Un confinement plus long et plus strict déjà réclamé
Posté : 05 janvier 2021, 13:45
La seule raison pour laquelle j'archive publiquement la "nouvelle" qui suit est pour montrer à quel point "Le Devoir" fait la "job de bras médiatique" pour légitimer la propagande d'État.
Les journalistes des "grands médias" entretiennent la peur.
La peur du COVID-19.
Une peur entretenue artificiellement par des "grands médias" avec un agenda ouvertement pro-peur, ce qui permet ensuite au gouvernement de "répondre à la peur" avec des limitations ou des suppressions de nos libertés.
En ce mardi, 5 janvier 2020, la "crise sanitaire pandémique mondiale" de l'OMS continue d'être dénoncée comme étant une guerre mondialiste contre les peuples mais les "élus" des États continuent, pour la grande majorité, de trahir leur peuple en s'alignant avec "la lutte au COVID" qui sous-tend des limitations graduelles et inadmissibles à plusieurs de nos libertés.
Pire encore, les "grands médias" font écho à la "nouvelle normale" de cette propagande d'État en la légitimant.
Donc, cette "nouvelle" vous permet de voir l'assaut des mercenaires médiatiques contre les Québécois.
-- --
Des experts en santé publique [Éditeur: au nombre de 3 et tous payés par le gouvernement mais ça, il ne faut pas le dire parce que le but de cette nouvelle est de faire peur, comme le veut... le gouvernement!] appellent à un prolongement du confinement après le 11 janvier au Québec [Éditeur: évidemment] étant donné l’augmentation continue [Éditeur: l'INSPQ met l'emphase sur les "cas" et non les "morts" afin de faire peur] du nombre de nouveaux cas quotidiens de COVID-19 [Éditeur: la grippe saisonnière a disparu, serait-il possible que les "cas-COVID" soient en réalité des "cas de grippe saisonnière"?] malgré les mesures sanitaires plus strictes adoptées pendant le temps des Fêtes [Éditeur: mais pas encore assez strictes, évidemment... le but étant l'oppression du peuple].
« Nous devons [Éditeur: oh que non, ce qui "doit" avoir lieu, c'est une consultation publique IMMÉDIATE pour faire le point sur les 9 mois de gouverne via décret unilatéral et largement anti-démocratique, au Québec] mettre en place des mesures de confinement strictes [Éditeur: l'assaut contre le peuple continue... rien à voir avec la "santé publique" qui, ici, n'est qu'une banale excuse pour justifier l'injustifiable] dès que possible, notamment en retardant le retour à l’école, en maintenant toutes les entreprises, sauf les plus importantes [Éditeur: c'est bien connu, le COVID-19 n'affecte jamais les employés au salaire minimum des Walmart, au Québec (sigh)], fermées et en limitant les voyages [Éditeur: parce qu'il ne faudrait pas que les Québécois voient que ça va vraiment bien, ailleurs, sans les confinements]. Nous devons être sur l’offensive [Éditeur: l'offensive CONTRE LES QUÉBÉCOIS et les libertés qu'il leur reste], plutôt que d’attendre pour réagir [Éditeur: il y a ZÉRO PRÉVENTION, digne de ce titre, en matière de "santé publique, au Québec... tous les McDo's sont ouverts et le junk food est à l'honneur, OGM-compris] », estime Marina Klein, professeure de médecine à l’Université McGill, spécialisée dans les maladies infectieuses et virales [Éditeur: elle s'intéresse au VIH, comme le controversé Dr Anthony Fauci, aux États-Unis... fait-elle partie de la clique, elle aussi?].
À moins d’un changement de ton de Québec cette semaine, la réouverture des écoles et des commerces non essentiels est toujours prévue lundi prochain. Or les dernières données publiées par les autorités sur l’état de la pandémie dans la province donnent froid dans le dos [Éditeur: les "données de l'État", des données manipulées et tendancieuses, comme l'INSPQ nous y a habitué, depuis le début de cette "crise-COVID", depuis l'infâme 13 mars 2020]. Alors que les effets du confinement auraient dû commencer à se faire ressentir sur la courbe épidémiologique [Éditeur: au même moment où les 10aines de milliers d'écouvillonnages ont été imposés aux Québécois qui veulent conserver leurs privilèges, comme celui de TRAVAILLER] et à inverser la tendance dans la dernière semaine [Éditeur: pour une "tendance" déjà discutable d'une seule semaine, l'idée est de CONFINER pour plusieurs semaines, toujours la même dérive oppressive pour "sauver des vies"], les nouvelles contaminations quotidiennes n’ont cessé d’augmenter [Éditeur: parce que le nombre d'écouvillonnages a augmenté de manière vertigineuse]. La situation s’est même accélérée [Éditeur: évidemment, aucun chiffre à l'appui et même là, les chiffres de l'INSPQ sont HAUTEMENT QUESTIONNABLES].
Dimanche, le bilan des autorités a fait état de 7663 contaminations de COVID-19 supplémentaires entre le 31 décembre et le 2 janvier, dont 2869 uniquement pour la journée de samedi, soit un nouveau record. À elle seule, l’île de Montréal a compté 1300 nouveaux cas cette même journée. Le nombre d’hospitalisations a également bondi de 150 samedi pour s’établir à un total de 1225 tandis que, les deux jours précédents, on avait recensé 100 hospitalisations de moins. De plus, pas moins de 121 décès se sont ajoutés au bilan, dont 11 samedi, ce qui fait un total de 8346 morts depuis le début de la pandémie. [Éditeur: ce chiffre ne respecte même pas l'ajustement de l'INSPQ pour prendre en compte les comorbidités]
« Malgré les mesures du temps des Fêtes, les cas et les hospitalisations sont en hausse [Éditeur: les hospitalisations de toute nature mais aucun besoin de le préciser parce que le but, c'est de TROMPER et de FAIRE PEUR]. Ça montre que la transmission communautaire est importante [Éditeur: c'est une SUPPOSITION, rien de scientifique pour appuyer une telle déclaration], ce qui a un impact majeur sur notre réseau de santé et sur notre personnel [Éditeur: ça fait des DÉCENNIES qu'il y a des 'impacts sur le personnel de la santé" », a déclaré dimanche le ministre de la Santé, Christian Dubé, sur Twitter, en présentant le bilan.
Selon Marina Klein, il y a eu une transmission communautaire soutenue et généralisée avant les vacances, et celle-ci s’est développée malgré les mesures mises en place durant les Fêtes.
« La situation est préoccupante. […] Le système de santé atteint déjà un point critique, les hôpitaux et les travailleurs de la santé seront débordés dans les semaines à venir si rien n’est fait », craint-elle. [Éditeur: comme à chaque année, avec la grippe saisonnière]
La professeure dit comprendre la fatigue des Québécois, qui sont plongés depuis plus de neuf mois dans cette pandémie, mais croit nécessaires le prolongement et le renforcement des mesures de confinement. Et « plus vite cette décision sera prise et communiquée clairement à la population, mieux ce sera », souligne-t-elle, donnant en exemple l’Australie. Le pays a réussi à contenir sa deuxième vague du virus en imposant un confinement strict avec des étapes précises d’assouplissement des restrictions, combinées à un soutien financier et social de la population pour s’assurer de son adhésion aux mesures.
Les élèves du primaire à l’école
Roxane Borgès Da Silva, professeure à l’École de santé publique de l’Université de Montréal (UdeM), plaide aussi pour un prolongement du confinement pendant deux semaines après le 11 janvier. Le télétravail est pour beaucoup devenu une habitude et les écoles secondaires sont déjà bien organisées pour donner leurs cours à distance, souligne-t-elle.
La professeure recommande par contre d’éviter le plus possible de reconfiner les élèves du primaire. « C’est une charge de travail supplémentaire pour les parents. Et à cet âge, les enfants ont besoin de socialiser et sont moins autonomes pour suivre des cours à distance. Mais si la situation est trop catastrophique [Éditeur: selon le narratif d'État basé sur les tests PCR maintes fois dénoncés pour leur inefficacité], on n’aura peut-être pas le choix. » [Éditeur: TOUS les enfants ont BESOIN de socialiser, incluant au CEGEP et même à l'université]
Elle regrette néanmoins de devoir en arriver là. « On était 80 experts au début du mois de décembre à demander au gouvernement d’appliquer un confinement total plutôt que partiel pour plus d’efficacité. Ça n’a pas été écouté. Les entreprises manufacturières n’ont par exemple pas été mises sur pause pendant les Fêtes, alors que c’est le milieu de travail qui compte le plus d’éclosions », fait-elle remarquer. [Éditeur: comment sait-elle que "le milieu de travail" compte le plus d'éclosions? Ne serait-ce pas en raison des 10aines de milliers d'écouvillonnages et leurs tests PCR qui ne sont même pas fiables qu'on en arrive à ces "conclusions"?]
Chiffres en explosion ?
À la vue des dernières données des autorités, elle en déduit qu’il y a également eu bien plus de rassemblements privés que l’on pense à Noël. [Éditeur: c'est une imposture de lire de telles sottises, comme si elle savait ce qui a eu cours, à Noël] Cette tendance au non-respect des mesures [Éditeur: une tendance? Elle sort ça de où?], combinée au retour des voyageurs en janvier [Éditeur: ces voyageurs sont en quarantaine pendant 14 jours alors sa théorie fumeuse ne tient pas la route] et à la propagation du nouveau variant du virus détecté au Royaume-Uni [Éditeur: qu'est-ce qu'elle sait de cette variante?], risque de faire encore plus exploser les chiffres dans les prochaines semaines [Éditeur: encore une supposition, misère!], craint-elle, appelant le gouvernement à agir vite [Éditeur: une prof d'université, grassement payée par le gouvernement qui ouvre la porte au gouvernement pour élargir son agenda oppressif contre le peuple = ZÉRO CRÉDIBILITÉ].
S’il se montre moins certain des retombées positives et rapides d’un confinement prolongé de deux semaines, Benoît Mâsse, épidémiologiste à l’École de santé publique de l’UdeM, recommande tout de même au gouvernement d’emprunter cette voie. « Il n’y a rien de garanti, mais ça pourrait davantage marcher cette fois-ci. [Éditeur: n'importe quoi! Ce n'est appuyé sur absolument rien de "scientifique" et le gouvernement va se servir de ça pour oppimer 8,45 millions de Québécois... quel délire] Il n’y aura pas de party de bureau de fin d’année à la mi-janvier, ni de réunion de famille prévue au calendrier. Peut-être que, là, on vivrait un vrai confinement, suffisant pour inverser la tendance », espère-t-il. [Éditeur: il a l'air d'espérer tout ce que l'État propagandiste espère. On comprend qu'il tire son salaire de la vache à lait gouvernementale alors il flatte le narratif qui plaît à ses patrons, quitte à PUNIR des millions de Québécois pour plaire à ses "espérances"]
C’est un coup à donner [Éditeur: ça fait 9 mois qu'on "donne un coup" et là, c'est clair que les confinements ne fonctionnent pas, ni ici, ni ailleurs... mais il insiste quand même], selon lui, pour au moins essayer d’éviter des mesures encore plus restrictives, comme un couvre-feu, l’interdiction des petits rassemblements à l’extérieur pour des activités sportives hivernales, ou encore l’école à la maison pour le reste de l’année. [Éditeur: il ne fait qu'alimenter l'État en "idées d'oppression" contre les Québécois, il ne donne PAS préséance à la science mais à ses "espérances"]
Source: MSN / Le Devoir
-- -- --
Les journalistes des "grands médias" entretiennent la peur.
La peur du COVID-19.
Une peur entretenue artificiellement par des "grands médias" avec un agenda ouvertement pro-peur, ce qui permet ensuite au gouvernement de "répondre à la peur" avec des limitations ou des suppressions de nos libertés.
En ce mardi, 5 janvier 2020, la "crise sanitaire pandémique mondiale" de l'OMS continue d'être dénoncée comme étant une guerre mondialiste contre les peuples mais les "élus" des États continuent, pour la grande majorité, de trahir leur peuple en s'alignant avec "la lutte au COVID" qui sous-tend des limitations graduelles et inadmissibles à plusieurs de nos libertés.
Pire encore, les "grands médias" font écho à la "nouvelle normale" de cette propagande d'État en la légitimant.
Donc, cette "nouvelle" vous permet de voir l'assaut des mercenaires médiatiques contre les Québécois.
-- --
Des experts en santé publique [Éditeur: au nombre de 3 et tous payés par le gouvernement mais ça, il ne faut pas le dire parce que le but de cette nouvelle est de faire peur, comme le veut... le gouvernement!] appellent à un prolongement du confinement après le 11 janvier au Québec [Éditeur: évidemment] étant donné l’augmentation continue [Éditeur: l'INSPQ met l'emphase sur les "cas" et non les "morts" afin de faire peur] du nombre de nouveaux cas quotidiens de COVID-19 [Éditeur: la grippe saisonnière a disparu, serait-il possible que les "cas-COVID" soient en réalité des "cas de grippe saisonnière"?] malgré les mesures sanitaires plus strictes adoptées pendant le temps des Fêtes [Éditeur: mais pas encore assez strictes, évidemment... le but étant l'oppression du peuple].
« Nous devons [Éditeur: oh que non, ce qui "doit" avoir lieu, c'est une consultation publique IMMÉDIATE pour faire le point sur les 9 mois de gouverne via décret unilatéral et largement anti-démocratique, au Québec] mettre en place des mesures de confinement strictes [Éditeur: l'assaut contre le peuple continue... rien à voir avec la "santé publique" qui, ici, n'est qu'une banale excuse pour justifier l'injustifiable] dès que possible, notamment en retardant le retour à l’école, en maintenant toutes les entreprises, sauf les plus importantes [Éditeur: c'est bien connu, le COVID-19 n'affecte jamais les employés au salaire minimum des Walmart, au Québec (sigh)], fermées et en limitant les voyages [Éditeur: parce qu'il ne faudrait pas que les Québécois voient que ça va vraiment bien, ailleurs, sans les confinements]. Nous devons être sur l’offensive [Éditeur: l'offensive CONTRE LES QUÉBÉCOIS et les libertés qu'il leur reste], plutôt que d’attendre pour réagir [Éditeur: il y a ZÉRO PRÉVENTION, digne de ce titre, en matière de "santé publique, au Québec... tous les McDo's sont ouverts et le junk food est à l'honneur, OGM-compris] », estime Marina Klein, professeure de médecine à l’Université McGill, spécialisée dans les maladies infectieuses et virales [Éditeur: elle s'intéresse au VIH, comme le controversé Dr Anthony Fauci, aux États-Unis... fait-elle partie de la clique, elle aussi?].
À moins d’un changement de ton de Québec cette semaine, la réouverture des écoles et des commerces non essentiels est toujours prévue lundi prochain. Or les dernières données publiées par les autorités sur l’état de la pandémie dans la province donnent froid dans le dos [Éditeur: les "données de l'État", des données manipulées et tendancieuses, comme l'INSPQ nous y a habitué, depuis le début de cette "crise-COVID", depuis l'infâme 13 mars 2020]. Alors que les effets du confinement auraient dû commencer à se faire ressentir sur la courbe épidémiologique [Éditeur: au même moment où les 10aines de milliers d'écouvillonnages ont été imposés aux Québécois qui veulent conserver leurs privilèges, comme celui de TRAVAILLER] et à inverser la tendance dans la dernière semaine [Éditeur: pour une "tendance" déjà discutable d'une seule semaine, l'idée est de CONFINER pour plusieurs semaines, toujours la même dérive oppressive pour "sauver des vies"], les nouvelles contaminations quotidiennes n’ont cessé d’augmenter [Éditeur: parce que le nombre d'écouvillonnages a augmenté de manière vertigineuse]. La situation s’est même accélérée [Éditeur: évidemment, aucun chiffre à l'appui et même là, les chiffres de l'INSPQ sont HAUTEMENT QUESTIONNABLES].
Dimanche, le bilan des autorités a fait état de 7663 contaminations de COVID-19 supplémentaires entre le 31 décembre et le 2 janvier, dont 2869 uniquement pour la journée de samedi, soit un nouveau record. À elle seule, l’île de Montréal a compté 1300 nouveaux cas cette même journée. Le nombre d’hospitalisations a également bondi de 150 samedi pour s’établir à un total de 1225 tandis que, les deux jours précédents, on avait recensé 100 hospitalisations de moins. De plus, pas moins de 121 décès se sont ajoutés au bilan, dont 11 samedi, ce qui fait un total de 8346 morts depuis le début de la pandémie. [Éditeur: ce chiffre ne respecte même pas l'ajustement de l'INSPQ pour prendre en compte les comorbidités]
« Malgré les mesures du temps des Fêtes, les cas et les hospitalisations sont en hausse [Éditeur: les hospitalisations de toute nature mais aucun besoin de le préciser parce que le but, c'est de TROMPER et de FAIRE PEUR]. Ça montre que la transmission communautaire est importante [Éditeur: c'est une SUPPOSITION, rien de scientifique pour appuyer une telle déclaration], ce qui a un impact majeur sur notre réseau de santé et sur notre personnel [Éditeur: ça fait des DÉCENNIES qu'il y a des 'impacts sur le personnel de la santé" », a déclaré dimanche le ministre de la Santé, Christian Dubé, sur Twitter, en présentant le bilan.
Selon Marina Klein, il y a eu une transmission communautaire soutenue et généralisée avant les vacances, et celle-ci s’est développée malgré les mesures mises en place durant les Fêtes.
« La situation est préoccupante. […] Le système de santé atteint déjà un point critique, les hôpitaux et les travailleurs de la santé seront débordés dans les semaines à venir si rien n’est fait », craint-elle. [Éditeur: comme à chaque année, avec la grippe saisonnière]
La professeure dit comprendre la fatigue des Québécois, qui sont plongés depuis plus de neuf mois dans cette pandémie, mais croit nécessaires le prolongement et le renforcement des mesures de confinement. Et « plus vite cette décision sera prise et communiquée clairement à la population, mieux ce sera », souligne-t-elle, donnant en exemple l’Australie. Le pays a réussi à contenir sa deuxième vague du virus en imposant un confinement strict avec des étapes précises d’assouplissement des restrictions, combinées à un soutien financier et social de la population pour s’assurer de son adhésion aux mesures.
Les élèves du primaire à l’école
Roxane Borgès Da Silva, professeure à l’École de santé publique de l’Université de Montréal (UdeM), plaide aussi pour un prolongement du confinement pendant deux semaines après le 11 janvier. Le télétravail est pour beaucoup devenu une habitude et les écoles secondaires sont déjà bien organisées pour donner leurs cours à distance, souligne-t-elle.
La professeure recommande par contre d’éviter le plus possible de reconfiner les élèves du primaire. « C’est une charge de travail supplémentaire pour les parents. Et à cet âge, les enfants ont besoin de socialiser et sont moins autonomes pour suivre des cours à distance. Mais si la situation est trop catastrophique [Éditeur: selon le narratif d'État basé sur les tests PCR maintes fois dénoncés pour leur inefficacité], on n’aura peut-être pas le choix. » [Éditeur: TOUS les enfants ont BESOIN de socialiser, incluant au CEGEP et même à l'université]
Elle regrette néanmoins de devoir en arriver là. « On était 80 experts au début du mois de décembre à demander au gouvernement d’appliquer un confinement total plutôt que partiel pour plus d’efficacité. Ça n’a pas été écouté. Les entreprises manufacturières n’ont par exemple pas été mises sur pause pendant les Fêtes, alors que c’est le milieu de travail qui compte le plus d’éclosions », fait-elle remarquer. [Éditeur: comment sait-elle que "le milieu de travail" compte le plus d'éclosions? Ne serait-ce pas en raison des 10aines de milliers d'écouvillonnages et leurs tests PCR qui ne sont même pas fiables qu'on en arrive à ces "conclusions"?]
Chiffres en explosion ?
À la vue des dernières données des autorités, elle en déduit qu’il y a également eu bien plus de rassemblements privés que l’on pense à Noël. [Éditeur: c'est une imposture de lire de telles sottises, comme si elle savait ce qui a eu cours, à Noël] Cette tendance au non-respect des mesures [Éditeur: une tendance? Elle sort ça de où?], combinée au retour des voyageurs en janvier [Éditeur: ces voyageurs sont en quarantaine pendant 14 jours alors sa théorie fumeuse ne tient pas la route] et à la propagation du nouveau variant du virus détecté au Royaume-Uni [Éditeur: qu'est-ce qu'elle sait de cette variante?], risque de faire encore plus exploser les chiffres dans les prochaines semaines [Éditeur: encore une supposition, misère!], craint-elle, appelant le gouvernement à agir vite [Éditeur: une prof d'université, grassement payée par le gouvernement qui ouvre la porte au gouvernement pour élargir son agenda oppressif contre le peuple = ZÉRO CRÉDIBILITÉ].
S’il se montre moins certain des retombées positives et rapides d’un confinement prolongé de deux semaines, Benoît Mâsse, épidémiologiste à l’École de santé publique de l’UdeM, recommande tout de même au gouvernement d’emprunter cette voie. « Il n’y a rien de garanti, mais ça pourrait davantage marcher cette fois-ci. [Éditeur: n'importe quoi! Ce n'est appuyé sur absolument rien de "scientifique" et le gouvernement va se servir de ça pour oppimer 8,45 millions de Québécois... quel délire] Il n’y aura pas de party de bureau de fin d’année à la mi-janvier, ni de réunion de famille prévue au calendrier. Peut-être que, là, on vivrait un vrai confinement, suffisant pour inverser la tendance », espère-t-il. [Éditeur: il a l'air d'espérer tout ce que l'État propagandiste espère. On comprend qu'il tire son salaire de la vache à lait gouvernementale alors il flatte le narratif qui plaît à ses patrons, quitte à PUNIR des millions de Québécois pour plaire à ses "espérances"]
C’est un coup à donner [Éditeur: ça fait 9 mois qu'on "donne un coup" et là, c'est clair que les confinements ne fonctionnent pas, ni ici, ni ailleurs... mais il insiste quand même], selon lui, pour au moins essayer d’éviter des mesures encore plus restrictives, comme un couvre-feu, l’interdiction des petits rassemblements à l’extérieur pour des activités sportives hivernales, ou encore l’école à la maison pour le reste de l’année. [Éditeur: il ne fait qu'alimenter l'État en "idées d'oppression" contre les Québécois, il ne donne PAS préséance à la science mais à ses "espérances"]
Source: MSN / Le Devoir
-- -- --