Écouvillons = danger! Protégez votre barrière hémato-encéphalique

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cgelinas
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Parce que tant de gens m'en parlent, encore, j'ai décidé de soumettre ce commentaire pour clarifier ce qu'il advient des écouvillons et de ce que j'en ai dit.

En résumé, je me suis trompé sur un détail et je vous explique pourquoi, plus bas.

Mais voilà, si je me suis trompé sur un détail, ça ne veut pas dire que je me suis trompé, sur tout.

À vous de faire vos recherches, chers Amis.


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Bonjour tout le monde,

Je vous confirme que je ne suis pas "Docteur en anthropologie" et je n'ai aucune idée qui a bien pu ajouter ça.

Bon, le sujet.

J'en parle en long et en large, ici, par écrit:

https://forum.chaudiere.ca/viewtopic.php?t=1462

La seule confusion qui a émané, c'est parce que dans la tête se trouve un réseau d'irrigation sanguin qui, dans le cerveau, aussi bien pour les veines que les artères, a une cellule d'épaisseur de protection appelée "barrière sang-cerveau" ou "barrière héato-encéphalique".

Cette barrière peut être "compromise" (c'est toujours le mot utilisé) par un objet physique, par exemple mais on s'entend que c'est rare en titi qu'on va jouer dans notre cerveau avec un "objet".

Là où j'ai fait une erreur, c'est de penser que le réseau d'irrigation du cerveau était relié au même système d'irrigation que le nez.

Anatomiquement, ce sont les mêmes veines et artères.

Par exemple, dans le fond de la cavité nasale, on retrouve l'artère sphénopalatiale, au-dessus du nasopharynx.

Cette artère passe très près de l'endroit où l'écouvillon doit appuyer et être "tourné" pendant 10 secondes pour "recueillir un échantillon".

Avant mon "live", j'avais écrit à deux médecins de confiance dont je ne dévoile pas l'identité parce que ça ne doit pas se savoir qu'ils parlent à quelqu'un qui remet en question la propagande officielle, sinon ils pourraient perdre leur emploi.

C'est raide de même.

Alors les deux m'ont confirmé que l'artère qui amenait le sang au cerveau était la même que celle qui alimentait l'artère sphénopalatiale du fond de la cavité nasale.

Donc, c'est là que j'ai compris le danger de placer un écouvillon là car dans cette artère se trouvait sûrement une protection sang-cerveau mais après vérification, il semble que la science soit encore divisée sur le sujet mais que ça pencherait plus du côté qu'il n'y a pas de BHE dans le système d'irrigation sanguin du nez et donc, qu'il ne serait pas possible de le "compromettre".

Mais...

Même si mes deux médecins qui veulent rester anonymes ont dit "ouin, ok, mettons", les deux ont dit que la science avait encore des débats sur la nature très exacte du lien nez-cerveau, notamment au plan de l'irrigation sanguine.

Alors, j'ai eu tort sur ce détail précis mais je le vois comme un apprentissage.

Mais j'ai de la misère à imaginer qu'une artère sphénopalatiale "compromise" ne poserait aucun danger pour la santé sanguine dans la céphalée.

Mais bon, je choisis mes combats et les médecins refusent de venir parler à la caméra tellement le sujet est encore chaud et débattu mais les quelques médecins qui ont parlé n'ont pas vraiment expliqué les fins détails de pourquoi leur version était la bonne, ils ont juste utilisé la science dominante qui affirme ça, sans que j'aie trouvé des infos vraiment définitives sur la question des liens entre les réseaux sanguins, dans la tête, spécifiquement dans le fond de la cavité nasale et le bas du cerveau, en avant, via le tronc artériel et veineux qui passe, pas mal exactement entre les deux.

--

À vous de voir à faire vos propres recherches.

Vous allez voir, c'est loin d'être noir ou blanc.

Même pour les médecins qui osent en parler, même en privé.

--

Depuis que j'ai dénoncé les écouvillons, les tests RT-PCR "Real Time" d'amplication par polymérase jusqu'à 37 et 45 fois (ou plus?) sur des machines de Thermo-Fisher et de BioRad dans les Optilab du Québec (des forteresses opaques ou personne ne sait vraiment ce qui se passe) ont continué d'être administrés, et... dénoncés.

Et pour cause.

Les tests RT-PCR perdent tout utilité au-delà de 20-quelques amplifications pour l'identification précise de virus.

Il st cependant possible de détecter une "charge virale" à 37 ou 45 amplifications mais bien malin sera celui qui pourra deviner si c'est un SRAS-CoV-2 ou un autres des 440-quelques coronavirus qui "se promènent".

Les gens doivent se renseigner et comprendre que tout ça va bien plus loin que l'obsession d'identifier des virus.

Il y a autre chose.

Et ce n'est évidemment pas mentionné, au public.

--

J'ai continué mes recherches mais plus j'avance, plus je comprends que les informations médicales, incluant l'anatomie humaine, sont "sous-influence" des lobbys qui "créent" des éléments de science et les tenants d'une information qui se veut "simplifiée" pour le public au point où c'est devenu impossible d'avoir les véritables informations qu'on cherche.

Il a fallu que je retourne à des livres de médecins des années 1970 à 2000 pour pouvoir ENCORE voir des images vraiment détaillées et des explications qui étaient plus précises.

C'est comme si les nouveaux livres et liens, dans le web, essayaient de nous garder... ignorants.

Alors il faut que tout le monde recherche pour trouver l'information qui devient sans cesse plus compliquée à trouver.




Source: Mon commentaire, dans Facebook




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cgelinas
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Dans cette courte publication, trouvée par hasard, dans Facebook, Chris Tian explique qu'il a fait la leçon à un "fact checker" qui remettait en doute le passage vers le cerveau en passant par le fond de la cavité nasale.

Justement, l'extrait qui suit, provenant d'une publication de 2014 danse LiveScience explique que c'est non-seulement possible mais une approche connue:

During a surgery, Sindwani first snakes his instruments through the nostrils to the sinuses and removes thin bony partition that separates the upper nose from the skull base. Then, he opens the brain's surrounding membranes "and we're into the brain," Sinwani said.

Source: https://www.livescience.com/45957-brain ... -nose.html


Cette publication est importante parce qu'elle prouve qu'il est possible de passer par le fond de la cavité nasale pour se rendre au cerveau.

C'est tellement important, en fait que j'archive l'article au complet avant qu'il ne soit supprimé.

Surgeons Can Now Do Brain Surgery Through the Nose


By Tanya Lewis about 7 years ago (2014)


Before mummifying someone, the ancient Egyptians would remove the deceased's brain through the nose. Today, neurosurgeons can operate on brain tumors using a similar method.

Gaining access to tumors in the pituitary gland and other regions at the skull base — the bony ridge behind the nose and eyes — is difficult, because these areas are close to critical nerves and blood vessels linked to the brain, head and spinal cord. Traditionally, removing these tumors required a large incision, known as a craniotomy, which leaves scars and can requires a lengthy recovery period.

But in recent years, surgeons have developed a much less invasive brain surgery method. Transnasal endoscopic skull-base surgery involves accessing the brain through the nostrils, removing the tumor and reconstructing the tissue along the entryway. [Photos: 10 Weird & Terrifying Medical Instruments from the Past]

Nostrils up

The new surgery method "removes bone instead of brain, to minimize collateral damage," said Dr. Pablo Recinos, a neurosurgeon at Cleveland Clinic in Ohio, who has been one of the pioneers of this technique.

A major advance in skull-base surgery came as a result of the improvement in endoscopic techniques, which involve the use of a tiny, telescoping camera, Recinos told Live Science.

Neurosurgeons started using endoscopes in pituitary-tumor surgeries about 20 years ago, Recinos said. Then, in the last decade, they began performing endoscopic skull-base surgeries through the nose. But it wasn't until recently that scientists developed skull-base tissue reconstruction methods.

Performing transnasal brain surgeries requires two people to operate on the patient at the same time: a neurosurgeon to perform the surgery, and another doctor — usually an ear, nose and throat specialist (ENT) — to control the endoscope.

"It's literally like a marriage or a dance partnership," Recinos said. "You need to learn to dance without stepping on each other's toes."

Recinos works with Dr. Raj Sindwani, an ENT at Cleveland Clinic.

During a surgery, Sindwani first snakes his instruments through the nostrils to the sinuses and removes thin bony partition that separates the upper nose from the skull base. Then, he opens the brain's surrounding membranes, "and we're into the brain," Sindwani said.

Next, Recinos goes in and removes the tumor, using the endoscope and a brain navigation system.

Finally, the surgeons retrace their tracks and reconstruct the tissue that was damaged during entry. [Watch a Brain Surgery Through the Nose (Video)]

Two surgeons, four hands

"This technique was first introduced less than 10 years ago, and only a few centers are doing it to a high level," Sindwani told Live Science. "What's unique to what we're doing is, we don't tag in and out — we're there the entire time and doing it as a combined approach. It's a two-surgeon, four-hand technique."

Compared with traditional craniotomies, the transnasal method allows for more complete tumor removal, Recinos said. But pituitary tumors are generally benign, so it's not critical to get every last cell, he said.

The new method may reduce the length of time patients spend in the hospital after surgery, compared with patients recovering from craniotomies, although research is ongoing, Recinos said.

Like all surgeries, the transnasal skull-base surgery carries risks, including bleeding, infection, stroke, damage to optic nerves (which can result in blindness) and other nerves, and leakage of spinal fluid if the hole at the skull base isn't properly sealed.

But having the endoscope and navigation tools helps minimize these risks by offering better visualization, Recinos said.


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Transnasal endoscopic skull base surgery is far less invasive than a craniotomy. (Image credit: Screenshot, Cleveland Clinic)
Transnasal endoscopic skull base surgery is far less invasive than a craniotomy. (Image credit: Screenshot, Cleveland Clinic)
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