taux sont faibles, cela permettra de mieux observer les variations dans le temps.
Après des projets pilotes menés à Wolfville et à Halifax, le programme de recherche est en plein essor en Nouvelle-Écosse. Les laboratoires de quatre universités, dans quatre régions, y participent.
Un outil pour la santé publique
Les chercheurs examinent des échantillons d’eaux usées pour vérifier s’il y a présence de traces génétiques (ARN) du coronavirus qui cause la COVID-19. Cette méthode offre l'avantage de tester en théorie une population entière, alors que les tests cliniques de dépistage ne sont effectués que sur un petit nombre de gens. [Éditeur: le but est admis, à mots couverts, de faire augmenter monstrueusement le nombre de "cas potentiels" de COVID]
C’est une autre source d’information qui pourra aider la santé publique à prendre des décisions, souligne le chercheur Graham Gagnon. [Éditeur: de mauvaises décisions, comme depuis le début de cette prétendue "pandémie", le 13 mars 2020, au Québec]
Le médecin-hygiéniste en chef de la Nouvelle-Écosse, le Dr Robert Strang, précise que cet outil n’est pas encore une source établie pour comprendre la prolifération du coronavirus. Le rôle que jouera cette méthode dans les stratégies en matière de santé publique sera déterminé à plus long terme.
Des analyses pour les plus petits milieux aussi
En attendant, les laboratoires participant en Nouvelle-Écosse vont déterminer des endroits prioritaires pour les analyses. L’un d’eux sera l’aéroport international d’Halifax. [Éditeur: c'est ridicule puisque les passagers ne font qu'y transiter et on comprend, d'avance qu'il s'agira d'un outil de plus pour fermer l'aéroport et y détenir des passagers qui pourront être présumés "positifs à la COVID", ce qui leur forcera la main pour accepter un écouvillonnage ou une quarantaine, sur place ou dans un centre de détention, en Nouvelle-Écosse]
On souhaite un jour utiliser ce modèle d’analyse ailleurs, par exemple dans les hôpitaux ou les foyers de soins. Les chercheurs affirment que la surveillance des eaux usées pourrait s'avérer utile aussi à plus petite échelle comme dans les prisons, les écoles ou les refuges pour sans-abri.
D’après un reportage de Stéphanie Blanchet
Source: MSN / Radio-Canada
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Si les "cas" de COVID sont moins élevés avec les écouvillons individuels, ils seront ÉNORMES avec ces analyses d'échantillons d'eaux usées qui viseront des populations entières, qu'il s'agisse d'un quartier, d'un aéroport ou d'une école.
Cette approche de "précrime sanitaire", pour ainsi dire, fera partie d'un avenir dystopique où les gens d'une zone "analysée" pourront être désignés comme étant "probablement positifs à la COVID" car l'analyse de leur zone fournira une preuve en ce sens [à la "santé" publique qui pourra ensuite opprimer sanitairement ces gens].
C'est un outil de contrôle oppressif.
Ça n'a RIEN à voir avec la santé, publique ou individuelle.
Les gouvernements se frottent les mains à l'idée de disposer d'un outil dont la fiabilité n'est absolument pas avérée pour faire gonfler leurs chiffres de "cas-COVID" et ainsi, augmenter l'oppression sanitaire contre leur population.
Ce test cherche la présence de traces génétiques (d'ARN) du coronavirus dans les eaux usées. Or, la vaccination-COVID injecte de l'ARN messager qui pourra, naturellement, se retrouver dans les eaux usées. Les laboratoires cherchent des traces, à savoir de minuscules quantités d'ARN alors il est probable que de très nombreux tests reviendront positifs-COVID lorsque les épisodes de vaccination auront eu lieu.
C'est un outil qui va alimenter des années sombres de "lutte au COVID" qui n'en finira pas.
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Quatre laboratoires en Nouvelle-Écosse analysent des échantillons d’eaux usées en espérant détecter de façon précoce des cas de COVID-19 dans les communautés.
Au cours des derniers mois, plusieurs municipalités au Canada ont entrepris d’analyser leurs eaux usées pour effectuer une détection précoce des cas de cette maladie.
Les chercheurs espèrent que leurs méthodes, une fois perfectionnées, serviront à dépister des foyers d'éclosion avant qu'ils ne se développent. L’outil servirait en quelque sorte de système d’alarme. [Éditeur: ce serait u système d'oppression des populations, ça n'a RIEN à voir avec la "santé publique"]
L'analyse en laboratoire des échantillons d’eau prélevés dans les égouts permettrait de déceler la présence de la COVID-19 dans une communauté avant l’apparition de symptômes chez ses résidents et les tests de dépistage effectués à l’aide d’écouvillons. [Éditeur: c'est comme le "précrime" dans Minority Report mais avec un coronavirus, c'est monstrueusement dystopique comme potentiel d'abus contre les citoyens]
Graham Gagnon, chercheur en chef au centre d’étude sur les ressources en eau de l’Université Dalhousie, dirige les travaux en Nouvelle-Écosse.
Cette méthode, explique-t-il, ne peut cibler une personne infectée en particulier. Mais, ajoute-t-il, si la Nouvelle-Écosse peut disposer d’une base de référence pendant que les taux sont faibles, cela permettra de mieux observer les variations dans le temps.
Après des projets pilotes menés à Wolfville et à Halifax, le programme de recherche est en plein essor en Nouvelle-Écosse. Les laboratoires de quatre universités, dans quatre régions, y participent.
Un outil pour la santé publique
Les chercheurs examinent des échantillons d’eaux usées pour vérifier s’il y a présence de traces génétiques (ARN) du coronavirus qui cause la COVID-19. Cette méthode offre l'avantage de tester en théorie une population entière, alors que les tests cliniques de dépistage ne sont effectués que sur un petit nombre de gens. [Éditeur: le but est admis, à mots couverts, de faire augmenter monstrueusement le nombre de "cas potentiels" de COVID]
C’est une autre source d’information qui pourra aider la santé publique à prendre des décisions, souligne le chercheur Graham Gagnon. [Éditeur: de mauvaises décisions, comme depuis le début de cette prétendue "pandémie", le 13 mars 2020, au Québec]
Le médecin-hygiéniste en chef de la Nouvelle-Écosse, le Dr Robert Strang, précise que cet outil n’est pas encore une source établie pour comprendre la prolifération du coronavirus. Le rôle que jouera cette méthode dans les stratégies en matière de santé publique sera déterminé à plus long terme.
Des analyses pour les plus petits milieux aussi
En attendant, les laboratoires participant en Nouvelle-Écosse vont déterminer des endroits prioritaires pour les analyses. L’un d’eux sera l’aéroport international d’Halifax. [Éditeur: c'est ridicule puisque les passagers ne font qu'y transiter et on comprend, d'avance qu'il s'agira d'un outil de plus pour fermer l'aéroport et y détenir des passagers qui pourront être présumés "positifs à la COVID", ce qui leur forcera la main pour accepter un écouvillonnage ou une quarantaine, sur place ou dans un centre de détention, en Nouvelle-Écosse]
On souhaite un jour utiliser ce modèle d’analyse ailleurs, par exemple dans les hôpitaux ou les foyers de soins. Les chercheurs affirment que la surveillance des eaux usées pourrait s'avérer utile aussi à plus petite échelle comme dans les prisons, les écoles ou les refuges pour sans-abri.
D’après un reportage de Stéphanie Blanchet
Source: MSN / Radio-Canada
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