Voici mon commentaire complet à l'article de Mme Borde:
- Les Canadiens ont un droit patrimonial sur l'eau dont ils ont besoin pour vivre — pour eux, ça devrait TOUJOURS être gratuit (à moins d'abus flagrants).
Ceux qui doivent payer TRÈS CHER pour avoir accès à notre eau sont les PEPSI (Aquafina), COKE (Dasani), DANONE (Villavicencio) et NESTLÉ (Pure Life) de ce monde qui, en ce moment, font des affaires d'or en puisant NOTRE EAU pour LEUR PROFIT EXCLUSIF.
Comme les Saoudiens pour leur pétrole ou les Norvégiens pour leurs ressources pétrolières, le Québec doit percevoir des redevances d'au-moins 51% sur chaque goute d'eau puisée par des étrangers, sur notre territoire.
Des entreprises à propriété 100% québécoise (avec des critères très stricts) pourraient obtenir des conditions plus avantageuses mais il faudrait quand même payer une importante redevance à l'État.
Pourquoi?
Pour avoir suffisamment d'argent pour FINANCER notre réseau d'eau PUBLIC afin qu'il demeure l'un des meilleurs, au monde.
Il ne faut pas niveler vers le bas, au contraire, il faut viser haut et pour ce faire, il faut cesser de donner NOS PLUS FORMIDABLES RESSOURCES, comme l'eau douce, à des ÉTRANGERS dont les profits sont couramment acheminés dans des PARADIS FISCAUX (ou à l'étranger, tout simplement).
Les Québécois doivent protéger leur patrimoine hydrique et pour ce faire, il doivent commencer à se comporter en PROPRIÉTAIRES, surtout avec les transnationales étrangères qui n'hésiteront pas à nous VOLER jusqu'à la dernière goute d'eau.
Il faut arrêter de se faire niaiser par des traités négociés en secret par des politiciens VENDUS aux objectifs poursuivis par les tenants d'un nouvel ordre mondial où une poignée d'oligarches conservent tous les pouvoirs, dans tous les pays de la Terre grâce à la "mondialisation" qui permet, en premier lieu, la mouvance à peu près sans entrave des capitaux ce qui, on le comprendra, contribue à appauvrir tout le monde... sauf les oligarches.
L'idée n'est pas d'empêcher les étrangers de venir puiser de l'eau ici mais bien de se donner les moyens de demeurer EN CONTRÔLE de notre ressource.