En point de presse quotidien, aujourd'hui, il a souligné qu'il avait des enfants mais en annonçant que le masque sera obligatoire presque partout dans l’école --mais-- que les élèves pourront suivre leurs cours dans les classes sans se couvrir le visage, il a perdu les quelques plumes qui lui restaient aux yeux des parents du Québec qui dénoncent cette mascarade de plus en plus perçue comme inhumaine, contre nos enfants.
Après tout, comment se fait-il que le COVID-19 "attaque" les enfants dans les corridors mais les "laisse tranquilles" dans les salles de classe?
Se pourrait-il que le COVID-19 soit le virus le plus sélectif jamais identifié, par l'homme?
Jean-François Roberge parle de "réussir cette belle rentrée" mais son obsession pour le masque pourrait en faire déchanter plusieurs qui, précisons-le, pensent sérieusement à faire l'école, à la maison... loin des directives de masques qui auront un impact invariablement négatif sur la santé des enfants.
Imaginez le masque...
- dans la boîte à lunch;
- dans le fond des poches de manteau;
- dans le sac d'école, sous les cartables.
Pour de nombreux parents, le masque à l'école fait déborder le vase, pour faire image.
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Parmi les autres absurdités prononcées par Jean-François Roberge, il y a cette directive qui dit que dans une même classe, les étudiants n’auront pas à respecter une distanciation physique entre eux mais entre les élèves et les profs, une distance de 2 mètres devra être observée.
Encore une fois, le COVID-19 est le virus le plus sélectif du monde avec une préférence pour la contagion "enfant-adulte" et le calme-plat pour celle entre "enfant-enfant".
Mais qui arrive encore à croire à autant de délires?
Bas les masques!
La comédie a assez duré et si Jean-François Roberge et ses complices caquistes tentent d'imposer leur vision fermement contestée du "masque bénéfique" dans un théâtre-COVID qui s'épuise, ils auront été les créateurs d'une contestation sans précédent dans l'histoire moderne du Québec où les parents et tous ceux qui aiment les enfants sortiront publiquement pour dénoncer cette dérive qui n'en finit plus de faire du mal à la fois aux Québécois et à leur économie.
Là, Jean-François Roberge veut masquer les enfants, faisant-fi des dangers systémiques de l'apport en oxygène et de l'augmentation de la réinspiration du dioxyde de carbone ce qui aura pour effet garanti d'acidifier le sang des enfants! Pendant qu'ils sont à l'école... pour utiliser leur cerveau, dont le sang sera acidifié, lui aussi!
Et ne comptez pas sur Jean-François Roberge pour défendre le droit des enfants à expulser leurs air librement. Oh que non parce que "le Plan Roberge", c'est de FORCER les enfants à traîner leurs virus et bactéries avec eux, dans les corridors!
Combien d'enfants seront rendus malades par cette approche pro-masques du ministre Roberge?
La CAQ gouverne mais elle ne gouverne PAS pour les Québécois et surtout pas pour la santé des enfants.
Et que dire de tous ces professeurs qui sont aux prises avec ces barrières à l'apprentissage et qui se verront obligés de composer avec un environnement éducationnel devenu d'abord sanitaire?
Vont-ils être dociles ou vont-ils se respecter assez pour refuser ce cirque?
Idem pour le personnel scolaire? Vont-ils accepter ces histoires sanitaires qui n'en finissent plus de déraper pour pouvoir encaisser leur chèque de paie, aux 2 semaines ou se lèveront-ils contre cette attaque contre leur milieu de travail? Et contre les enfants, aussi.
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Le ministre Roberge a déclaré "on a rien à cacher" en parlant des cas de COVID-19 qui pourraient être identifiés dans les écoles, devenues des aires de paranoïa permanente pour "faire la chasse aux virus" mais dans les faits, il va cacher le visage de CENTAINES DE MILLIERS d'élèves, au Québec.
M. Roberge, le ministre qui s'annonce aussi publiquement comme étant un père de famille, va cacher les sourires et va étouffer la voix des enfants qui sont frappés par "ses choix pro-masques".
L'idée des "bulles scolaires" est abandonné et là, la "bulle", pour ainsi dire, c'est la classe!
Encore une fois, le COVID-19 est le virus qui passera à l'histoire pour avoir le niveau d'intelligence le plus élevé jamais imaginé car dans le plan des "bulles scolaires", il s'attaquait aux élèves qui "sortaient de leur bulle de 5-6 amis" et là, c'est toute la classe.
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Autre nouvelle troublante de ce point de presse, c'est qu'afin d'assurer une certaine cohérence avec les "ajustements" annoncés, les enfants de 10 ans et plus devront porter le masque --obligatoirement-- dans les lieux publics fermés et ce, dès le 24 août.
Encore une fois, le COVID-19 n'attaque pas les enfants de 9 ans et 11 mois mais s'attaque sauvagement aux enfants de... 10 ans? Et le 23 août 2020, une journée avant le début de la directive, il ne s'attaque pas aux enfants de moins de 12 ans?
Quiconque n'arrive pas à voir le dérapage dans ces "directives" manque une belle occasion de rigoler mais au fond, on sait tous que les enjeux sont énormes.
Quand les consignes sanitaires sont plus importantes que la santé des enfants, ça donne ce que Jean-François Roberge a déversé sur la population québécoise, aujourd'hui.
Source: Mon texte, destiné à Facebook
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