Écouvillons = danger! Protégez votre barrière hémato-encéphalique

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cgelinas
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Vous devez absolument protéger votre barrière hémato-encéphalique.

La fameuse "BBB" ou "Blood Brain Barrier".

Comme c'est expliqué dans cette page, votre cerveau, avec ses nombreuses fonctions essentielles à la vie, est protégé contre les substances potentiellement nocives dans la circulation sanguine par une structure en forme de clôture appelée barrière hémato-encéphalique.

Pourquoi en parler maintenant, plus que jamais?

Tout simplement parce que l'endroit EXACT où les "testeurs" (avec le fameux test de "long Q-Tip" menant à l'interprétation RT-PCR de l'échantillon obtenu) obtiennent votre échantillon (pour le "COVID-19") s'appelle "barrière hémato-encéphalique".

On répète, doucement.

Les testeurs avec leurs écouvillons --qu'ils vous rentrent (vraiment loin) jusqu'à TOUCHER la DERNIÈRE BARRIÈRE PHYSIQUE avant d'arriver à votre cerveau-- mettent votre barrière hémato-encéphalique EN DANGER.

Relisez la phrase ci-haut autant de fois que nécessaire. Comprenez la nature du DANGER réel à chaque écouvillonnage.


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Bon, on continue...

Alors on sait que l'écouvillon qui se rend jusqu'à votre barrière hémato-encéphalique met votre cerveau en danger mais au fond, c'est toute votre santé qui pourrait en être affectée.

Gardez à l'esprit que la barrière hémato-encéphalique, ce n'est qu'un seule (genre "1") couche de cellules qui protègent votre cerveau contre...
  • les métaux lourds;
  • les pesticides; et
  • les autres substances toxiques
...qui, normalement, ne doivent JAMAIS passer votre barrière hémato-encéphalique (BHE).

Grâce à la BHE, ces poisons ne se rendent pas à votre cerveau MAIS lorsqu'il se produit un FROTTIS sur votre BHE, grâce au très long écouvillon (que le testeur tourne allègrement, sans aucun égard aux dommages permanents qu'il peut causer à votre BHE), votre BHE peut être affaiblie ou autrement altérée.

Sachez que la barrière hémato-encéphalique laisse passer...
  • les nutriments essentiels;
  • l'oxygène; et
  • et tout ce qui DOIT atteindre le cerveau.
C'est donc absolument ESSENTIEL de maintenir la santé intégrale de votre BHE.


-- -- --


Si d'une manière ou d'une autre, votre barrière hémato-encéphalique est COMPROMISE, elle devient une barrière hémato-encéphalique qui fuit.

Lorsque votre BHE "fuit" ça provoque l'inflammation du cerveau.

Cette inflammation permet...
  • aux bactéries; et
  • aux autres toxines
...d'entrer dans votre cerveau et d'infecter les tissus cérébraux.

Ceci peut entraîner une inflammation (ce qui empire votre cas) et même parfois, la mort.


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Chaque écouvillonnage est donc EXTRÊMEMENT DANGEREUX pour votre BHE... et votre santé... voire, votre vie.


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Mais il y a BIEN PLUS DE SYMPTÔMES (à court et à long terme), lorsque la BHE est compromise.

Ça comprend...
  • l'autisme
  • le TDA
  • le TDAH
  • les maladies cardiques
  • les maladies auto-immunes
  • le cancer
  • les maladies neurodégénératives
  • les accidents vasculaires cérébraux (AVC)
  • les lésions hépatiques
  • la fatigue chronique (qui n'est PAS résolue par le repos)
  • l'hypoxie
  • l'anxiété
  • les troubles de l'humeur
  • la dépression
  • d'autres problèmes de santé mentale, comme la schizophrénie, les convulsions, la perte de mémoire et le déclin cognitif entraînant la maladie d'Alzheimer ou la démence
  • un flux sanguin insuffisant vers le cerveau
  • une activité cérébrale anormale
Ça c'est une liste des dangers auxquels vous vous exposez lorsque vous laissez un "écouvillonneur" vous "écouvillonner" les fond de la cavité nasale, pour y faire un "frottis" directement sur votre barrière hémato-encéphalique.

Une BHE compromise vous expose potentiellement à tous les dangers mentionnés ci-haut.

Et rien ne dit que vous n'aurez qu'un seul de ces dangers, à la fois. Vous pourriez donc en avoir plusieurs, en même temps.


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Maintenant, en comprenant le DANGER RÉEL auquel vous vous exposez en laissant cet écouvillon aller "chatouiller" (lire: agresser) votre barrière hémato-encéphalique, imaginez si l'embout de ce long écouvillon était CONTAMINÉ.

Oui, des milliers d'écouvillons ont DÉJÀ été qualifiés d'inutilisables parce qu'ils présentent un risque de contamination.

Avez-vous idée du dommage que ça peut vous causer?

Pouvez-vous sérieusement avoir confiance en ces écouvillons qui arrivent, pour la quasi-totalité, de la Chine?


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Vous devez absolument lire à propos de la barrière hémato-encéphalique qui fuit:


Le 1er mai 2020, Radio-Canada rapportait que...

« Dès la semaine prochaine, on va passer à 14 500 tests par jour. Et, dans les semaines qui vont suivre, on va augmenter encore plus », a affirmé jeudi le premier ministre du Québec, François Legault.

Comme Radio-Canada l'a dévoilé cette semaine, Québec compte tripler le nombre de tests menés quotidiennement dans la province.

Le chiffre de 30 000 tests quotidiens a même été avancé par le directeur national de santé publique, Horacio Arruda, qui a prévu de détailler publiquement, prochainement, sa stratégie pour augmenter massivement le dépistage.
  • Actuellement, on a une disponibilité de 14 500 tests qu'on pourrait mettre en "switch on" demain matin.

    Horacio Arruda, directeur national de santé publique, le 30 avril 2020

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Voici le texte initial provenant d'une publication dans Facebook de Carmen Aguirre:
C'est énorme!!!!

L'endroit où ils «obtiennent un échantillon» pour le test Covid-19 s'appelle votre barrière hémato-encéphalique.

Il s'agit d'une seule couche de cellules qui protège votre cerveau contre les métaux lourds, les pesticides et autres substances toxiques qui sont généralement tenus à l'écart. C'est la façon dont les nutriments essentiels, comme l'oxygène, atteignent le cerveau.

Si, d'une manière ou d'une autre, votre barrière hémato-encéphalique est compromise, elle devient une «barrière hémato-encéphalique qui fuit» qui est un cerveau enflammé! Il permet ensuite aux bactéries et autres toxines d'entrer dans votre cerveau et d'infecter les tissus cérébraux, ce qui peut entraîner une inflammation et parfois la mort.


Plus de symptômes (à long et à court terme) comprennent l'autisme, le TDA, le TDAH, les maladies cardiaques, les maladies auto-immunes, le cancer, les maladies neurodégénératives, les accidents vasculaires cérébraux, les lésions hépatiques, la fatigue chronique qui n'est pas résolue par le repos, l'hypoxie, l'anxiété, l'humeur troubles, dépression et autres problèmes de santé mentale comme la schizophrénie, les convulsions, la perte de mémoire et le déclin cognitif entraînant la maladie d'Alzheimer ou la démence, un flux sanguin insuffisant vers le cerveau, une activité cérébrale anormale!


Maintenant, prenez ceci et ajoutez un test contaminé et voyez ce que vous obtenez!


- Emiley B

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Voici un extrait d'un article "Contourner la barrière hémato-encéphalique" dans Psychology Today de novembre 2018:

Une autre approche tire parti de la nanotechnologie.

Une équipe de la Northwestern University a créé une nouvelle forme d'ADN synthétique, appelé Spherical Nucleic Acids (SNA), qui peut pénétrer dans les cellules et modifier leur schéma génétique.

La nanostructure a un minuscule noyau rond, entouré de petits segments d'ADN qui s'étendent vers l'extérieur, explique Chad Mirkin, qui a développé le SNA.

L'équipe ne comprend pas bien pourquoi les SNA franchissent la barrière, mais elle pense qu'un récepteur qui se lie aux formes sphériques d'ADN et d'ARN est probablement responsable.

Est-ce qu'il serait imaginable d'utiliser cette approche, avec des cellules d'ADN synthétique au bout d'un écouvillon pour aller les loger tout au fond de la cavité nasale, soit au fond du nasopharynx?


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mercredi 25 mars 2015
COMMUNIQUÉ DE PRESSE

Des agents nanorobotiques capables d’ouvrir la barrière hémato-encéphalique

Un nouvel espoir pour le traitement des maladies du cerveau

MONTRÉAL, le 25 avril 2015 – Le développement de nanoparticules magnétiques pouvant ouvrir la barrière hémato-encéphalique et ainsi administrer des molécules thérapeutiques directement dans le cerveau a été annoncé aujourd’hui par des chercheurs de l’Université de Montréal, de Polytechnique Montréal et du CHU Sainte-Justine. La barrière hémato-encéphalique parcourt presque tous les vaisseaux sanguins du cerveau pour empêcher les éléments potentiellement toxiques circulant dans le sang d’y pénétrer.

L’innovation est importante car 98 % des molécules thérapeutiques ne peuvent traverser cette barrière. «Nous avons réussi à ouvrir temporairement la barrière à un endroit précis pendant environ deux heures par une légère augmentation de la température, que nous provoquons en exposant les nanoparticules à un champ de fréquences radio», explique Nasrollah Tabatabaei, premier auteur de l’article scientifique et co-inventeur du procédé. «Nos tests révèlent que cette technique n’est associée à aucune inflammation du cerveau.

Ce nouveau procédé pourrait mener à une véritable percée dans le traitement et le diagnostic des maladies du cerveau au moyen des nanoparticules», ajoute Hélène Girouard, co-chercheure. «À l’heure actuelle, la chirurgie est le seul moyen de traiter certains patients ayant des troubles graves du cerveau. On peut réussir à enlever certains types de tumeurs, mais d’autres sont inopérables du fait de leur localisation, par exemple dans le tronc cérébral», précise Anne-Sophie Carret, collaboratrice et co-auteure.

[...]

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Une compagnie de Mirabel a obtenu un contrat pour stériliser des milliers de tiges contaminées que la Chine a vendus au Canada.

Selon ce que nous apprend le Devoir, le ministère de la Santé du Québec a découvert récemment une contamination fongique sur plusieurs écouvillons provenaient d'un fournisseur chinois, rendant leurs utilisations impossibles pour détecter la COVID-19.

Ceux-ci ont d'ailleurs été rappelés.

La compagnie PAMA Manufacturing, spécialisée en stérilisation et dans la fabrication de tubulures et de fournitures médicales stériles et non stériles à usage unique, a obtenu un contrat pour la stérilisation de tous les écouvillons contaminés du Canada, écrit le quotidien.

Une fois la procédure de stérilisation terminée, les écouvillons seront retournés sur le terrain.

Pratiques dénoncées

Le 24 mars dernier, PAMA avait dénoncé publiquement « le cadre normatif désuet entourant les appels d'offres au Québec dans le domaine de la santé et des services sociaux qui permet des pratiques inéquitables de la part de certains établissements. »

On indiquait que « ce cadre permet aux organismes publics d'effectuer des appels d'offres dirigés vers certains fournisseurs, au détriment des autres acteurs de l'industrie, et ce, sans même que l'Autorité des marchés publics (AMP) ne réussisse à intervenir. »

L'usine de PAMA Manufacturing est située sur le boulevard Henri-Fabre, près de l’aéroport de Mirabel.


Source: FM93
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Même si j'en ai parlé dans un "live", je continue mes recherches pour sans cesse mieux comprendre très exactement ce qui représente un danger dans le fait d'insérer un écouvillon jusqu'au fond de la cavité nasale où se trouvent typiquement de l'air, du mucus et de nombreux vaisseaux sanguins.

Puisque je n'arrive plus à trouver autant de liens qu'au tout début de ma recherche, via Google, j'ai dû retourner à mes livres médicaux-papier, dans ma bibliothèque.

J'ai également validé mes informations avec des individus faisant partie du corps médical mais qui, pour des raisons évidentes, préfèrent demeurer anonymes.

Plus bas, je vous partage certaines images faisant partie de mon dossier de recherche.

L'idée étant qu'un écouvillon qui compromet tout vaisseau sanguin au fond de la cavité nasale, dans la partie haute du nasopharynx peut présenter un danger pour le cerveau et ce, même si physiquement, l'écouvillon est appuyé sur la paroi osseuse poreuse. Ces vaisseaux sanguins irriguent la tête et le cerveau, aussi.

Aussi, si le testeur qui manipule l'écouvillon commet des erreurs, la cavité nasale étant sensible, des problématiques diverses peuvent survenir.


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L'inventeur présumé des tests PCR (les fameux "RT-PCR") est Kary Mullis et il est nommé dans cet article de WGN9-Chicago.

Voici un extrait de l'article, en français:

Dina Bair du WGN en sait plus sur la science derrière le test en forte demande et comment l’idée est née.

Cette technologie est appelée PCR. Vous avez probablement entendu l’acronyme se répandre au cours des dernières semaines. Il permet aux scientifiques de détecter la présence de virus chez l'homme. WGN s'est entretenu avec l'un des inventeurs, qui a expliqué comment la technologie a changé la santé mondiale bien avant qu'elle ne devienne un facteur critique de la pandémie actuelle.

C'était en 1983 et les chercheurs du nord de la Californie étaient sur quelque chose - une idée conçue par cet homme, Kary Mullis, un scientifique et surfeur, qui a certes barboté dans des drogues psychédéliques. Mullis, décédé en août, a partagé son idée avec son employeur de l'époque, Cetus Corporation. Mais il a fallu une équipe pour donner vie au potentiel de la PCR. Nous avons retrouvé l'un des membres.

Le Dr Henry Erlich est maintenant chercheur principal au Oak’s Hospital Oakland Research Institute. Il nous a parlé de son domicile en Californie.

"Il est très gratifiant de lire que ces tests qui sont si cruciaux pour suivre et essayer d'atténuer cette pandémie utilisent une technologie que mes collègues et moi avons développée il y a plus de 30 ans, c'est très gratifiant", a-t-il déclaré.

Contrairement à tant de percées biomédicales qui ne se concrétisent que pour être dépassées en quelques années, la réaction en chaîne par polymérase - ou PCR - a eu une longue durée de conservation. La technologie a été utilisée dans l'analyse de l'ADN, la recherche sur les maladies génétiques et la médecine légale. et aujourd'hui, tous ces écouvillons rassemblés dans les hôpitaux, les services de santé et les tentes pop-up finiront par passer par le processus PDC.

"Ce que fait la PCR, c'est qu'elle cible une région spécifique, puis dans un tube à essai, elle synthétise des millions de copies de cette région particulière afin que vous puissiez l'analyser", a-t-il déclaré.

Une fois que l'ADN a été répliqué des millions de fois, les techniciens de laboratoire utilisent des sondes fluorescentes spéciales pour rechercher la séquence virale covid-19 - si elle est présente, un résultat positif est rendu. s'ils ne voient pas la séquence, c'est un résultat négatif. Des tests PCR spécifiques pour COVID-19 sont possibles car la séquence virale a été partagée globalement via une base de données publique.

"En essayant de repenser à cette époque, je pense que nous savions que nous étions quelque chose de très important et cela pourrait avoir un impact majeur", a déclaré Erlich.

Aujourd'hui, 35 ans après avoir passé d'innombrables jours et nuits en laboratoire à tester l'idée qui a instantanément changé la santé mondiale, Erlich dit que la longue attente pour les tests ne devrait pas être.

"C'est dommage qu'en tant que pays, nous ne nous soyons pas engagés à tester beaucoup plus tôt. J'espère qu'en partenariat entre le secteur public et le secteur privé et les laboratoires universitaires et commerciaux, nous pourrons augmenter la vitesse à laquelle ces tests absolument critiques sont effectués », a-t-il déclaré.

La recherche d'Erlich sur la PCR a permis d'annuler une condamnation injustifiée dans l'un des premiers cas à utiliser des tests ADN dans la salle d'audience. La PCR a joué un rôle essentiel dans l'épidémie de VIH, aidant les scientifiques à mesurer la charge virale des patients et à tester l'efficacité de nouveaux traitements potentiels.

Kary Mullis, qui a affirmé avoir inventé le concept en conduisant, a reçu un bonus de 10 000 $ de Cetus Corp. pour son idée - les droits de la technologie ont finalement été vendus pour des millions.

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Mais ces tests, les RT-PCR sont scientifiquement dénués de sens, selon la Bulgarian Pathology Association.

Voici un extrait de ce qu'ils ont déclaré.


Les tests PCR COVID19 sont scientifiquement dénués de sens

Bien que le monde entier s'appuie sur la RT-PCR pour «diagnostiquer» l'infection à Sars-Cov-2, la science est claire: ils ne sont pas adaptés à l'usage
De Torsten Engelbrecht et Konstantin Demeter

Les verrouillages et les mesures d'hygiène dans le monde sont basés sur le nombre de cas et les taux de mortalité créés par les tests RT-PCR dits SARS-CoV-2 utilisés pour identifier les patients «positifs», où «positif» est généralement assimilé à «infecté». "

Mais en regardant de près les faits, la conclusion est que ces tests de PCR n'ont aucun sens en tant qu'outil de diagnostic pour déterminer une infection présumée par un virus supposément nouveau appelé SARS-CoV-2.

«TESTEZ, TESTEZ, TESTEZ,…» LE MANTRA NON FONDÉ

Lors de la conférence de presse sur COVID-19 du 16 mars 2020, le directeur général de l'OMS, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, a déclaré:
Nous avons un message simple pour tous les pays: testez, testez, testez. »
Le message a été diffusé à travers les gros titres du monde entier, par exemple par Reuters et la BBC.

Toujours le 3 mai, le modérateur du journal heute - l'un des magazines d'information les plus importants de la télévision allemande - transmettait le mantra du dogme corona à son auditoire avec les mots admonestants:
Tester, tester, tester, tel est le credo en ce moment, et c'est le seul moyen de vraiment comprendre à quel point le coronavirus se propage. »
Cela indique que la croyance en la validité des tests PCR est si forte qu'elle équivaut à une religion qui ne tolère pratiquement aucune contradiction.

Mais il est bien connu que les religions sont une question de foi et non de faits scientifiques. Et comme l'a dit Walter Lippmann, double récipiendaire du prix Pulitzer et peut-être le journaliste le plus influent du XXe siècle: «Là où tous pensent de la même façon, personne ne pense beaucoup.»

Donc, pour commencer, il est très remarquable que Kary Mullis lui-même, l'inventeur de la technologie de réaction en chaîne par polymérase (PCR), ne pense pas de la même façon. Son invention lui a valu le prix Nobel de chimie en 1993.

Malheureusement, Mullis est décédé l'année dernière à l'âge de 74 ans, mais il ne fait aucun doute que le biochimiste a considéré la PCR comme inappropriée pour détecter une infection virale.

La raison en est que l'utilisation prévue de la PCR était, et est toujours, de l'appliquer comme technique de fabrication, capable de répliquer des séquences d'ADN des millions et des milliards de fois, et non comme un outil de diagnostic pour détecter les virus.

Gina Kolata a décrit comment déclarer des pandémies de virus basées sur des tests de PCR peut aboutir à un désastre dans son article de 2007 du New York Times, Faith in Quick Test mène à une épidémie qui ne l’était pas.

ABSENCE D'UN ÉTALON-OR VALIDE

De plus, il convient de mentionner que les tests de PCR utilisés pour identifier les soi-disant patients COVID-19 vraisemblablement infectés par ce qu'on appelle le SRAS-CoV-2 n'ont pas d'étalon-or valide pour les comparer.

C'est un point fondamental. Les tests doivent être évalués pour déterminer leur précision - à proprement parler leur «sensibilité» [1] et leur «spécificité» - par comparaison avec un «étalon-or», ce qui signifie la méthode la plus précise disponible.

À titre d'exemple, pour un test de grossesse, l'étalon-or serait la grossesse elle-même. Mais comme l'a déclaré le spécialiste australien des maladies infectieuses, Sanjaya Senanayake, par exemple, dans une interview à ABC TV, dans une réponse à la question «Quelle est la précision des tests [COVID-19]?»:
Si nous avions un nouveau test pour détecter [la bactérie] le staphylocoque doré dans le sang, nous avons déjà des hémocultures, c'est notre étalon-or que nous utilisons depuis des décennies, et nous pourrions comparer ce nouveau test à cela. Mais pour COVID-19, nous n'avons pas de test de référence. "
Jessica C. Watson de l'Université de Bristol le confirme. Dans son article "Interpreting a COVID-19 test result", publié récemment dans le British Medical Journal, elle écrit qu'il y a "un manque d'un tel" gold standard "clair pour les tests COVID-19."

Mais au lieu de classer les tests comme inadaptés à la détection du SRAS-CoV-2 et au diagnostic COVID-19, ou au lieu de souligner que seul un virus, prouvé par isolement et purification, peut être un étalon-or solide, Watson affirme avec sérieux que , Le diagnostic «pragmatique» de COVID-19 lui-même, y compris remarquablement le test PCR lui-même, «peut être le meilleur« étalon-or »disponible.» Mais ce n'est pas scientifiquement valable.

Mis à part le fait qu'il est carrément absurde de prendre le test PCR lui-même dans le cadre de l'étalon-or pour évaluer le test PCR, il n'y a pas de symptômes spécifiques distinctifs pour COVID-19, car même des personnes telles que Thomas Löscher, ancien chef de la Le département d'infection et de médecine tropicale de l'Université de Munich et membre de l'Association fédérale des internistes allemands, nous a concédé [2].

Et s'il n'y a pas de symptômes spécifiques distinctifs pour COVID-19, le diagnostic de COVID-19 - contrairement à la déclaration de Watson - ne peut pas convenir pour servir d'étalon-or valide.

En outre, des «experts» tels que Watson ignorent le fait que seule l'isolement du virus, c'est-à-dire une preuve de virus sans équivoque, peut être la norme de référence.

C'est pourquoi j'ai demandé à Watson comment le diagnostic COVID-19 «peut être le meilleur étalon-or disponible», s'il n'y a pas de symptômes spécifiques distinctifs pour COVID-19, et aussi si le virus lui-même, c'est-à-dire l'isolement du virus, ne serait pas le meilleur étalon-or disponible / possible. Mais elle n'a pas encore répondu à ces questions - malgré plusieurs demandes. Et elle n'a pas encore répondu à notre message de réponse rapide sur son article dans lequel nous abordons exactement les mêmes points, bien qu'elle nous ait écrit le 2 juin: «J'essaierai de poster une réponse plus tard cette semaine quand j'en aurai l'occasion. "

AUCUNE PREUVE POUR L'ARN D'ORIGINE VIRALE

Maintenant, la question est la suivante: que faut-il d'abord pour l'isolement / la preuve de virus? Nous devons savoir d'où vient l'ARN pour lequel les tests PCR sont calibrés.

En tant que manuels (par exemple, White / Fenner. Medical Virology, 1986, p. 9) ainsi que d'éminents chercheurs sur les virus tels que Luc Montagnier ou Dominic Dwyer, la purification des particules - c'est-à-dire la séparation d'un objet de tout ce qui n'est pas cet objet , comme par exemple la lauréate du prix Nobel Marie Curie a purifié 100 mg de chlorure de radium en 1898 en l'extrayant de tonnes de pitchblende - est une condition préalable essentielle pour prouver l'existence d'un virus, et donc pour prouver que l'ARN de la particule en question provient d'un nouveau virus.

La raison en est que la PCR est extrêmement sensible, ce qui signifie qu'elle peut détecter même les plus petits morceaux d'ADN ou d'ARN - mais elle ne peut pas déterminer d'où proviennent ces particules. Cela doit être déterminé à l'avance.

Et parce que les tests de PCR sont calibrés pour les séquences de gènes (dans ce cas, les séquences d'ARN parce que SARS-CoV-2 est censé être un virus à ARN), nous devons savoir que ces extraits de gènes font partie du virus recherché. Et pour savoir que, l'isolement et la purification corrects du virus présumé doivent être exécutés.

Par conséquent, nous avons demandé aux équipes scientifiques des articles pertinents auxquels il est fait référence dans le contexte du SARS-CoV-2 la preuve que les tirs microscopiques électroniques représentés dans leurs expériences in vitro montrent des virus purifiés.



Mais pas une seule équipe n'a pu répondre à cette question par «oui» - et NB: personne n'a dit que la purification n'était pas une étape nécessaire. Nous n'avons obtenu que des réponses du type «Non, nous n'avons pas obtenu de micrographie électronique montrant le degré de purification» (voir ci-dessous).



Étude 1: Leo L. M. Poon; Malik Peiris. «Émergence d'un nouveau coronavirus humain menaçant la santé humaine» Nature Medicine, mars 2020
Auteur qui répond: Malik Peiris
Date: 12 mai 2020
Réponse: «L'image est le virus naissant d'une cellule infectée. Ce n'est pas un virus purifié. »

Étude 2: Myung-Guk Han et al. «Identification du coronavirus isolé d'un patient en Corée avec COVID-19», Osong Public Health and Research Perspectives, février 2020
Auteur qui répond: Myung-Guk Han
Date: 6 mai 2020
Réponse: "Nous n'avons pas pu estimer le degré de purification car nous ne purifions pas et ne concentrons pas le virus cultivé dans les cellules."

Étude 3: Wan Beom Park et al. «Isolement viral du premier patient atteint du SRAS-CoV-2 en Corée», Journal of Korean Medical Science, 24 février 2020
Auteur qui répond: Wan Beom Park
Date: 19 mars 2020
Réponse: "Nous n'avons pas obtenu de micrographie électronique montrant le degré de purification."

Étude 4: Na Zhu et al., «A Novel Coronavirus from Patients with Pneumonia in China», 2019, New England Journal of Medicine, 20 février 2020
Auteur qui répond: Wenjie Tan
Date: 18 mars 2020
Réponse: "[Nous montrons] une image de particules virales sédimentées, non purifiées."



Pour en savoir plus, lisez l'article ici.



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Il faut savoir que le fond de la cavité nasale, au-dessus du nasopharynx, à l'endroit où l'on retrouve l'artère sphénopalatiale, il y a une paroi osseuse poreuse.

Si l'écouvillon est appuyé trop fort, il peut passer au travers de cette paroi osseuse poreuse. Un père de famille m'a d'ailleurs écrit pour me dire que son fils était entre la vie et la mort suite à un écouvillonnage mal effectué qui a transpercé cette paroi osseuse poreuse. Aux dernières nouvelles, son fils est encore entre la vie et la mort.

De sorte qu'un écouvillon demeure dangereux, même si ce n'est pas directement lié à la barrière sang-cerveau, par exemple au moment de la rupture d'un des nombreux vaisseaux sanguins (plutôt fragiles) dans cette zone reculée de la cavité nasale), dont la très importante artère sphénopalatiale qui est connectée directement au même système sanguin qui irrigue le cerveau.

Ma première impression, quand j'avais fait mes recherches, était que si cette artère était compromise, quelle pouvait laisser passer des contaminants qui se retrouveraient ensuite, vraisemblablement, dans le système circulatoire artériel ou veineux du cerveau et dès lors, vu cette nouvelle charge de contamination pouvait ajouter au travail de la BHE dans le système circulatoire du cerveau.

C'est là et très exactement là que je me serais trompé.

Même le médecin que j'avais précédemment consulté (de manière confidentielle parce qu'aucun médecin que je connais ne veut être publiquement identifié) m'avait dit que j'avais raison pour ensuite dire qu'il n'était plus trop certain. J'ai compris que toute cette histoire de BHE est passablement complexe mais bon, je sais reconnaître quand je me trompe!

Apparemment que ça n'avait pas de lien direct mais encore là, je n'ai pas réussi à trouver de littérature médicale qui me confirmait hors de tout doute qu'un rupture dans le système circulatoire sanguin de la cavité nasale ne pouvait pas mener à une forme ou une autre de compromission de la BHE, dans le cerveau (dans une 2e temps, suite à une éventuelle contamination).

Et là, on ne parle même pas des écouvillons contaminés qui auraient semble-t-il été aseptisés (avec un niveau d'efficacité qui demeure l'objet d'incertitudes). Ces écouvillons contaminés auraient dû être jetés, aux poubelles, sans autre considération mais non, ils ont été en quelque sorte, recyclés pour être utilisés, malgré tout, avec la promesse d'avoir été "décontaminés".

Les écouvillons étaient-ils contaminés par des champignons ou une autre forme de moisissure?
Il y a aussi le danger des nanoparticules.

Un dossier en soi.

Rien ne nous assure que les écouvillons produits en Chine et rarement testés, ici, au Canada et au Québec ne seraient pas enduits de nanoparticules aux usages encore méconnus.

Pourquoi cette obsession d'appuyer l'écouvillon sur la partie arrière de la cavité nasale qui se trouve à être jouxtée (le plus près) du cerveau?

Il existe donc de très nombreuses questions en rapport avec l'écouvillonnage en cours, au Canada et au Québec.


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Je vous invite aussi à vous intéresser à la manière dont des vaccins peuvent être administrés par voie nasale:
Se pourrait-il que l'écouvillon contienne le virus potentiellement mortel?

Si le test contenait le virus, ça expliquerait pourquoi la contamination semble augmenter avec le volume de tests qui sont passés. Dans ce scénario hypothétique, plus il y a de tests (avec ces longs écouvillons), plus il y a de monde infecté.

Toujours en lien avec cette hypothèse, l'idée serait d'insérer le virus si loin, avec l'écouvillon au fond du nez, qu'il deviendrait impossible de l'évacuer (en se mouchant, par exemple). Et ça protège un peu mieux l'écouvillonneur, au passage. Mais bon, on parle d'un scénario mais il demeure réaliste (regardez le clip vidéo ci-haut).


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J Cereb Blood Flow Metab. 2013 May; 33(5): 793–794.
Published online 2013 Mar 13. doi: 10.1038/jcbfm.2013.41

Per G Djupesland,* Ramy A Mahmoud, and John C Messina


C'est avec un grand intérêt que nous avons lu la revue récente intitulée "Le transport des médicaments à travers la barrière hémato-encéphalique''.1 Dans cet article, Pardridge décrit le défi de contourner la barrière hémato-encéphalique (BHE) pour permettre aux molécules thérapeutiques d'accéder système nerveux (SNC), un défi reconnu depuis longtemps comme l'un des enjeux majeurs du développement de nouveaux traitements des troubles cérébraux. Le document se concentre sur la façon dont les molécules peuvent être repensées pour le transport de la BBB via le transport médié par le transporteur et la livraison moléculaire du «cheval de Troie» pour accéder aux systèmes de transfert médiés par les récepteurs au sein du BBB, une approche intéressante et passionnante de ce problème.

Bien que discuté seulement brièvement dans la revue, le potentiel de distribution transnasale de médicaments dans le SNC est également une approche intéressante, et dans certains cas peut-être une approche plus rapide et plus facile pour mettre en œuvre et surmonter ce défi de développement.

Nous pensons que la recherche soutenant la distribution transnasale dans le SNC et contournant ainsi le BBB nécessite une discussion plus approfondie et une clarification des points soulevés dans la revue.


L'article de synthèse fait référence à un article de 1971 indiquant que le lien étroit entre le bulbe olfactif et le liquide céphalo-rachidien (LCR) offre une voie potentielle pour les médicaments administrés par voie nasale au LCR, à condition que le médicament soit capable de traverser l'épithélium nasal et l'arachnoïde. Si le transport du nez au LCR a été démontré chez l'animal et même chez l'homme, il ne s'agit pas de la seule et certainement pas de la voie de transport la plus importante ou la plus prometteuse dans le SNC par le nez.3, 4, 5 Un article de recherche et deux articles de synthèse sur la méthode de transport et les études sur les animaux menées concluent que les petites et les grandes molécules peuvent passer rapidement du nez au cerveau le long des nerfs olfactifs et dans le cerveau et le tronc cérébral le long des branches du premier et du deuxième trijumeau structures nerveuses, sans passer principalement par le LCR.3, 4, 5

Chez les animaux, il a été démontré que le transport le long des nerfs olfactif et trijumeau se produisait en quelques minutes à travers des canaux créés par des cellules enveloppantes, plutôt que simplement par un transport ou une diffusion axonale lente.3, 4 Des données récentes ont montré que les peptides administrés par voie intranasale étaient directement transportés et distribués dans le parenchyme cérébral assez rapidement (dans les 5 minutes). Comme le soulignent les auteurs, une simple diffusion dans le parenchyme cérébral serait trop lente pour expliquer la large distribution dans toutes les régions cérébrales observées.5 Un mécanisme hypothétique intéressant pour la vitesse observée avec laquelle une large distribution dans le cerveau est réalisée est le volume écoulement dans le liquide interstitiel "alimenté'' par le mécanisme de "pompe périvasculaire'' naturellement produit par la pulsation artérielle et la pression artérielle.5, 6

Il a été suggéré dans la revue qu'une lésion locale des barrières épithéliales nasales était nécessaire pour que de grosses molécules ou molécules solubles dans l'eau pénètrent dans le LCR.

Il a en outre été suggéré qu'une telle lésion est induite par l'instillation de volumes supérieurs à 100 μL par narines chez l'homme et fait référence à un article de 2003.7 Cependant, la référence en question ne décrit pas une lésion muqueuse, mais indique que le "passage nasal ne peut pas accueillir plus plus de 100 μL". Des volumes plus importants, en eux-mêmes et à eux seuls, ne présentent pas de risque de blessure, bien qu'ils soient peu pratiques et sous-optimaux pour l'administration de médicaments. Cependant, de grands volumes contribuent à la perte d'une partie importante du liquide simplement en raison de l'égouttement du nez (ou de l'ingestion) en raison du volume limité de la cavité nasale. En fait, l'un des principaux défis entourant l'utilisation de sprays nasaux standard pour les applications "nez à cerveau'' concerne la mauvaise distribution profondément dans la cavité nasale, y compris un dépôt antérieur excessif, après l'accouchement.8 À condition que la formulation elle-même ne provoque pas d'irritation, le nez peut tolérer en toute sécurité de grands volumes. En fait, l'irrigation nasale avec des décilitres de solution saline avec ou sans médicaments est recommandée comme traitement des états inflammatoires locaux et des lésions des muqueuses nasales, et il a été démontré qu'elle avait des effets thérapeutiques positifs.9

La différence entre les humains et les animaux en ce qui concerne l'étendue relative de la région olfactive est un facteur important lorsque l'on tente de traduire les effets observés lors d'expériences sur des animaux en ce qui peut être anticipé chez l'homme. Il est clair que la taille relative de la région olfactive chez l'homme est considérablement plus petite que chez l'animal. Cependant, des études anatomiques récentes montrent que la région olfactive chez l'homme s'étend de 1 à 2 cm plus antérieure et inférieure que les 8 à 10 millimètres cités dans la plupart des manuels, suggérant que la surface disponible pour transporter les médicaments le long du nerf olfactif est plus grande qu'on ne le pensait auparavant. .10

De plus, il est courant de penser à tort que le transport nez-cerveau ne peut se produire que le long du nerf olfactif. Comme décrit ci-dessus, les preuves suggèrent que le transport peut également se produire le long des nerfs trijumeaux innervant une grande partie de la muqueuse respiratoire nasale dans les régions anatomiques au-delà de la valve nasale.3, 4, 5, 8

Bien que la preuve directe de l'administration nez-cerveau chez l'homme soit encore un domaine d'investigation émergent, en partie en raison de défis éthiques et méthodologiques, plusieurs études évaluant l'administration nasale avec des neuropeptides tels que l'insuline et l'ocytocine suggèrent fortement l'existence d'une voie active chez l'homme. 3, 4

En raison de l'administration inadéquate de la formulation aux sites cibles profonds au-delà de la valve nasale avec les dispositifs d'administration nasale traditionnels tels que les sprays nasaux, le plein potentiel de l'administration directe nez-cerveau n'a probablement pas encore été réalisé, et peut être une solution simple qui joue un rôle important et complémentaire parallèlement aux efforts visant à concevoir des molécules pour le transport médié par le transporteur ou la livraison par « cheval de Troie ».8


Notes

PG Djupesland est fondateur, actionnaire et CSO d'OptiNose, une société commerciale développant des dispositifs d'administration nasale et des produits combinés médicament-dispositif. Ramy Mahmoud et John Messina sont également employés par OptiNose US Inc., Yardley, PA, USA.


Références
  1. Pardridge WM. Drug transport across the blood-brain-barrier. J Cereb Blood Flow Metab. 2012;32:1959–1972. [PMC free article] [PubMed] [Google Scholar]
  2. Kristensson K, Olsson Y. Uptake of exogenous proteins in mouse olfactory cells. Acta Neuropathol. 1971;19:145–154. [PubMed] [Google Scholar]
  3. Lochhead JJ, Thorne RG. Intranasal delivery of biologics to the central nervous system. Adv Drug Deliv Rev. 2012;64:614–628. [PubMed] [Google Scholar]
  4. Chapman CD, William H, Frey WH, Craft S, Danielyan L, Hallschmid M, et al. Intranasal treatment of central nervous system dysfunction in humans Pharm Res 2012. doi:10.1007/s11095-012-0915-1(e-pub ahead of print). [PMC free article] [PubMed] [CrossRef]
  5. Liu Q, Shen Y, Chen J, Gao X, Feng C, Wang L, et al. Nose-to-brain transport pathways of wheat germ agglutinin conjugated PEG-PLA nanoparticles. Pharm Res. 2012;29:546–558. [PubMed] [Google Scholar]
  6. Hadaczek P, Yamashita Y, Mirek H, Tamas L, Bohn MC, Noble C, et al. The “perivascular pump” driven by arterial pulsation is a powerful mechanism for the distribution of therapeutic molecules within the brain. Mol Ther. 2006;14:69–78. [PMC free article] [PubMed] [Google Scholar]
  7. Merkus P, Guchelaar HJ, Bosch DA, Merkus FW. Direct access of drugs to the human brain after intranasal drug administration. Neurology. 2003;60:1669–1671. [PubMed] [Google Scholar]
  8. Djupesland PG. Nasal drug delivery devices: characteristics and performance in a clinical perspective—a review. Drug Deliv Transl Res. 2013;3:42–62. [PMC free article] [PubMed] [Google Scholar]
  9. Harvey R, Hannan SA, Badia L, Scadding G.Nasal saline irrigations for the symptoms of chronic rhinosinusitis Cochrane Database Syst Rev 2007CD006394doi:10.1002/14651858.CD006394.pub2 [PubMed] [CrossRef]
  10. Leopold DA, Hummel T, Schwob JE. Anterior distribution of human olfactory epithelium. Laryngoscope. 2000;110:417–421. [PubMed] [Google Scholar]

Source: PMC


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La FDA est "très enthousiaste" pour le travail de recherche du Dr Richard Béliveau et pour cause, son Angiopep a une propriété qui lui permet de passer la barrière sang-cerveau en compagnie, dans le cas qu'il explique, dans ce vidéo, le "traitement de chimio" pour une tumeur du cerveau:


Capsule produite pour l'émission Que sont devenues les découvertes de jadis, diffusée à Canal Savoir.

Cet extrait retrace l'évolution d'une découverte de Richard Béliveau, de l'Université du Québec à Montréal, sélectionnée parmi les 10 découvertes de l'année 2003 de Québec Science.

Dans ce reportage, le Dr Béliveau a dit que "la recherche n'est jamais un processus linéaire", c'est bien dit. Ça s'applique aussi aux nombreuses recherches que je fais, ici, pour comprendre ce sujet complexe.

Mais au fond, son Angiopep pourrait servir de "vecteur" pour passer autre chose, au cerveau que son "traitement de chimio"...

Dans le cas du COVID-19, il se pourrait que ça soit utilisé comme une sorte de cheval de Troie.

Ce n'est qu'une simple spéculation mais comme des centaines de milliers de Québécois vont se faire écouvillonner le fond du nez sans avoir l'absolue certitude que l'embout de l'écouvillon est totalement stérile et sans danger, il faut se demander si une molécule comme celle de l'Angiopep ne pourrait pas être utilisée.

Ça n'a donc peut-être aucun rapport mais en science, on comprend en se posant sans cesse des questions qu'on explore pour trouver des réponses, souvent par rapprochements.



Ceux qui le souhaitent peuvent aussi écouter cette (plus longue) conférence du Dr Béliveau qui parle de la BHE mais aussi du cancer:


Une étude pour comprendre le passage de la barrière sang-cerveau

En de sens, le travail du Dr Béliveau a fait l'objet d'une étude intitulée "L'administration d'un conjugué peptide-médicament ciblant la barrière hémato-encéphalique a amélioré l'efficacité du paclitaxel contre le gliome", par Ying Li, Xuemin Zheng, Min Gong et Jianning Zhang.


Oncotarget. 2016 Nov 29; 7(48): 79401–79407.

Published online 2016 Oct 17. doi: 10.18632/oncotarget.12708


Résumé

Le défi de l'administration efficace d'agents thérapeutiques au cerveau a créé tout un champ de recherche active consacré à surmonter la barrière hémato-encéphalique (BHE) et à administrer efficacement des médicaments au cerveau.

Angiopep-2 peut déclencher la transcytose et traverser la BHE en reconnaissant la protéine-1 liée aux lipoprotéines de basse densité (LRP-1) exprimée sur les cellules endothéliales capillaires cérébrales.

Ici, nous avons conçu une nouvelle stratégie pour l'administration de médicaments au cerveau.

Le nouveau système d'administration de médicament était une combinaison d'un ligand ciblant un récepteur, tel que la protéine 1 liée aux lipoprotéines de basse densité, et d'un peptide de pénétration cellulaire (CPP).

On a émis l'hypothèse que ce conjugué améliorerait la délivrance de la cargaison thérapeutique associée à travers la BHE et augmenterait la perméabilité d'une tumeur solide.

Nos résultats indiquent que la combinaison de ces deux agents dans un véhicule de délivrance a considérablement amélioré la translocation de petites molécules (paclitaxel) dans le cerveau par rapport au traitement du véhicule, qui ne contenait que le ligand ciblant le récepteur.

L'application de cette stratégie pourrait potentiellement élargir les horizons du traitement des troubles du système nerveux central.


Mots clés: barrière hémato-encéphalique, protéine 1 liée aux lipoprotéines de basse densité, gliome cérébral, peptide pénétrant dans les cellules, paclitaxel


Source: NCBI


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J.-L. Vonnez

Rev Med Suisse 2002; volume -2. 727


Comment délivrer rapidement des molécules thérapeutiques au cerveau ?

Une solution, proposée plusieurs fois ces dernières années, consiste à passer par le nez.

Une nouvelle étude (Nature Neuroscience, publiée en ligne le 6 mai 2002, DOI : 10.1038/nn849) vient renforcer l'intérêt pour l'administration intranasale: elle montre que, pour certains peptides, la muqueuse nasale offre un accès direct au cerveau.

Jan Born et ses collègues de l'Université de Lübeck ont administré par voie intranasale trois peptides (mélanocortine (4-10), vasopressine et insuline) à des sujets sains.

Ils ont mesuré périodiquement la concentration de ces peptides dans le liquide céphalo-rachidien (LCR) et dans le sang.

Dans les minutes qui ont suivi l'administration, la concentration a augmenté dans le liquide céphalorachidien (LCR). À l'exception de la vasopressine, aucune élévation de concentration n'a été détectée dans le sang, ce qui semble indiquer que les peptides ont passé directement du nez au cerveau, court-circuitant la barrière hémato-encéphalique.

Le liquide céphalorachidien, aussi appelé liquide cérébrospinal, est, comme son nom l'indique, présent dans et autour de l'encéphale et de la moelle épinière.

Rôle, composition et fabrication du liquide céphalorachidien

Il a pour fonction de protéger le système nerveux central des traumatismes ; il a aussi un rôle nutritif et permet à l'encéphale de « flotter » dans le liquide, en évitant qu'il s'effondre sous son poids.

La composition du liquide cérébrospinal est proche de celle du sang dont il est issu, mais avec moins de protéines, plus de vitamine C et une concentration ionique différente. Le liquide céphalorachidien est fabriqué par les plexus choroïdes, des amas de capillaires qui pendent du toit des ventricules cérébraux et qui filtrent le plasma. Chez l'adulte, le volume du liquide céphalorachidien est d'environ 150 mL et est renouvelé régulièrement. Le liquide céphalorachidien circule dans les ventricules et passe dans la cavité subarachnoïdienne.

Cette voie présente l'inconvénient de ne pas permettre un dosage précis des peptides délivrés au cerveau. Mais elle permet en contre-partie d'éviter de passer par le sang, et donc de prévenir les effets secondaires hormonaux de beaucoup de neuropeptides, dus à leurs similitudes structurales avec les hormones.

Ce moyen non invasif de délivrer les molécules facilitera peut-être le traitement des maladies et lésions du système nerveux central.


Source: Revue Médicale Suisse


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Sylvain Landry a posé la question suivante, dans Facebook:

Personne s’est posé la question que le teste De la covid qui nous font faire avec la tige qui va dans le fond de la narine est-ce qu’ils sont entrain de construire une base de données d’ADN

Est-ce qu’il y a des gens qui se sont posé la question

Voici ma réponse à sa question.


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Au Québec, le regroupement des services de biologie médicale sous Optilab a commencé en 2011.

https://msss.gouv.qc.ca/professionnels/ ... s/optilab/

Personne ne semble avoir d'information définitive à propos des liens entre les Optilabs et Génome Québec.

http://www.genomequebec.com/

Le Centre d'expertise et de services Génome Québec est le plus grand fournisseur intégré de services de séquençage, de génotypage et de biopuces au Canada.

https://cesgq.com/

--

Ce qui faire sourciller, c'est l'entêtement de François Legault, à la mi-octobre 2020, à défendre le retroupement des Optilabs qui avait été commencé sous les Libéraux provinciaux qui l'avaient précédé.

https://www.lesoleil.com/actualite/sant ... 1b2e42f678

"Le gouvernement Legault défend la réforme OPTILAB déployée sous les libéraux et qui a mené à la centralisation des laboratoires de biologie médicale. Pas question, donc, de donner suite à la demande des médecins de l’Institut universitaire de cardiologie et de pneumologie de Québec-Université Laval (IUCPQ-UL), qui réclament que les laboratoires de cet hôpital spécialisé retrouvent leur pleine autonomie."

Comme quoi François Legault préfère les Optilabs qui opèrent de manière quasi-secrète, dans des installations sécures qui échappent à presque toute surveillance externe, comme celle du personnel d'un hôpital qui auparavant, traitait de manière beaucoup plus collégiale avec les employés des laboratoires de biologie médicale.

Là, ça se passe davantage derrière des portes closes, pour ainsi dire.

L'échantillon est soumis et le résultat revient.

Entre les deux, peu de gens savent très exactement ce qui se passe.


Alors se pourrait-il qu'une base de données génomique constituée des A C G T qui définissent l'ADN de ceux qui se font tester soit constituée?

Impossible à dire mais impossible à nier, non-plus.



Source: Ma réponse à la question de Sylvain Landry, dans Facebook



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