COVID-19 dans les eaux usées: la recherche prend de l'ampleur en Nouvelle-Écosse

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cgelinas
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J'archive cet article de RC ici pour illustrer comment ces analyses des eaux usées en Nouvelle-Écosse ont été élaborées dans notre dos, à nos frais et contre notre meilleur intérêt.

Si les "cas" de COVID sont moins élevés avec les écouvillons individuels, ils seront ÉNORMES avec ces analyses d'échantillons d'eaux usées qui viseront des populations entières, qu'il s'agisse d'un quartier, d'un aéroport ou d'une école.

Cette approche de "précrime sanitaire", pour ainsi dire, fera partie d'un avenir dystopique où les gens d'une zone "analysée" pourront être désignés comme étant "probablement positifs à la COVID" car l'analyse de leur zone fournira une preuve en ce sens [à la "santé" publique qui pourra ensuite opprimer sanitairement ces gens].

C'est un outil de contrôle oppressif.

Ça n'a RIEN à voir avec la santé, publique ou individuelle.

Les gouvernements se frottent les mains à l'idée de disposer d'un outil dont la fiabilité n'est absolument pas avérée pour faire gonfler leurs chiffres de "cas-COVID" et ainsi, augmenter l'oppression sanitaire contre leur population.

Ce test cherche la présence de traces génétiques (d'ARN) du coronavirus dans les eaux usées. Or, la vaccination-COVID injecte de l'ARN messager qui pourra, naturellement, se retrouver dans les eaux usées. Les laboratoires cherchent des traces, à savoir de minuscules quantités d'ARN alors il est probable que de très nombreux tests reviendront positifs-COVID lorsque les épisodes de vaccination auront eu lieu.

C'est un outil qui va alimenter des années sombres de "lutte au COVID" qui n'en finira pas.


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Quatre laboratoires en Nouvelle-Écosse analysent des échantillons d’eaux usées en espérant détecter de façon précoce des cas de COVID-19 dans les communautés.

Au cours des derniers mois, plusieurs municipalités au Canada ont entrepris d’analyser leurs eaux usées pour effectuer une détection précoce des cas de cette maladie.

Les chercheurs espèrent que leurs méthodes, une fois perfectionnées, serviront à dépister des foyers d'éclosion avant qu'ils ne se développent. L’outil servirait en quelque sorte de système d’alarme. [Éditeur: ce serait u système d'oppression des populations, ça n'a RIEN à voir avec la "santé publique"]

L'analyse en laboratoire des échantillons d’eau prélevés dans les égouts permettrait de déceler la présence de la COVID-19 dans une communauté avant l’apparition de symptômes chez ses résidents et les tests de dépistage effectués à l’aide d’écouvillons. [Éditeur: c'est comme le "précrime" dans Minority Report mais avec un coronavirus, c'est monstrueusement dystopique comme potentiel d'abus contre les citoyens]

Graham Gagnon, chercheur en chef au centre d’étude sur les ressources en eau de l’Université Dalhousie, dirige les travaux en Nouvelle-Écosse.

Cette méthode, explique-t-il, ne peut cibler une personne infectée en particulier. Mais, ajoute-t-il, si la Nouvelle-Écosse peut disposer d’une base de référence pendant que les taux sont faibles, cela permettra de mieux observer les variations dans le temps.

Après des projets pilotes menés à Wolfville et à Halifax, le programme de recherche est en plein essor en Nouvelle-Écosse. Les laboratoires de quatre universités, dans quatre régions, y participent.

Un outil pour la santé publique

Les chercheurs examinent des échantillons d’eaux usées pour vérifier s’il y a présence de traces génétiques (ARN) du coronavirus qui cause la COVID-19. Cette méthode offre l'avantage de tester en théorie une population entière, alors que les tests cliniques de dépistage ne sont effectués que sur un petit nombre de gens. [Éditeur: le but est admis, à mots couverts, de faire augmenter monstrueusement le nombre de "cas potentiels" de COVID]

C’est une autre source d’information qui pourra aider la santé publique à prendre des décisions, souligne le chercheur Graham Gagnon. [Éditeur: de mauvaises décisions, comme depuis le début de cette prétendue "pandémie", le 13 mars 2020, au Québec]

Le médecin-hygiéniste en chef de la Nouvelle-Écosse, le Dr Robert Strang, précise que cet outil n’est pas encore une source établie pour comprendre la prolifération du coronavirus. Le rôle que jouera cette méthode dans les stratégies en matière de santé publique sera déterminé à plus long terme.

Des analyses pour les plus petits milieux aussi

En attendant, les laboratoires participant en Nouvelle-Écosse vont déterminer des endroits prioritaires pour les analyses. L’un d’eux sera l’aéroport international d’Halifax. [Éditeur: c'est ridicule puisque les passagers ne font qu'y transiter et on comprend, d'avance qu'il s'agira d'un outil de plus pour fermer l'aéroport et y détenir des passagers qui pourront être présumés "positifs à la COVID", ce qui leur forcera la main pour accepter un écouvillonnage ou une quarantaine, sur place ou dans un centre de détention, en Nouvelle-Écosse]

On souhaite un jour utiliser ce modèle d’analyse ailleurs, par exemple dans les hôpitaux ou les foyers de soins. Les chercheurs affirment que la surveillance des eaux usées pourrait s'avérer utile aussi à plus petite échelle comme dans les prisons, les écoles ou les refuges pour sans-abri.


D’après un reportage de Stéphanie Blanchet



Source: MSN / Radio-Canada



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Alors que la maire de Paris, Anne Hidalgo, fait savoir ce dimanche 10 janvier que les données «montrent une augmentation très importante de traces de virus dans les eaux usées» de la région, la question se pose : est-il risqué de boire l'eau du robinet ?

L'eau distribuée aux Parisiens et aux communes avoisinantes est réputée pour être l'une des meilleures du pays, parce que parfaitement traitée et contrôlée. Un opérateur public – appelé Eau de Paris – est notamment chargé de distribuer l'eau de plus de 3 millions d'usagers dans la région, dont plus de 2 millions de Parisiens.

Peu le savent mais l'eau distribuée aux Parisiens provient d'un «mélange d’eaux souterraines et d’eaux de rivières potabilisées», c'est-à-dire rendues potables grâce à une série de traitements réalisés en usines. «Quelle que soit sa provenance, l’eau en sortie de robinet est d’excellente qualité, partout dans Paris», se félicite d'ailleurs l'organisme public.

Alors pourquoi le virus est-il présent dans les eaux usées parisiennes ?

Tout simplement parce que les personnes contaminées excrètent du virus.

Ainsi, plus elles sont nombreuses, plus la concentration augmente dans les eaux usées. Or, depuis plusieurs mois, le laboratoire d'Eau de Paris a mis en place le «projet Obepine», qui vise à déceler le Sars-CoV-2 dans les eaux usées de la capitale.

Des capteurs présents dans 4 stations d'épuration, ainsi que des prélèvements ponctuels à d'autres endroits du réseau, cherchent des traces de génome du virus dans les eaux provenant directement des toilettes des Parisiens. Si le virus est présent dans les eaux usées, c'est donc uniquement parce qu'il a d'abord transité par une personne contaminée. [Éditeur: le virus pourrait aussi avoir été injecté via n'importe quelle toilette, dans une zone donnée]

Boire l'eau du robinet "est sans danger"

À ce sujet, la régie de l’Eau de Paris est d'ailleurs «formelle». «La consommation de l’eau du robinet à Paris est sans danger», assure la municipalité parisienne, qui exhorte la population à ne surtout pas «stocker de l’eau en bouteille» ou «craindre une éventuelle contamination par l’eau du robinet». Aucune inquiétude à avoir donc, selon la municipalité «puisque l'eau de Paris est protégée contre le coronavirus comme elle l’est contre toute menace biologique». Pour ce faire, elle est traitée plusieurs fois avant d’arriver dans les foyers.

D'abord par ozonation (l’ozone désinfecte et tue les bactéries, virus et produits chimiques présents dans l’eau), puis par désinfection aux ultraviolets (les ultraviolets complètent l’ozonation et tuent les virus et les bactéries qui pourraient avoir résisté) et enfin, par chloration (le chlore, ajouté en petites doses, empêche les virus et les bactéries de se développer).

Un processus clé selon Eau de Paris qui souligne que «ces trois traitements constituent le «traitement multibarrières» qui élimine tous les virus et permet d’affirmer que l’eau de Paris est propre à la consommation». L'eau est ensuite «constamment contrôlée par l’agence régionale de santé (ARS) Ile-de-France».

Une baisse de 20% de la consommatio d'eau

Pendant le premier confinement, la consommation d'eau avait chuté de près de 20%, «principalement à cause de la fermeture d’entreprises, de commerces et l’absence de tourisme», explique Eau de Paris. Pour autant, l'organisme public n'est toujours pas en mesure de quantifier la baisse de consommation d'eau chez ceux qui auraient arrêté d'en boire de peur d'attraper le Covid.

Sans doute une part infime, puisque depuis le début de l'épidémie, aucune trace du virus n'a été décelée dans l'eau potable de la ville. Seul le circuit d'eau non potable – qui contribue à l'arrosage des jardins, au nettoyage des rues et à l'entretien de égouts – avait été coupé au printemps. Le 19 avril dernier, l'utilisation de ce réseau avait été suspendue après que des traces infimes du virus y ont été retrouvées.


Source: CNews


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En Nouvelle-Écosse, 4 labos analysent PRÉSENTEMENT des échantillons d’eaux usées en espérant détecter de façon précoce des cas de COVID-19 dans les communautés.

https://forum.chaudiere.ca/viewtopic.php?f=19&t=2068

Si vous pensez que le nombre de "cas-COVID" est élevé en ce moment, avec les dizaines de milliers d'écouvillonnages quotidiens, attendez de voir ce chiffre bondir vers des sommets inédits suite une analyse des eaux usées Montréal, Laval, Longueuil et les autres grandes villes du Québec.

Vous pensez que ça ne se peut pas?

Détrompez-vous, au cours des derniers mois, plusieurs municipalités au Canada ont entrepris d’analyser leurs eaux usées pour effectuer une détection précoce des "cas-COVID".

Par exemple, des recherches semblables ont lieu à Regina et Saskatoon, en Saskatchewan:

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/17 ... -excrement

Ou encore, à Vancouver:

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/17 ... -vancouver

Ce n'est qu'une question de temps avant que l'analyse-COVID des eaux usées ne devienne un outil de la santé publique, au Québec, aussi.

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Au plan purement technique, les chercheurs examinent des échantillons d’eaux usées pour vérifier s’il y a présence de traces génétiques (ARN) du coronavirus qui cause la COVID-19.

Si l'on se fie à ce qui a cours en Nouvelle-Écosse, l'idée n'est pas que pour des grandes ville mais aussi, par exemple, dans les hôpitaux ou les foyers de soins.

Les chercheurs néoécossais affirment aussi que la surveillance des eaux usées pourrait s'avérer utile à plus petite échelle comme dans les prisons, les écoles ou les refuges pour sans-abri.

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Imaginez, une école qui "test-positif-COVID" via les eaux usées exigera-t-elle des écouvillonnages dans le fond du nez de tous ses élèves?

Ces élèves auront-ils le droit de quitter l'école, en fin de journée, s'ils ont refusé l'écouvillonnage?

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L'analyse des eaux usées pourrait devenir la menace suprême contre toute population qui pourrait, éventuellement, devenir très maligne contre quiconque serait reconnu avoir obtenu un "test-COVID" positif, ce qui aurait, en raison de l'analyse des eaux usées, engendré des désagréments réels pour tous les gens dans la zone analysée.

Ça paraît tiré par les cheveux, aujourd'hui, certes mais ne perdez pas de vue qu'un client qui ne porte pas de masque à l'entrée d'un commerce comme Costco suscite une levée de bouclier largement irrationnelle et émotive, qu'elle ait "une condition médicale légitime" ou non.

Le jour viendra peut-être où la Santé publique du Dr Horacio Arruda pointera du doigt les citoyens qui n'auront pas reconnu à temps leurs symptômes-COVID et qui, en raison d'une analyse positive des eaux usées, forcera les écouvillonnages massifs ce qui, au fil du temps, pourrait contribuer à diviser ces milieux entre ceux qui sont "responsables" ou ceux qui ne le sont pas ou alors, pas assez au goût des "pro-lutte-extrême au COVID".

Et même si une population a des analyses négatives pendant un ou plusieurs mois, rien ne garantit que sans prévenir, un bon matin, la zone soit déclarée "rouge" avec une obligation d'être écouvillonné sous peine de ne plus pouvoir circuler, en société.

Ces scénarios pour l'instant fictifs pourraient devenir une sombre réalité, surtout si la Santé publique se voit dans l'obligation de fournir sans cesses plus de "cas-COVID" pour apeurer la population afin de faciliter le contrôle de l'État.




Source: Ma publication, dans Facebook




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